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Les corps semboitent et s'enchainent, se prennent et se séparent en une danse langoureuse tandis qu'autour d'eux le rêve vacille et s'écroule. Le scorpion s'agite et risque de mettre le chaos dans ce qui s'annoncait un rêve chouette, ce qui est fort ennuyeux aussi le garde t'iel à l'oeil ... Elle est superbe, cela va sans dire, ses courbes douces et pleines indécemment cachée apr quelques rares pétales de roses carmines et de papillons emprisonnés sont, c'est indubitable, un régal pour l'oeil. Elle se jette alors èa son cou et l'embrasse a pleine bouche. A pleins crocs plutôt, ca serait plus exact. Si ca avait été dans la vraie vie, iel aurait eu sûrement les lèvres et la langue déchiquetée.
Mais... ohhhh.... Délicieuse friandise...
Prenant la sirène à bras le corp, iel lui rend son baiser plein de crocs en lui posant une main sur les yeux le temps qu'elle réorgnise le tout èa sa convenance. Le monde autour d'eux se brouille et iel démon est bien aise de voir le scorpion disparaitre du décor. Le temps lui est compté, le monde onirique de la jeune femme se réveillant tranquillement face a l'intrusion. Les rêves les plus courts sont les meilleurs, mais avant de partir, il y a quelque chose qu'Halewyn veut absolument vivre et qu'elle lui offre sur un plateau.
Autour d'eux, cheveux de sang et cheveux de neige s'éparpillent et s'emmêlent au gré des courants marins, un petit banc de poisson blanc évolue autour des piliers de crânes qui fondent jusqu'èa devenir récif corallien. Au dessus d'eux, comme une couronne de gui, flottent des méduses indolentes éclairant le paysage de leur lueur bleutée. Sous eux, il y a une course d'épaves tirées par des énormes chevaux noirs aux sabots de flammes... Des flammes dans l'eau? intéressant.
Mais la succube n'en n'a cure, sous sa main se dessine la courbe pleine d'un sein qu'iel caresse tranquillement de sa main palmée, ses ouies respirant pour iel. Ses écailles de jais et d'un rouge flamboyant étincellent un moment, bien collé contre celui de la sirèene, leurs écailles glissant les unes contre les autres dans un léger crissement langoureux qui lui fait dresser la nagoire caudale de sur le dos pendant que le triton pousse le baiser encore plus loin.
Avec un peu de chance, iel apprendra comment copulent les sirènes...
Mais... ohhhh.... Délicieuse friandise...
Prenant la sirène à bras le corp, iel lui rend son baiser plein de crocs en lui posant une main sur les yeux le temps qu'elle réorgnise le tout èa sa convenance. Le monde autour d'eux se brouille et iel démon est bien aise de voir le scorpion disparaitre du décor. Le temps lui est compté, le monde onirique de la jeune femme se réveillant tranquillement face a l'intrusion. Les rêves les plus courts sont les meilleurs, mais avant de partir, il y a quelque chose qu'Halewyn veut absolument vivre et qu'elle lui offre sur un plateau.
Autour d'eux, cheveux de sang et cheveux de neige s'éparpillent et s'emmêlent au gré des courants marins, un petit banc de poisson blanc évolue autour des piliers de crânes qui fondent jusqu'èa devenir récif corallien. Au dessus d'eux, comme une couronne de gui, flottent des méduses indolentes éclairant le paysage de leur lueur bleutée. Sous eux, il y a une course d'épaves tirées par des énormes chevaux noirs aux sabots de flammes... Des flammes dans l'eau? intéressant.
Mais la succube n'en n'a cure, sous sa main se dessine la courbe pleine d'un sein qu'iel caresse tranquillement de sa main palmée, ses ouies respirant pour iel. Ses écailles de jais et d'un rouge flamboyant étincellent un moment, bien collé contre celui de la sirèene, leurs écailles glissant les unes contre les autres dans un léger crissement langoureux qui lui fait dresser la nagoire caudale de sur le dos pendant que le triton pousse le baiser encore plus loin.
Avec un peu de chance, iel apprendra comment copulent les sirènes...
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Once upon a dream
ATTENTION : ce RP peut contenir de l'érotisme et des scènes oniriques dérangeantes
La lumière vient à s'éteindre tout à fait et seules les méduses et les algues aux lueurs hypnotiques découvrent quelques indices de ce qui les entourent. La peau blanche semble soudain plus sombre, mais elle s'allume soudain. Des tatouages étranges, marques aux visuels mystiques et mystérieux des nomades du désert, couvrent sa poitrine, son dos, ses bras et les membranes diaphanes qui la nimbe. L'odeur du sable chaud se fait plus présente, agressant la gorge de sa sécheresse et de sa lumière dans le cocon d'obscurité qui les entourent. Ces marques luminescentes se déclinent en couleurs subtiles et indicibles avec les mots des terriens. Les changements infimes étaient accompagnés de bruissement éthérés étalés dans les aiguës en échos étranges.
Sous sa véritable forme, jamais il n'aurait pu percevoir ces sons et ces variations qu'il comprenait pourtant avec la plus grande facilité sans pouvoir les reproduire. Les yeux de la sirène étaient devenus entièrement noirs. Abyssaux. Son corps entier semblait recouvert d'écailles qui se hérissaient en vague sous le touché du triton rouge.
Leur baiser est dépourvu de cette grisante sensation d’asphyxie, mais leurs corps se frôlent et se caressent sans cesse. Ils ne restent pas immobile. L'eau autour d'eux non plus. Les remous, Halewyn les ressent comme elle les ressent, avec une acuité indicible. Chaque frémissement, chaque tensions des membranes souple est source d'une nouvelle caresse sur son corps sensible. Faisait-elle exprès ou l'entièreté du rêve se mettait-il au diapason du désir de la rêveuse, rendant l'eau elle-même, câline.
Être dans l'eau n'a rien à voir avec se promener sur terre. Même en empruntant la forme d'un être aquatique, il n'aurait jamais pu imaginer ce qui se cachait réellement sous l'image. Ils évoluaient naturellement entre le haut et le bas, sans la moindre limite. La longue nageoire de la belle se tournait sur le côté, le caressant de ce qui aurait pu être une hanche, s'enroulant à demi autour de lui, laissant les longs panaches caresser son dos ou ses écailles. L'ensemble de leur gestes se fait sans le moindre heurt, sans le moindre arrêt ni choc... Même les plus enfiévrés... Une grâce et une harmonie irréelle... Comme dans un rêve.
Les lèvres de la belle ne lâchent pas les siennes, mais ses mains sont venues caresser son cou, laissant trainer ses doigts sur les découpes sensibles de ses ouïes. Elle découvre les muscles fins de ses épaules.
- Erotisme:
- Halewyn... " gémit-elle tout en couleurs et en échos.
Car oui, c'est Halewyn. C'est un triton et c'est normal. Tout comme la superposition de ce soleil de feu dans les profondeurs et de l'eau dans laquelle ils nagent.
- Ta flamme brule. " gronde-t-elle en mordillant sa lèvre, l'une de ses mains descendant sur le corps agile du démon pour glisser sur un replis presque invisible dans ses écailles flamboyantes, un peu en-dessous de ce qu'aurait été un bassin humain. Une envie le tiraille juste sous cette infime fente. Il n'en faut pas beaucoup plus pour que le plaisir et l'excitation opèrent, révélant son long membre, plus sensible encore que le reste de sa peau faite pour ressentir le moindre changement de courant. " J'avais tellement envie de toi dans ce verger... " Elle se presse contre lui, la nageoire blanche et les longues mains palmées venant cajoler les écailles rouge et noires sans toucher à sa virilité,. De nouvelles sensations, de nouveau plaisirs bien différents, remontent, électriques, le long de ses nerfs. Ce corps qu'il ne connait pas bien déborde de mystères délicieux semble-t-il. " Alors donne moi tout, Halewyn. Je veux tout. Absolument tout.
A l'oreille, elle lui murmure des mots salaces. Elle lui fait les demandes les plus osées, les plus incohérentes, alliant luxure, gourmandise, orgueil, envie, colère et avarice en moins de pensé que le pire des dépravés. Et lorsqu'il se glisse en elle, c'est une sensation qu'il n'a jamais connu à l'air libre. Étroite. Douce.
Leurs corps ondoient, jamais exactement dans la même position, jamais à la même fréquence. Jamais totalement immobiles. Il la sent autour de lui de temps de façons. Sa présence et son parfum d'eau douce s'insinuent partout par chaque infime ouverture de son corps de triton. L'eau dans laquelle il s'ébat fait parti d'elle. Elle a mille mains pour se saisir de lui, certains câlines, d'autres bien plus violente, parfois même douloureuses. Les réclamations les plus obscènes viennent à la bouche de la sirène. Les mots les plus vulgaires et les plus explicites. Elle réclame à corps et à cri le retour de ses instincts les plus primaux. Elle réclame tout ce que le Nom que lui a léguer Gail risque de lui couter.
- minuit minuit " fait un poisson scorpion qui passe par là.
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- EROTISME:
- Oh par tout les démons... Si c'est vraiment ce que ressentent les sirènes en copulant, rien d'étonnant ... Leur réputation est amplement méritée. La conjugaison de l'eau, les caresses et la sensibilité des écailles!!! La main qui va chercher l'objet du désir de sa partenaire, palmée, est douce et soyeuse... Porteuse d'une technique ;a faire pâlir d'envie la plus chevronnée des courtisanes
Dans la danse de leur corps, au milieu de nul part dans l'espace rempli d'eau, il n'y a qu'eux, l'entremêlement langoureux de leur queues ,le frôlements de leur .caille, de leur peau. Les caresses et les baisers... Le léger mordillement de la caudale rend presque le démon fou de désir, mais iel a un but... et Halewyn n'en dérogera pas. Oh oui, els sirènes sont sublimes , une expérience unique... rarissime. qu'aucune bipède ne pourrait égaler ni comprendre. Les récits de marins prennent un sens nouveau, caché. Iel comprends pourquoi plusieurs hommes des mers ont préféré se noyer pour pouvoir vivre un de ces moments d'extase... . Et malgré qu'elle le cajole, lui murmure les trucs les plus salaces, qu'elle le gronde, exige et supplie, iel succube ne lui donne pas l'orgasme tant demandé, m plutôt iel se laisse fondre dans l'environnement tranquillement, se retirant du rêve. Tu m'a laissée sur mon envie ma toute mignonne...Sois tourmentée un peu.
Se penchant sur Rowena feulant son nom de fort délicieuse façon dans son sommeil agité, Halewyn caresse des lèvres les deux monts insolemment érigés en un étrange hommage. Iel succube, la virilité bien réveillée et visible se redresse alors, contemplant l'endormie dont les mains parcourent la nuisette, la remontant sur ses douces cuisses. Un sourire purement victorieux éclairant le gracieux visage... Elle lui a posé un lapin. Elle le voulait tellement mais elle a fuit ses désirs... Quel bien cela t'a t'il fait dame?
Pivotant souplement, iel démon et son érection disparurent dans un embrouillaminis de ténèbres au moment où l'horloge du palier commença à sonner les douze coups de minuits, laissant dans son sillage qu'une fenêtre grand ouverte sur l'air frais de la nuit hivernale, les deux rideaux volant grand au vent et la lune gironde éclairer la pièce de la cendrillon aquatique de sa lueur pure appelant à la luxure. .
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