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Once upon a dream
ATTENTION : ce RP peut contenir de l'érotisme et des scènes oniriques dérangeantes
Hiver de l'an -7
La nuit suivant la soirée avec Halewyn
La nuit suivant la soirée avec Halewyn
Lorsque Rowena avait fuit les thermes, incapable de faire face à Halewyn ne serait-ce que pour lui dire que finalement, leur entrevue était annulée, elle était rentré directement au manoir familial. Elle était rarement rentré aussi vite d'ailleurs, tant le moindre regard lui chauffait le visage de honte et de malaise. Mais enfin, tout cela ne lui ressemblait pas !
Elle n'était pas ce genre de nunuche qui fuyait une partie fine par peur du qu'en dira-t-on. Elle n'était pas hanté par le protocole, encore moins raciste et par les astres c'était elle qui avait tendu une perche à son comparse du moment. Le fait même qu'elle se soit enfuit comme une misérable vierge shoumeïenne effarouchée la mettait mal à l'aise. Elle avait du mal à s'expliquer son propre comportement... Et ce n'était pas la première fois depuis que le testament de Gail avait été ouvert quelques semaines plus tôt.
Après tout ce qu'elle avait fait pour s'innocenter et pour venger sa... sa mère adoptive puisqu'il fallait l'appeler ainsi, la famille qu'elle servait depuis dix ans avait été plus farouche qu'une bête fauve. Elle était sur la sellette et elle le savait. Si elle échouait à entrer au Razkaal, elle serait morte avant d'avoir pu supplier Gwenhevere. Si elle y entrait mais n'obtenait pas le statut de Limier, le même sort l'attendait. Elle n'avait pas le droit à l'erreur... Et pourtant cette impression d'être retombé dans l'abime de son état sauvage, cette violence dont l'avait sortie Gail, lui collait à la peau. Elle pouvait frotter jusqu'au sang, celui qu'elle avait sur les mains, l'esprit et les lèvres ne s'en irait pas si facilement.
Elle n'avait pas le droit à l'erreur...
Une constatation réelle et une peur agrandit par l'instabilité dans laquelle l'avait poussée la satisfaction qu'elle avait éprouver à écraser l'assassin de celle qui représentait à la fois sa vie et son monde. Une satisfaction familière et sauvage. Une émotion bien trop loin de la civilisation dont les Ironsoul étaient les racines.
Elle avait si peur de démériter qu'elle n'osait plus être elle-même... Plus tout à fait. Gail l'avait toujours encourager à rester fidèle à son propre cœur, mais il s'était brisé avec son dernier souffle. Dépourvue de boussole, elle commettait justement les erreurs qui risquaient le plus de lui couter sa famille et son avenir.
La porte de sa chambre se referma derrière elle et elle décida dans la foulée qu'elle ne resterait pas au manoir un jour de plus. Elle avait croisé Odéon dans les escaliers et le regard de son cousin lui avait transpercer le crâne comme un couteau. Elle était empourprée jusqu'aux oreilles... Comme s'il avait pu savoir. Elle devait trouver un autre chez-elle. Elle en trouverait un. La maison du lac peut-être, au lieu de la mettre en location comme elle le pensait. Mais il ferait jour pour traiter ça demain. Pour le moment, fébrile, elle s'était assise à sa coiffeuse et avait renvoyer la chambrière. Fenêtre ouverte pour laisser passer l'air glacé qui lui rafraichirait les idées, elle tira d'un tiroir discrètement placé sur le côté, un pochon de soie bleue. Elle en tira un pétale blanche qu'elle plaça sous sa langue, s'obligeant à respirer à fond en attendant que l'effet apaisant de la plante fasse surface.
Ses cheveux brossés. Ses vêtements jetés dans un panier de métal elle alla refermé la fenêtre en frissonnant, poussant juste le battant qu'elle verrouilla à demi, les doigts trop gourds pour se rendre compte que le mécanisme était mal enclenché. Les rideaux de velours furent tirés et une chemise de nuit aussi blanche que le reste de son anatomie passée en vitesse.
Incapable de dormir de suite et ne voulant surtout pas réfléchir à tout cela, elle passa à la bibliothèque prendre l'un de ses recueils de poésie préféré et revint se glisser entre ses draps, après avoir déposer un second pétale sous sa langue. Elle alluma sa pipe sur sa bougie de chevet et commença à parcourir les lignes d'encre noire tout en inspirant de grandes goulées de fumée jaune.
Après un long moment, la nuit avançant doucement, elle reposa sa pipe de métal ouvragé. L'effet sédatif de la plante, décontractant de la fumée et détendant des poèmes faisaient clignoter ses yeux fatigués. Une fois la bougie soufflée, elle se laissait aller à une torpeur espérée, lorsqu'un craquement sonore lui fit relever la tête.
Assise dans son lit, elle regarda de droite et de gauche, cherchant l'origine du bruit soudain. C'était un claquement sec comme une planche qui rompt... Mais ce qu'elle entendait à présent n'avait rien à voir. Une mélodie. Un filet à peine audible de notes rondes tiré d'un instrument qu'elle ne parvenait pas à reconnaitre. Ni de la harpe. Ni du luth. Ni de la vièle. Par moment pincer. Par moment glisser. Elle se demanda s'il n'y avait pas deux instruments, mais impossible de mettre un nom dessus.
Son esprit s'était agrippé à ce détail et il serait bien difficile de lui faire lâcher prise.
A pas comptés, elle s'approcha donc de la porte. Elle ne portait aucune source de lumière, mais ses grands yeux totalement noirs y voyaient sans le moindre problème. La main sur la poignée en métal légèrement tiède, elle tira le battant.
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Rowena veuillez avancer.
Tonna une grosse voix grave, la voix du juge tandis qu'autour d'elle, des gradins s'élevèrent du sol, des spectateurs par centaines... peut-être par milliers, silhouettes anonymes sur les gradins. Des yeux brpulants la parcouraient , la transpercait de part en part et elle pouvait entendre des murmures indisctincts autour d'elle, tous portant la trace du jugement..
En baissant les yeux, la sirèene pu voir qu'elle était enchainée comme un dangereux prisonnier et pieds nus sur la pierre froide. Autour de sa cheville, les anneaux avaient laissés places à des bandes de chair profondément entaillées et dont le sang coulait le long de son pied, causant une trainée de pas écarlates dans son sillage.
ACCUSEE RELEVEZ LA TETE
Tonna toujours la grosse voix. Et au dessus d'elle, immense, telle une déesse, Gail en habit de juge la toisait de haut, en déroulant un parchemin.
Vous êtes accusée de trahison.Par deux fois vous avez contractée serment et par deux fois vous vous êtes parjurée
Tonna une grosse voix grave, la voix du juge tandis qu'autour d'elle, des gradins s'élevèrent du sol, des spectateurs par centaines... peut-être par milliers, silhouettes anonymes sur les gradins. Des yeux brpulants la parcouraient , la transpercait de part en part et elle pouvait entendre des murmures indisctincts autour d'elle, tous portant la trace du jugement..
En baissant les yeux, la sirèene pu voir qu'elle était enchainée comme un dangereux prisonnier et pieds nus sur la pierre froide. Autour de sa cheville, les anneaux avaient laissés places à des bandes de chair profondément entaillées et dont le sang coulait le long de son pied, causant une trainée de pas écarlates dans son sillage.
ACCUSEE RELEVEZ LA TETE
Tonna toujours la grosse voix. Et au dessus d'elle, immense, telle une déesse, Gail en habit de juge la toisait de haut, en déroulant un parchemin.
Vous êtes accusée de trahison.Par deux fois vous avez contractée serment et par deux fois vous vous êtes parjurée
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Le froid s'insinue sous la peau de la jeune femme. Cette sorte de froid qui n'existe que dans les yeux de ceux qui ne connaissent ni compassion, ni sympathie. La honte mordait profondément le cœur de Rowena. En pénétrant ici, elle savait pourquoi. C'était une évidence et c'était également vrai. Elle était coupable. Elle avait tué. Elle avait chassé. Elle s'habillait comme une républicaine, comme une humaine, comme la fille de Gail. Mais elle n'était qu'un imposteur. Un simple imposteur et on avait fini par la découvrir.
Toujours dans la même chemise de nuit blanche, déchirée aux genoux et tâchée de sang, elle fit un pas, puis un autre, ployant sous la toute puissance de la Juge Gail. Plus elle s'approchait, plus la vieille femme était grande et plus son visage bien connu se déformait, les deux moitiés coulissant peu à peu l'une contre l'autre pour en déchirer la peau qui s'effilochait comme du chewing gum. Ses yeux par contre perduraient. De plus en plus immenses. De plus en plus proches.
" Par deux fois ! Par deux fois ! " répétaient-ils.
- Non !
Elle tenta de faire un pas en arrière mais une violente douleur lui transperça la cheville, découvrant la mutilation qui avait remplacé ses tatouages. Un frisson glacé lui remonta le long du dos. La honte et mêlée de peur l’oppressait si fort qu'elle cherchait son souffle.
- Non ! Ils n'ont rien à voir avec ça ! C'est vrai que je n'étais pas là pour toi ! J'aurais du rentré plus tôt ! J'aurai pas du t'écouter !
La partie droite du tribunal, derrière la foule, avait pris l'apparence d'une façade cossue éclairée de nuit sous une pluie battante qui n'émettait pas un bruit. L'odeur du pavé moillé et les figures trempées qui la jugeaient toujours se mêlaient à ses perceptions. La façade était blanche et bleu, coquette. Chaque tour de fenêtre était discrètement ornementé d'une créature masculine ou féminine d'une beauté stupéfiante, dénudée et alangui au milieu de fleurs,. Sur son porche était graver quelque chose en lettres bien plus grandes qu'un étage entier. Rowena savait que cela voulait dire "Eden" mais les lettres étaient mélangées et illisibles.
Elle avait l'impression que la foule était plus près.
- Non ! Je vous dit qu'ils n'ont rien à voir. Pourquoi vous me les avez enlevé !! Pourquoi ?! Nous étions bien tous les trois, j'ai toujour été bonne pour eux, mais il n'aurait pas compris ! Ils n'auraient pas compris ce que je suis devenue ! j'ai fait ce choix pour honorer ma promesse ! Rendez les moi !
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A vouloir tout garder on perd tout.... A tout vouloir, on ne peut rien avoir...
Tranche la voix au moment ou les portes s'ouvrent et que la jeune femme se retrouve propulsée dans un autre rêve sans aucune mesure avec le précédent. Ici, c'est la fête. Une fête morbide de prime abord mais dont cette dernière passe vite. Les Foyers s'allument dans un woosh assourdissants et comme si ils n'attendaient que cela, les protagonistes se mettent en mouvement. Masqués de blanc pour les femmes, de bleu pour les hommes... Tous incorablements beaux et parfaitements, totalement et indubitamenents nu contrairement èa Rowena qui arbore une lourde robe en brocart lunaire.
Pendant que la sirène s'avance au milieu des convives soupirant, les danses lascives s'arrêtent et elle peut se sentir de plus en plus la cible des regards tandis que les soupirs s'arrêtent.
-SA MAJESTÉ LA PRINCESSE ROWENA IRONSOUL!
Les gens s'Approchent et se mettent ;a la caresser, enlevant les morceaux de vêtements les uns après les autres, l'empêchant d'avancer pour atteindre la porte tout la-bas... Mais elle doit y aller!!! IĿ y a quelqu'un d'important qui l'y attend, assis en haut des marches, au masque noir et èa la silouhette indéfinissable, ouvante comme un fantôme..
Et il lui semble que plus on lui enlève de vêtement, plus elle en a . C'est une boucle sans fin. Et les mains se font de plus en plus impatientes et affamées, se glissant sous la jupe pour caresser un mollet bien tourné, effleurant un sein emprisonné dans un corset trop serré. Et autour d'elle des yeux... une mutitudes. Des jaunes, des verts, des blancs... Des morts... Des noirs. des bleus... TØus affamés d'amour et de luxure... Et de quelque chose d'autre, indéfinissable et plus sombre.
Tranche la voix au moment ou les portes s'ouvrent et que la jeune femme se retrouve propulsée dans un autre rêve sans aucune mesure avec le précédent. Ici, c'est la fête. Une fête morbide de prime abord mais dont cette dernière passe vite. Les Foyers s'allument dans un woosh assourdissants et comme si ils n'attendaient que cela, les protagonistes se mettent en mouvement. Masqués de blanc pour les femmes, de bleu pour les hommes... Tous incorablements beaux et parfaitements, totalement et indubitamenents nu contrairement èa Rowena qui arbore une lourde robe en brocart lunaire.
Pendant que la sirène s'avance au milieu des convives soupirant, les danses lascives s'arrêtent et elle peut se sentir de plus en plus la cible des regards tandis que les soupirs s'arrêtent.
-SA MAJESTÉ LA PRINCESSE ROWENA IRONSOUL!
Les gens s'Approchent et se mettent ;a la caresser, enlevant les morceaux de vêtements les uns après les autres, l'empêchant d'avancer pour atteindre la porte tout la-bas... Mais elle doit y aller!!! IĿ y a quelqu'un d'important qui l'y attend, assis en haut des marches, au masque noir et èa la silouhette indéfinissable, ouvante comme un fantôme..
Et il lui semble que plus on lui enlève de vêtement, plus elle en a . C'est une boucle sans fin. Et les mains se font de plus en plus impatientes et affamées, se glissant sous la jupe pour caresser un mollet bien tourné, effleurant un sein emprisonné dans un corset trop serré. Et autour d'elle des yeux... une mutitudes. Des jaunes, des verts, des blancs... Des morts... Des noirs. des bleus... TØus affamés d'amour et de luxure... Et de quelque chose d'autre, indéfinissable et plus sombre.
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- Khal ! " crie-t-elle en courant dance cette grande salle. La silhouette au fond de la salle ! Elle doit l'atteindre ! " Khaldoun !! Til'Fan !!! Rendez-les moi ! Gail !
Une sensation de vide. Une sensation de manque... Et une voix qui la présente au milieu de ce bal aux mille luxures. Elle ne leur prêtait pas la moindre attention pourtant. Il y avait là quelque chose de bien plus important.
" A tout vouloir on ne peut rien avoir... "
Mais là bas il y a tout ce qu'elle veut. Tout ce qui pourrait remplir ce manque affreux dont elle souffre. Une main l'arrête pourtant, caressante. Elle en sens chaque sillon, chaque détail de son empreinte sur sa peau avec une acuité surnaturelle. Un instant elle frémit. Elle tente de se dégager, de s'excuser, d'expliquer malgré le feu qui brule sous sa peau. Son regard se détache finalement de la silhouette au masque noir. Quand l'a-t-elle perdu de vue ? Elle ne saurait le dire. Aspirée par la fouleurs indistinctes d'yeux de toutes sortes, le vide se transforme soudain en trop plein.
Le manque qui l'assaillait la fait suffoquer sous le poids de la foule et des regard. Il n'y a plus une once de vide ou d'air autour d'elle. Elle suffoque. A chaque fois qu'on lui arrache un vêtement, celui d'en dessous est plus serré, lui labourant le corps. La voracité qui l'entoure la fait frémir. Elle a le goût du sang et du désir. Terrible. Agressive. Pourtant sa propre envie monte alors qu'elle se débat de moins en moins.
Elle n'en peut plus... Elle voulait seulement... Le chaos qui l'entoure et la noie... Elle a besoin d'air...
... Elle étouffe.
Son corset craque, libérant sa poitrine. Elle serait tombée à genou si elle n'était pas entourée, prenant une inspiration désespérée.
- Perd tout. " lui souffle une voix suave à l'oreille. Sa respiration fait un écart lorsqu'une grande main agressive se referme sur son sein. Elle accroche un regard connu dans la foule. Qui est-ce ? Aucune idée. Elle le connait seulement. Elle tend la main et il n'est plus là... Et le masque noir alors ?!
D'autres mains s'emparent d'elle. D'autres voix lui susurrent une cacophonie de mots qu'elle ne comprend pas tout en l'embrassant, en la caressant. On manipule ses bras et ses jambes. On l'embrasse. On la lèche. On la goûte. On la mord... Elle pousse un cri sauvage. Libération, douleur ou plaisir, difficile à dire.
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Au cri libérateur en répondent d'autres. Une multitude d'autres qui se fondent en un seul qui diminue rapidement d'intensité jusqu'èa devenir un bourdonnement. ŀes mains ont desserrés leur emprises sous le cri, devenant courants caressants comme une mère qui fait tomber une couverture sur les épaules de sa fille. IĿ y a un bref instant ou une forme flou se dessine,rapidement remportée dans les limbes du sommeil.
-Chhhhh
Murmure une douce voix à son oreille. Une voix qu'elle est bien incapable d'identifier.
Tu as fais des vilains cauchemars.
Ouvrant les yeux, c'est sa chambre, la même qu'elle occupe en ce moment, et Gail est assise èa côté d'elle, écartant quelques cheveux blancs du front couvert de sueur. Tout est calme dans la chambre, le papierpeint aux motifs floraux semblent danser dans l'air frais dela nuit. D'ailleurs, les rideaux de sa chambre volent doucement dans la brise nocturne.
Déposant sa pipe sur la table de nuit, la matriarche tâte la température du front de la sirène.
-Dis moi Rowena. Qu'est ce qui t'a mis dans cet état... Tu as fait encore une bêtise?
-Chhhhh
Murmure une douce voix à son oreille. Une voix qu'elle est bien incapable d'identifier.
Tu as fais des vilains cauchemars.
Ouvrant les yeux, c'est sa chambre, la même qu'elle occupe en ce moment, et Gail est assise èa côté d'elle, écartant quelques cheveux blancs du front couvert de sueur. Tout est calme dans la chambre, le papierpeint aux motifs floraux semblent danser dans l'air frais dela nuit. D'ailleurs, les rideaux de sa chambre volent doucement dans la brise nocturne.
Déposant sa pipe sur la table de nuit, la matriarche tâte la température du front de la sirène.
-Dis moi Rowena. Qu'est ce qui t'a mis dans cet état... Tu as fait encore une bêtise?
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Rowena se réveilla en sursaut, le front empoissé de sueur. L'air frais la fait frissonné. Son cœur bat encore, de peur et de cette impression dérangeant qui lui griffe encore la peau là ou les mains l'avaient saisies dans son cauchemar. Elle se recroqueville un peu, les bras autour d'elle. Une main sur son front.
Elle relève les yeux.
...
- Gail... " souffle-t-elle, soulagée de retrouver la réalité.
Elle se passe une main sur le visage et respire à fond. Bon sang... C'était affreux... Elle se sentait tellement mal. Seule. Coupable. Terrifiée. Toutes ces craintes qui l'assaillaient au point de ne plus être elle-même. Le fait que la vieille élémentaire lui parle comme si elle était enfant la tranquillise étrangement.
- Je suis désolée... J'ai sûrement un peu trop bu hier soir.... C'était affreux... C'était... J'avais l'impression d'être coincé de tous les côtés et de manquer d'air. Ils voulaient m'enfermer, mais moi je ne voulais pas... C'était pas moi. " Elle lève les yeux vers les iris d'argent de celle qui représente tout son monde et sourit. Il y avait dans son expression un mélange d'admiration, d'amour et de loyauté sans faille. " Merci de m'avoir réveillée. Vous avez besoin de quelque chose ? Un thé vous ferait plaisir ?
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Doucement ... Tu dors depuis trois jours en fait. Et tu as un admirateur on dirait...
Dit la matriarche en souriante et lui désignant la table de chevet, débordantes de fleurs. Roses rouges sang, lys noirs et blancs, Si riches et odorantes au milieu de leur feuilles. Et un bouquet de fleurs sauvages, exubérant et multicolore d'émeraudes. D'ailleurs de la rue monte de la musique. Une musique entrainante, jouée par une flute traversière. Et Rowena a déjà entendu cet air sans être capable de mettre le doigt dessus.
Et la vieille élémentaire de continuer sa diatribe sans être nullement perturbée par la mélodie qui monte en notes suaves
Il est venu à tout les jours, m'a demandé la permission de te courtiser. A quoi j'ai répondu. Mon cher, êtes vous si dépourvu de confiance en vous même que vous ayez besoin de passer par une vieille décrépite pour atteindre le coeur de celle que vous aimez?
Gail prend un verre d'eau et deux cachets pour les lui tendre .
-Ceci dit, il avait tout du rat, la charpente la moustache les yeux globuleux et l'allure générale si il n'était pas de la famille Aldobrandini , je l'aurais envoyé se faire paitre sans cérémonie. Et j'en ai encore bien envie d'ailleurs. Une Ironsoul avec ces parvenus? De plus Il pourrait être ton arrière grand-père. Ils n'ont vraiment aucun sens moral. C'est affligeant. Tu vaux vraiment mieux que ca Rowena...
Dit elle avec son air pincé de vieille noble sarcastique.
Dit la matriarche en souriante et lui désignant la table de chevet, débordantes de fleurs. Roses rouges sang, lys noirs et blancs, Si riches et odorantes au milieu de leur feuilles. Et un bouquet de fleurs sauvages, exubérant et multicolore d'émeraudes. D'ailleurs de la rue monte de la musique. Une musique entrainante, jouée par une flute traversière. Et Rowena a déjà entendu cet air sans être capable de mettre le doigt dessus.
Et la vieille élémentaire de continuer sa diatribe sans être nullement perturbée par la mélodie qui monte en notes suaves
Il est venu à tout les jours, m'a demandé la permission de te courtiser. A quoi j'ai répondu. Mon cher, êtes vous si dépourvu de confiance en vous même que vous ayez besoin de passer par une vieille décrépite pour atteindre le coeur de celle que vous aimez?
Gail prend un verre d'eau et deux cachets pour les lui tendre .
-Ceci dit, il avait tout du rat, la charpente la moustache les yeux globuleux et l'allure générale si il n'était pas de la famille Aldobrandini , je l'aurais envoyé se faire paitre sans cérémonie. Et j'en ai encore bien envie d'ailleurs. Une Ironsoul avec ces parvenus? De plus Il pourrait être ton arrière grand-père. Ils n'ont vraiment aucun sens moral. C'est affligeant. Tu vaux vraiment mieux que ca Rowena...
Dit elle avec son air pincé de vieille noble sarcastique.
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- Trois jours ?! Impossible !
Mais enfin, qu'avait-elle pu faire pour se mettre dans un tel état ? Plus elle essayait de se rappeler, plus une douleur lancinante lui vrillait le crâne. Elle porta une main à sa tempe et accepta avec bonheur les médecines proposées par sa mère.
Quant à l'admirateur... Du quel s'agissait-il ? Elle avait été à plusieurs parties fines ces derniers temps mais aucun de ses amants n'était suffisamment important ou navrant pour la courtisée de façon aussi conventionnelle. L'idée qu'elle n'était pas une véritable Ironsoul et que son adoption n'avait été révellé qu'après la port de la vieille élémentaire ne lui effleurait pas les idées. Elle était une Ironsoul et c'était un fait. Elle ne ressentait plus ni angoisse, ni sentiment d'imposture, et cela allaient de paire avec un léger agacement face au grand échalas qui devait s'être mis en tête de mettre le grappin sur elle.
La couverture sous laquelle elle était bloti avait disparu. Elle était entièrement nue et exposée au regard de Gail, sans que cela ne lui pose le moindre problème.
Elle tendit la main vers les fleurs toutes plus extravagantes les unes que les autres et sourit. Un lys noir s'entortilla sur son bras, remontant jusqu'à son épaule comme un serpent pour dispenser son odeur flagrante au plus près de ses narines... Bien trop fort pour que ce soit agréable. Elle le chassa d'un mouvement de main et le serpent-lys s’enfuit en sifflant. Il avait un goût sûr en matière de fleur... Mais s'il avait demandé à Gail de plaider sa cause, il avait surement demander à un proche quelles fleurs envoyées pour lui démontrer son affection.
- Enfin, Gail. " rit-elle devant tant d'emportement, tout en se levant dans le plus simple appareil. " C'est toi qui m'a appris à ne pas juger un livre d'après sa couverture. Le charme des elfes ne me laisse pas indifférente, tu le sais.
Pourquoi éprouverait-elle la moindre honte à l'idée d'aller contre l'avi de sa famille ? A vouloir en savoir plus sur cet étrange bonhomme... En vérité il y avait même une pointe de jeu un peu sadique et cela se percevait dans le regard de connivence qu'elle lança à la vieille femme. Elle était vraiment curieuse de voir à quel point cet homme était insipide et rébarbatif.
Arrivant à la fenêtre, elle cherchait des yeux ce qui produisait cet air de flute.
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Ala fenêtre, il y a la ville endormie et la mélodie lancinante de la flute. Elle a déjèa entendu cet air particulier, mais n'est pas capable de situer le tout. C'est un air doux et mélancolique qui apporte avec lui la métamorphose des bouquets de fleurs en une nuée compacte de papillons multicolores. Cmme pour rendre hommage èa la belle dénudée, ils se posèrent tous ensemble sur le corp épanouit de Rowena pour lui faire une splendide robes de papillons vivants multicolores, aussi splendide que si ca avait été une robe de bal. Trois autres insectes prirent des màches de cheveux dans leur petits pattes avant de se poser un peu plus haut, s'immobilisant pour créer une coiffure des plus sophistiquée.
-Oh, je ne remet pas en doute tes préférences envers les elfes. Grands, fins... Atrocement pointus si tu veux mon avis.
Rétorqua Gail, goguenarde, en se portant à sa hauteur, en robe blanche, comme si elle était un fantôme.
-Mais je leur préfère encore les démons. Ils sont plus piquants même si il faut faire très attention. Les roses ne viennent pas sans épines. Retiens le, ma fille. TØn père ne m'approuverait certainement pas, mais qu'est ce qu'on a à faire de ces misogynes ennuyeux de toute façon. Nous sommes le coeur des Ironsouls.
Puis elle pointa la villa animée. En bas, il y avait foule. La musique de la fulte avait changée, se faisant pimpante.
Tu vois? Ils t'attendent pour la fête... Et n'oublie pas de te réveiller à minuit jeune fille. C'est toujours très important de se réveiller quand c'est le bon moment.
En bas, il y a des ânes saltimbanques et des chats danseurs, des serpents cracheurs de feu et des nains cabrioleurs et jongleurs. IĿ y a des boissons et des mets fins èa foison. Et plus d'un couple qui s'agitent en ombre chinoise contre les vitres particulièrement éclairées. Dans le ciel piqueté d'étoiles la lune brille aussi ardemment que le soleil. Il y a divers stand, dont celui d'une diseuse de bonne aventure a coté d'un stand a pommes d'amour et de popcorn. Les sourires des gens sont aussis éclatant que ceu de dessins animés et les brouhaha vont bon train. Et là haut, sur une estrade dominant la fête, inaccessible, un musicien aux longs cheveux rouges qui alimentent une fontaine a vin joue ses mélodies sur laquelle danse une horde de souris joueuses
-Oh, je ne remet pas en doute tes préférences envers les elfes. Grands, fins... Atrocement pointus si tu veux mon avis.
Rétorqua Gail, goguenarde, en se portant à sa hauteur, en robe blanche, comme si elle était un fantôme.
-Mais je leur préfère encore les démons. Ils sont plus piquants même si il faut faire très attention. Les roses ne viennent pas sans épines. Retiens le, ma fille. TØn père ne m'approuverait certainement pas, mais qu'est ce qu'on a à faire de ces misogynes ennuyeux de toute façon. Nous sommes le coeur des Ironsouls.
Puis elle pointa la villa animée. En bas, il y avait foule. La musique de la fulte avait changée, se faisant pimpante.
Tu vois? Ils t'attendent pour la fête... Et n'oublie pas de te réveiller à minuit jeune fille. C'est toujours très important de se réveiller quand c'est le bon moment.
En bas, il y a des ânes saltimbanques et des chats danseurs, des serpents cracheurs de feu et des nains cabrioleurs et jongleurs. IĿ y a des boissons et des mets fins èa foison. Et plus d'un couple qui s'agitent en ombre chinoise contre les vitres particulièrement éclairées. Dans le ciel piqueté d'étoiles la lune brille aussi ardemment que le soleil. Il y a divers stand, dont celui d'une diseuse de bonne aventure a coté d'un stand a pommes d'amour et de popcorn. Les sourires des gens sont aussis éclatant que ceu de dessins animés et les brouhaha vont bon train. Et là haut, sur une estrade dominant la fête, inaccessible, un musicien aux longs cheveux rouges qui alimentent une fontaine a vin joue ses mélodies sur laquelle danse une horde de souris joueuses
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- Tu sais que je préfère les élémentaires. " rit la jeune femme à la réflexion de Gail. C'était vrai... et faux. Mais là c'était vrai.
Il n'y avait que du beau et du vrai autour d'elle. La musique. les couleurs. Les sensations. Elle était plongée dans un table de Blandini en descendant par la fenêtre pour se retrouver au centre de la fête sur une rapide promesse à sa mère d'être réveillée au bon moment.
Le cœur des Ironsouls battaient comme celui d'un seul être. Comme celui qu'elle sentait battre dans sa poitrine. Les tambours faisaient exprès de l'imiter. On lui offrit une rose. Magnifique. Blanche ourlée de rouge sang. Son parfum était exquis.
- Aïe !
Son doigt venait de se piquer à une épine. Mère lui avait bien dit pourtant. Elle porta à ses lèvres la petite coupure au goût de miel mais un serpent la pris par la main pour la faire danser. Le feu passait du rouge à l'or, de l'or à un camaïeux de couleur indicible... Et se sang ne s'arrêtait pas de couler de son doigt. Il avait maintenant recouvert toute sa main et son bras jusqu'au coude, formant un long gant carmin aux reflets rutilants. Elle rit, enfin légère.
Deux ombres vinrent se joindre à la ronde. L'un aux courts cheveux blancs et aux tatouages bleu. L'autre plus épais au sourire resplendissant. Puis d'autres et encore d'autres. Des hommes. Des femmes. Des visages flous que le cœur reconnait.
Elle mord dans une pomme d'amour et ses lèvres en garde l'écarlate. Elle marche dans une flaque d'eau carmine et des sandales rubicondes se lassent jusqu'à ses genoux, des roses fleurissant sur les lanières de cuir rouge sous les papillons aux couleurs pastelles. Elle virevolte et volette. Elle respire. Par les astres ce qu'elle respire ! Son corps ne pèse rien et lui obéit avec une précision et une facilité incroyable. La musique est magnifique. L'instrumentiste tire de ses cordes milles voix de sirènes entremêlé de harpe et de violon.
Elle tente bien de s'approcher mais les souris si vives l'empêche d'arriver à la fontaine... Ce qui l'agace prodigieusement. C'est sa fête et tout le monde l'entoure ! Son pied habillé de rouge donne un violent coup de pied à une grande souris blanche à la perruque de juge. Une autre explose dans une gerbe de sang.
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D'un geste souple de la main, iel musicien laisse planer sa flûte qui se met à léviter dans l,air, les notes devenant aussi visibles qu,audibles, luminescentes dans l'air parfumé de la fête. Quelque part, il y a un soupir langoureux et un rire tandis qu'une somptueuse odeur de chocolat effleure les narines de la sirène.
Aux coups de pieds, les rongeurs survivants s'égaillent en tout sens pour éviter de se faire piétiner. Et Halewyn éclate de rire, un rire absolument chaud et sexy. Appelant èa la luxure la plus pure.
-Eh mes souris!!!! Tu n'a pas idée de combien de temps que j'y ai mis pour les rendre crédibles!!!!
Dit il mi-figue, mi-raisin en... s'aplatissant jusqu'à être en deux dimensions, se laissant glisser le long de son piédestal comme une coulée d'eau pure, se glissant jusqu'aux pieds de la belle, prenant confortablement la place de l'ombre. Ouvrant grand les bras, la représentation en deux dimensions fait écarter les rongeurs qui se mient à danser une sarabande endiablée autour d'eux en faisant voleter des pétales qui se transforment en luciole et des rubans qui se mettent à voler dans les airs, formant motifs, et murs. d'une salle de bal dorigine céleste, les souris évoluent et se transforment en d'innombrables danseurs angéliques blancs qui dansent une valse insipide au son de la même flûte.
-Tu y a mis le temps ma chère. Tu m'a fais languir!!!
L'acceuille avec un sourire de velours iel démon toujours en impression sur le marbre blanc. Iel est maintenant porteur d'un habit républicain classique du plus pur noir, qui met en valeur sa peau d'albâtre et ses cheveux de sang, soulignant avantageusement la masculinité de son androgynie gracieuse.
Alors Rowena ma soie. Dit 'iel d'un ton charmeur, un sourire doux étirant sa grande bouche. -Chez qui dansons nous cette nuit? Chez toi ô créature céleste? Ou chez moi?
Lui demande le reflet-Halewyn
Aux coups de pieds, les rongeurs survivants s'égaillent en tout sens pour éviter de se faire piétiner. Et Halewyn éclate de rire, un rire absolument chaud et sexy. Appelant èa la luxure la plus pure.
-Eh mes souris!!!! Tu n'a pas idée de combien de temps que j'y ai mis pour les rendre crédibles!!!!
Dit il mi-figue, mi-raisin en... s'aplatissant jusqu'à être en deux dimensions, se laissant glisser le long de son piédestal comme une coulée d'eau pure, se glissant jusqu'aux pieds de la belle, prenant confortablement la place de l'ombre. Ouvrant grand les bras, la représentation en deux dimensions fait écarter les rongeurs qui se mient à danser une sarabande endiablée autour d'eux en faisant voleter des pétales qui se transforment en luciole et des rubans qui se mettent à voler dans les airs, formant motifs, et murs. d'une salle de bal dorigine céleste, les souris évoluent et se transforment en d'innombrables danseurs angéliques blancs qui dansent une valse insipide au son de la même flûte.
-Tu y a mis le temps ma chère. Tu m'a fais languir!!!
L'acceuille avec un sourire de velours iel démon toujours en impression sur le marbre blanc. Iel est maintenant porteur d'un habit républicain classique du plus pur noir, qui met en valeur sa peau d'albâtre et ses cheveux de sang, soulignant avantageusement la masculinité de son androgynie gracieuse.
Alors Rowena ma soie. Dit 'iel d'un ton charmeur, un sourire doux étirant sa grande bouche. -Chez qui dansons nous cette nuit? Chez toi ô créature céleste? Ou chez moi?
Lui demande le reflet-Halewyn
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Once upon a dream
ATTENTION : ce RP peut contenir de l'érotisme et des scènes oniriques dérangeantes
Un soupire. Un rire. La sensation d'un souffle au creux de son oreille qui lui fait courir un frisson tout le long du dos. Et cette voix qui lui court sur le corps en une iridescente caresse. Les papillons frissonnent en même temps qu'elle et leurs ailes deviennent de grande pétales de roses rouge.
" Crédibles " ? Le mot heurte l'oreille de Rowena. Il y a un moment de flou. Quelque chose se décale imperceptiblement. La flute est bien loin du musicien. Les souris un mètre au-dessus du sol. Elle, à côté des vêtements qui suivent ses mouvements. Mais elle n'est pas nu, non. Elle les sent toujours sur sa peau.
- Mais il n'est pas minuit ! " s'insurgea-t-elle.
La mine boudeuse, elle refusa de tendre la main à son reflet. Et puis c'était sa fête, elle pouvait bien arriver quand elle voulait, du moment qu'elle se réveillait à temps. A ses pieds, son Ombre aux cheveux de feu lui sourit. Il bouge et c'est elle qui se déplace. Un pas après l'autre, dansant sans se toucher. Le blanc devient éclatant et elle tente de s'abriter les yeux, mais rien n'y fait.
Le velours des papillon devenus pétales l'enveloppe gracieusement, trouvant le moyen de faire scintiller sa longue queue diaphane d'un millier de reflets opalins.
- La lumière me fait mal aux yeux ! " se plaint-elle, mécontente.
Le bruit des ailes la gênait. Il n'y avait que ce costume noir qui lui semblait reposant. Les papillon-fleurs étaient d'accord avec elle, d'ailleurs.
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Tes désirs sont des ordres.
Réṗond iel démon avec bonhomie. un large sourire au visage. Il fait une révérence èa la dame vêtue de rouge avant de se redresser avec vigueur. D'un large ouveaant du bras, comme si iel tirait la couvertue sur quelque chose, iel succube obéit au commandement de la rêveuse.
Les murs blancs se parent d'os soigneusement empilés autour de racines énormes. Dans des cages au dessus du sol, tout autour d'eux, les membres d'un orchestre jouent une musiqua langoureuse pour honorer la visiteuse. Le sol de marbre noir veiné de rouge est dense et lisse, tandis que la lumière de la lune rouge dehors éclaire la piste de danse comme en plein jour. Des piliers de crânes aux yeux sertis de bougie montent jusqu'a un plafond invisible tant qu'il est haut. Elle peut sentir d'autres présences... Ce décor élégant pourrait avoir tout du cauchemar, des formes arachnéennes qui évoluent en périphérie de la vision de Rowena, mais étrangement, elle sait qu'elle est en sécurité. Et, avouons le, ce décor Dantesque a une classe et un raffinement fou. Laissés libres, ses longs cheveux sanglants semblent presque animés d'une vie propre, bougeant avec leur volonté propre au fil des mouvements du galant
Les danseurs célestes sont remplacés par d'autres, difformes. Ici un minotaure ou un truc s'en rapprochant. Là un centaure. Et d'autres èa l,opposé. Du plus immonde au plus bel être des ténèbres. µais aucun n'est aussi flamboyant qu'Halewyn vêtu désormais d'un blanc pur qui n'heurte cependant pas la rétine sensible de la sirèene qui l'attend, au milieu du marbre noir. Quand elle s'approche elle peut voir l'appréciation de sa mise dans l'oeil noir pailleté d'étoiles. Tranquillement, tel un danseur de flamenco, iel fait le tour de la visiteuse qui peut sentir son regard sur ses pétales, pétales qui frémissent d'ailleurs sous la chaleur de ce dernier
-Bienvenue chez moi ma chère. Tu m'a fais attendre mais ca a valu la peine. Tu es magnifique.... Une danse?
Demande t'iel en s'inclinant devant la dame, main aux longs doigts d'artistes tendue, paume vers le haut, l'autre dans le dos, tel que l'étiquette l'ordonne.
Réṗond iel démon avec bonhomie. un large sourire au visage. Il fait une révérence èa la dame vêtue de rouge avant de se redresser avec vigueur. D'un large ouveaant du bras, comme si iel tirait la couvertue sur quelque chose, iel succube obéit au commandement de la rêveuse.
Les murs blancs se parent d'os soigneusement empilés autour de racines énormes. Dans des cages au dessus du sol, tout autour d'eux, les membres d'un orchestre jouent une musiqua langoureuse pour honorer la visiteuse. Le sol de marbre noir veiné de rouge est dense et lisse, tandis que la lumière de la lune rouge dehors éclaire la piste de danse comme en plein jour. Des piliers de crânes aux yeux sertis de bougie montent jusqu'a un plafond invisible tant qu'il est haut. Elle peut sentir d'autres présences... Ce décor élégant pourrait avoir tout du cauchemar, des formes arachnéennes qui évoluent en périphérie de la vision de Rowena, mais étrangement, elle sait qu'elle est en sécurité. Et, avouons le, ce décor Dantesque a une classe et un raffinement fou. Laissés libres, ses longs cheveux sanglants semblent presque animés d'une vie propre, bougeant avec leur volonté propre au fil des mouvements du galant
Les danseurs célestes sont remplacés par d'autres, difformes. Ici un minotaure ou un truc s'en rapprochant. Là un centaure. Et d'autres èa l,opposé. Du plus immonde au plus bel être des ténèbres. µais aucun n'est aussi flamboyant qu'Halewyn vêtu désormais d'un blanc pur qui n'heurte cependant pas la rétine sensible de la sirèene qui l'attend, au milieu du marbre noir. Quand elle s'approche elle peut voir l'appréciation de sa mise dans l'oeil noir pailleté d'étoiles. Tranquillement, tel un danseur de flamenco, iel fait le tour de la visiteuse qui peut sentir son regard sur ses pétales, pétales qui frémissent d'ailleurs sous la chaleur de ce dernier
-Bienvenue chez moi ma chère. Tu m'a fais attendre mais ca a valu la peine. Tu es magnifique.... Une danse?
Demande t'iel en s'inclinant devant la dame, main aux longs doigts d'artistes tendue, paume vers le haut, l'autre dans le dos, tel que l'étiquette l'ordonne.
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Once upon a dream
ATTENTION : ce RP peut contenir de l'érotisme et des scènes oniriques dérangeantes
Des membres désarticulés. Des corps déformés. Un marbre qui lui semble briller comme la surface d'un lac d'encre et de sang. Le parfum de la mort un peu partout. Un parfum putride qu'elle connait bien... Mais d'une douceur mielleuse. Il caresse sa gorge comme du velours sur sa peau, en un délicieux dégoût qui l'invite dans ce nouveau monde tête en bas.
Elle ne se sent pas en danger... Elle se sent dangereuse. Sous les lèvres purpurines des dents pointues et aiguisées sourient à son cavalier.
Le démon, dont l'apparence se masculinise imperceptiblement, lui tourne autour. Lorsqu'elle croise son regard, l'appréciation déborde du ciel nocturne que contient ses iris. Les yeux de la sirène, eux, on tourné au noir de jais dans la pénombre. Les pupilles ont pris toute la place en deux puits qui semblent absorber toute lumière. Presque tous les papillons se sont envolés. Ceux qui sont restés ne tiennent plus en suspension autour d'elle, mais étroitement collés à sa peau. Le tracé minimaliste de quelques guirlandes de pétales sanglants recouvrent la pointe de ses seins, son nombril et son entrejambe, s'accrochant à ses jambes comme des écailles frémissantes. Le rouge de sa tenu est aussi vif que celui de la chevelure du démon. Le blanc de ses cheveux se mêle au costume immaculé de son cavalier.
Il est si désirable... Chacun de ses mouvements est d'une perfection douloureuse.
Dans les cages des musiciens se superpose toujours la même silhouette. Un homme. Un elfe aux longs cheveux noirs et raides. Un teint halé mais moucheté de goutes d'une sueur glacée. Parfois il est entier, parfois il n'a plus qu'une jambe. Il pleure. Il hurle. Mais le tout se fond dans la musique comme si elle en faisait partit. Le mélange disharmonieux est une symphonie pour les oreilles. Les formes d'araignées et de créatures du déserts se mêlent dans les ombres. Le cliquetis chitineux d'un scorpion monstrueux dansant d'une patte sur l'autre, une ribambelle de corps empalés sur son dard... Scorpion qu'Halewyn sent glisser hors de son contrôle.
- Bien sûr, mon maître.
La révérence de la sirène est impeccable, sa chevelure flottant autour d'elle comme dans une eau limpide. La voix de l'apparition est exquise, une voix de triton, vibrant de ces fréquences que seuls les aquatiques peuvent discerner et apprécier. Qu'eux seuls peuvent sentir courir le long de leur peau en ondes liquides. Derrière le scorpion s'agite, déchiquetant quelques convives. Une colonne de crane s'écroule. Une odeur de sable chaud et de pavé froid se mélange dans la fumée qui se dégage des flammes en train de se propager lentement.
La main de la sirène dans celle du démon, leurs pas s'enchainant de nouveau sur la piste de danse, elle s'approche d'un pas pour l'embrasser avec fougue, ses dents pointes aiguisées comme des rasoirs.
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