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Nut Shidhi
Race : Élémentaire de sable
Sexe : Femme
Âge : 266 ans
Métier : Aventurière – médecin (FMR)
Taille & poids : 1m58 ; 51 kg
Alignement : Neutre bon
Faction : Le Reike
Rang : B
Religion : Athée
Avatar : Candace (Genshin Impact)
Pouvoirs et objets
Mage soutien
Élément sable palier 3 (300 + 600 + 1200 = 2100)
Soins élémentaires palier 2 (250 + 500 = 750)
Guérison des poisons, maladies et envoûtements palier 2 (250 + 500 = 750)
Télékinésie palier 1 (250)
= 3850
Immunité : terre
Faiblesse : eau
En plus de la magie enseignée par le clan et pendant son cursus à l’Université, Nut manie une épée nommée Nebaa. Elle l’a acquise lors de son entrée à Drakstrang, comme le veut la tradition du clan. Elle l’a déjà sortie de bien de situations.
Description physique et mentale
Aimante – fidèle – à l’écoute – chaleureuse – souriante – bienveillante – brave – perdue – courageuse – honnête – consciencieuse – combattive.
Les grains de sable éparpillés dans la chevelure sombre, ils tombent sur le sol, créent un sentier vers l’âme qui, épée à la main, se fraie un chemin parmi les ombres. Nut n’est pas bien grande, Nut n’impressionne pas mais les moqueries soudain cessent. Le métal révélé, les voix qui se taisent et l’on passe son chemin. Elle n’est pas d’humeur à supporter les sottises. Le regard est figé, les couleurs tremblent : jaune, bleu ; bleu, jaune. L’on ne retient jamais quel œil arbore quelle teinte, mais elle, le sait. Ils sont sublimes, disent-ils, et l’on peut y lire une tendresse qu’elle cache bien. Ses cheveux sont courts, sombres, la coiffure lève un sourcil, un autre, mais « ce n’est pas trop moche » qu’elle souffle la dame, avant de s’enfuir en boitillant. Nut s’est retournée, et l’enfer aurait pu se déchaîner d’un simple claquement de doigts. La peau est soignée, aimée. En haut de la cuisse, le tatouage reikois. Chaque jour, d’onéreuses lotions sont appliquées pour garder un éclat de vie, pour lui prouver, même à elle, qu’elle est bien vivante, qu’elle ne va pas mourir, pas aujourd’hui. Pas demain non plus. Les grains de sable volent autour de son visage, la colère a disparu, ils retombent mollement.
Nut est perdue, l’esprit agité par les tracas. Sa morale rencontre ses sentiments, et c’est le drame. Son frère, son cher frère… non, rien ne sert d’y repenser, ce n’est point le moment. Elle est déterminée à faire le bien, mais déviera-t-elle de sa ligne de conduite pour commettre un crime affreux ? Nul ne le sait. La jeune femme parcourt les routes, s’arrête dans des auberges et parle. L’on vient aisément vers elle, elle offre des sourires, une main paisible posée sur l’épaule, le bras, elle soigne les blessures, même celles que l’on ne voit pas. Elle a les oreilles partout, vient vers ceux qui ont besoin d’aide. Un avenir meilleur l’attend, l’Université, elle y était heureuse, mais elle a quelque chose à accomplir, sans savoir si c’est une bonne décision. Elle traîne, hésite. Elle a été fidèle, elle a aimé, elle a obéi aveuglément, par reconnaissance, par peur. Les choses ont changé, et ça gigote dans son crâne, un parasite s’y développe et elle ne sait plus. Elle oublierait presque qui elle est. Un manque immense dans son cœur, mais un soulagement. Que doit-elle faire ?
Les grains de sable éparpillés dans la chevelure sombre, ils tombent sur le sol, créent un sentier vers l’âme qui, épée à la main, se fraie un chemin parmi les ombres. Nut n’est pas bien grande, Nut n’impressionne pas mais les moqueries soudain cessent. Le métal révélé, les voix qui se taisent et l’on passe son chemin. Elle n’est pas d’humeur à supporter les sottises. Le regard est figé, les couleurs tremblent : jaune, bleu ; bleu, jaune. L’on ne retient jamais quel œil arbore quelle teinte, mais elle, le sait. Ils sont sublimes, disent-ils, et l’on peut y lire une tendresse qu’elle cache bien. Ses cheveux sont courts, sombres, la coiffure lève un sourcil, un autre, mais « ce n’est pas trop moche » qu’elle souffle la dame, avant de s’enfuir en boitillant. Nut s’est retournée, et l’enfer aurait pu se déchaîner d’un simple claquement de doigts. La peau est soignée, aimée. En haut de la cuisse, le tatouage reikois. Chaque jour, d’onéreuses lotions sont appliquées pour garder un éclat de vie, pour lui prouver, même à elle, qu’elle est bien vivante, qu’elle ne va pas mourir, pas aujourd’hui. Pas demain non plus. Les grains de sable volent autour de son visage, la colère a disparu, ils retombent mollement.
Nut est perdue, l’esprit agité par les tracas. Sa morale rencontre ses sentiments, et c’est le drame. Son frère, son cher frère… non, rien ne sert d’y repenser, ce n’est point le moment. Elle est déterminée à faire le bien, mais déviera-t-elle de sa ligne de conduite pour commettre un crime affreux ? Nul ne le sait. La jeune femme parcourt les routes, s’arrête dans des auberges et parle. L’on vient aisément vers elle, elle offre des sourires, une main paisible posée sur l’épaule, le bras, elle soigne les blessures, même celles que l’on ne voit pas. Elle a les oreilles partout, vient vers ceux qui ont besoin d’aide. Un avenir meilleur l’attend, l’Université, elle y était heureuse, mais elle a quelque chose à accomplir, sans savoir si c’est une bonne décision. Elle traîne, hésite. Elle a été fidèle, elle a aimé, elle a obéi aveuglément, par reconnaissance, par peur. Les choses ont changé, et ça gigote dans son crâne, un parasite s’y développe et elle ne sait plus. Elle oublierait presque qui elle est. Un manque immense dans son cœur, mais un soulagement. Que doit-elle faire ?
Histoire ou test-rp
Nut est née à l’écart des villes, dans le clan Shidhi. Un groupe d’élémentaires de sable observant des règles strictes, vivant exclusivement dans leur immense propriété où chacun avait sa chambre, où les repas étaient pris ensemble, dans une joie relative, le poids des traditions. Une richesse obscène, un impact certain que Nut n’a jamais pris la peine de comprendre. Le clan Shidhi sort peu, ils se suffisent à eux-mêmes. Il n’est pas interdit de partir, toutefois, et certaines âmes s’égarent à l’extérieur, ne reviennent que rarement mais sont toujours accueillis avec la même chaleur. Nut voit ses parents mourir jeunes, l’extérieur est dangereux, ils sont partis, ne sont jamais revenus. Le clan s’est occupé d’elle, et de son petit-frère, né quelques années plus tard. Il est de faible constitution, est malade la moitié du temps et juge son état injuste. Nut l’aime énormément, mais elle ne sait que faire pour le soulager, pour le guérir.
Le clan Shidhi forme des guerriers. Depuis tout petits, les jeunes élémentaires reçoivent une arme usée qu’ils espéreront remplacer une fois l’âge adulte atteint. Le maître des compétences, comme il aime s’appeler, joue de la musique pour réveiller ses troupes et les tirer à l’entraînement. Chaque apprenant effectue les mêmes mouvements des heures durant. Ils se battent parfois, on les forme, mais pour quoi ? Le murmure court qu’un conflit serait proche, mais l’on n’en sait pas plus. Chaque jour, chaque élève assiste également à des lectures qui « ouvrent l’esprit ». Même enfermée entre tous ces murs, Nut développe ses compétences. Elle voue un amour sans limites pour sa famille et les règles qui régissent la vie.
Elle a des rêves, et parfois, en petits groupes, ils partent et découvrent le monde, mus par une mission. Ils reviennent bien vite, victorieux toujours. Nut se renseigne sur le Reike dont elle fait partie. Elle sait que les adultes ne sont pas des ermites, que le clan n’impose pas une présence constante. Elle atteint l’âge adulte, et on lui propose d’intégrer l’Université de Drakstrang. Elle n’est pas obligée d’accepter, mais les sages du clan ne lui apporteront jamais les savoirs les plus exquis. Elle embrasse son frère, ils discuteront par courrier, et elle s’enfuit vers la capitale. Découverte qui la laisse sans voix. Tant d’âmes différentes ! Tant de projets d’avenir ! Elle oublie presque son but, s’égare dans les rues. Elle se laisse quelques jours avant de rencontrer ceux qui décideront de son avenir.
Elle est officiellement admise dans le cursus médical. Elle veut soigner ce qui tue son frère à petit feu depuis sa naissance, personne n’a pu les aider. Ses parents ne sont plus là pour la conseiller. Elle a peur, elle est tout juste adulte mais elle a su jusqu’ici se débrouiller. Quelques jolies années pendant lesquelles elle profitera de la vie reikoise qu’elle ne connaissait pas, les règles abolies, elle se fera des amis. Elle n’est pas mauvaise soldate, elle est pas mauvaise élève, loin de là. On lui a payé les frais de scolarité, mais elle décidera, à la fin de ses études, de servir l’Empire pendant plusieurs années avant de définitivement rentrer chez elle, prolongeant la bulle de plaisir, oubliant ses responsabilités, ce pour quoi elle est là. Fuit-elle quelque chose, quelqu’un ?
Son frère et elle ont échangé pendant toutes ces années. Et lentement, elle a vu, non pas l’état de santé de son cadet se détériorer, mais les relations du clan avec leurs voisins empirer. Le clan est passé à l’attaque, il met la pression sur les autres clans pour obtenir des hommes, pour obtenir des terres. L’on parle d’un objet millénaire, les chefs veulent mettre la main dessus. On leur résiste. Une guerre se prépare-t-elle entre les quatre maisons ? Ils n’ont aucune chance, à un contre trois… C’est dans cette atmosphère tendue que la jeune femme retrouve les siens. Les agressions se multiplient, elle n’a pas le loisir de donner son avis. Son importance grandit, elle soigne les blessés mais conseille les décisionnaires. Elle est à leur merci, que feront-ils à son frère si elle désobéit ? S’enfuir n’est pas une option envisageable. Le garçon est trop faible, on les rattraperait, ils seront condamnés à mort, exécutés avec leur propre arme. Elle reste, abdique pour le protéger.
Elle voyage quelques jours sur ordre de son maître, mais à son retour, il n’y a plus de clan Shidhi. Les cadavres s’empilent, les chefs ne sont plus. Dans les décombres et les flammes, elle cherche son petit-frère, celui qui lequel elle se bat dans le secret de ses songes. Transpercé par une lame, la sienne, il gît. Ses yeux sont ouverts, ses yeux pleurent et Nut tombe à ses côtés. Elle saisit sa main presque froide, elle le supplie de lui répondre, mais c’est trop tard. Il sait qu’elle l’aime, elle sait qu’il l’aime, frère et sœur, séparés pour l’éternité. Ce sera le seul qui aura le droit à une sépulture digne, ramené vers les terres peuplées du Reike.
Sa famille décimée, une responsabilité qui vole en éclats, un monde qui s’écroule. Le clan Shidhi avait fort mal tourné, leurs exactions méritaient d’être punies, mais était-ce la bonne façon de faire ? Les trois clans alliés contre un seul, une vengeance qui cherche une vengeance ? Nut pense à son avenir, devant la tombe de son frère. Que voudrait-il qu’elle fasse ? Reprendre des études ? Parcourir le monde en quête de rédemption ? Se venger ? La balance divine s’écroule sous le poids des regrets, des indécisions. Elle est la seule survivante du clan Shidhi, elle doit le reconstruire, ou l’oublier à jamais.
Elle a rejoint les Forces Médicales Reikoises très récemment, remplissant toutes les conditions d'accès grâce à ses années d'études et d'armée prestées par le passé, avant la chute du clan.
Le clan Shidhi forme des guerriers. Depuis tout petits, les jeunes élémentaires reçoivent une arme usée qu’ils espéreront remplacer une fois l’âge adulte atteint. Le maître des compétences, comme il aime s’appeler, joue de la musique pour réveiller ses troupes et les tirer à l’entraînement. Chaque apprenant effectue les mêmes mouvements des heures durant. Ils se battent parfois, on les forme, mais pour quoi ? Le murmure court qu’un conflit serait proche, mais l’on n’en sait pas plus. Chaque jour, chaque élève assiste également à des lectures qui « ouvrent l’esprit ». Même enfermée entre tous ces murs, Nut développe ses compétences. Elle voue un amour sans limites pour sa famille et les règles qui régissent la vie.
Elle a des rêves, et parfois, en petits groupes, ils partent et découvrent le monde, mus par une mission. Ils reviennent bien vite, victorieux toujours. Nut se renseigne sur le Reike dont elle fait partie. Elle sait que les adultes ne sont pas des ermites, que le clan n’impose pas une présence constante. Elle atteint l’âge adulte, et on lui propose d’intégrer l’Université de Drakstrang. Elle n’est pas obligée d’accepter, mais les sages du clan ne lui apporteront jamais les savoirs les plus exquis. Elle embrasse son frère, ils discuteront par courrier, et elle s’enfuit vers la capitale. Découverte qui la laisse sans voix. Tant d’âmes différentes ! Tant de projets d’avenir ! Elle oublie presque son but, s’égare dans les rues. Elle se laisse quelques jours avant de rencontrer ceux qui décideront de son avenir.
Elle est officiellement admise dans le cursus médical. Elle veut soigner ce qui tue son frère à petit feu depuis sa naissance, personne n’a pu les aider. Ses parents ne sont plus là pour la conseiller. Elle a peur, elle est tout juste adulte mais elle a su jusqu’ici se débrouiller. Quelques jolies années pendant lesquelles elle profitera de la vie reikoise qu’elle ne connaissait pas, les règles abolies, elle se fera des amis. Elle n’est pas mauvaise soldate, elle est pas mauvaise élève, loin de là. On lui a payé les frais de scolarité, mais elle décidera, à la fin de ses études, de servir l’Empire pendant plusieurs années avant de définitivement rentrer chez elle, prolongeant la bulle de plaisir, oubliant ses responsabilités, ce pour quoi elle est là. Fuit-elle quelque chose, quelqu’un ?
Son frère et elle ont échangé pendant toutes ces années. Et lentement, elle a vu, non pas l’état de santé de son cadet se détériorer, mais les relations du clan avec leurs voisins empirer. Le clan est passé à l’attaque, il met la pression sur les autres clans pour obtenir des hommes, pour obtenir des terres. L’on parle d’un objet millénaire, les chefs veulent mettre la main dessus. On leur résiste. Une guerre se prépare-t-elle entre les quatre maisons ? Ils n’ont aucune chance, à un contre trois… C’est dans cette atmosphère tendue que la jeune femme retrouve les siens. Les agressions se multiplient, elle n’a pas le loisir de donner son avis. Son importance grandit, elle soigne les blessés mais conseille les décisionnaires. Elle est à leur merci, que feront-ils à son frère si elle désobéit ? S’enfuir n’est pas une option envisageable. Le garçon est trop faible, on les rattraperait, ils seront condamnés à mort, exécutés avec leur propre arme. Elle reste, abdique pour le protéger.
Elle voyage quelques jours sur ordre de son maître, mais à son retour, il n’y a plus de clan Shidhi. Les cadavres s’empilent, les chefs ne sont plus. Dans les décombres et les flammes, elle cherche son petit-frère, celui qui lequel elle se bat dans le secret de ses songes. Transpercé par une lame, la sienne, il gît. Ses yeux sont ouverts, ses yeux pleurent et Nut tombe à ses côtés. Elle saisit sa main presque froide, elle le supplie de lui répondre, mais c’est trop tard. Il sait qu’elle l’aime, elle sait qu’il l’aime, frère et sœur, séparés pour l’éternité. Ce sera le seul qui aura le droit à une sépulture digne, ramené vers les terres peuplées du Reike.
Sa famille décimée, une responsabilité qui vole en éclats, un monde qui s’écroule. Le clan Shidhi avait fort mal tourné, leurs exactions méritaient d’être punies, mais était-ce la bonne façon de faire ? Les trois clans alliés contre un seul, une vengeance qui cherche une vengeance ? Nut pense à son avenir, devant la tombe de son frère. Que voudrait-il qu’elle fasse ? Reprendre des études ? Parcourir le monde en quête de rédemption ? Se venger ? La balance divine s’écroule sous le poids des regrets, des indécisions. Elle est la seule survivante du clan Shidhi, elle doit le reconstruire, ou l’oublier à jamais.
Elle a rejoint les Forces Médicales Reikoises très récemment, remplissant toutes les conditions d'accès grâce à ses années d'études et d'armée prestées par le passé, avant la chute du clan.
Groupes d'intérêts
Université de Drakstrang : cette université a accueilli pendant quelques belles années la jeune élémentaire. Elle y a suivi un cursus en médecine, puis a servi l'armée pendant un temps, malgré les études pleinement payées par les Shidhi.
Forces médicales reikoises : Malgré ses années d'étude en poche, la possibilité d'entrer dans les Forces Médicales Reikoises, elle a préféré rentrer chez elle. La situation devenait intenable, et son avenir était là-bas. Mais ayant tout perdu, elle a remis ses choix, sa vie en question. Après quelques mois à lorgner sur les FMR qu'elle avait dû ignorer pour le bien du clan, elle s'est enfin décidée à les rejoindre. Elle a besoin de se sentir utile.
Forces médicales reikoises : Malgré ses années d'étude en poche, la possibilité d'entrer dans les Forces Médicales Reikoises, elle a préféré rentrer chez elle. La situation devenait intenable, et son avenir était là-bas. Mais ayant tout perdu, elle a remis ses choix, sa vie en question. Après quelques mois à lorgner sur les FMR qu'elle avait dû ignorer pour le bien du clan, elle s'est enfin décidée à les rejoindre. Elle a besoin de se sentir utile.
derrière l'écran
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