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  • Dim 26 Mar - 18:44
    AN 2, 4 Août, par une belle matinée // Dans la demeure des Leotoris-

    L'hésitation à prendre la parole.

    L'effort de le faire malgré tout.

    - Maîtresse Amisla... comment se porte mon Maître?

    La dame d'une soixantaine d'année refermait la porte derrière elle, visiblement peu surprise de voir la drakyn au même endroit où elle l'avait laissée.

    - Ce n'est qu'un simple rhume, Mirelys. Tu n'as pas à t'inquiéter autant, il a juste besoin de repos.

    Bien que les traits de son visage trahissait son âge, Dame Amisla restait une très belle femme qui prenait grand soin de son apparence. Ses longs cheveux blancs était d'une grande douceur et un parfait de lavande en émanait constamment. Ses petits yeux bleu clair brillaient toujours de cette grande gentillesse dont la dame ne tarissait jamais. Ses paroles rassuraient la barbare, la santé de Maïtre Kalhede avait parfois tendance à faire des hauts et des bas sans prévenir. Lui prenait toujours cela à la plaisanterie, sans grand sérieux. Il fallait parfois l'aliter de force! Difficile de comprendre comment un homme si âgé parvenait à trouver autant d'énergie et à courir dans tous les sens malgré ses maux. En comparaison Maîtresse Amisla était bien plus calme.
    Amisla Leotoris:

    - Nous devrions plutôt nous préparer à acceuillir le contrôleur du Reike, il ne devrait guère tarder maintenant.

    La verte acquiesçait, marchant à la suite de sa propriétaire pour rejoindre le petit salon. Sur la table étaient déjà préparés divers piles de documents, de livres, d'écrits variés. Tout le passé de la famille résidait dans ces textes, mais aussi le présent et le futur. Les possessions vendues, achetées, prévues. Quelques maisons, quelques demeures, quelques terres. Les Leotoris étaient loin d'être les plus riches, mais ils étaient définitivement aisés. La résidence familiale le prouvait clairement, l'endroit respirait un certain prestige sans pour autant tomber dans le luxe indécent ou la démesure. La bâtisse était âgée mais avait clairement été construite pour durer, affichant une architecture décorée et agréable à l'oeil. Un endroit assez humble que seuls de belles portes, de beaux vitrages et des murs habillés de jolies peintures donnaient du cachet. La seule excentricité était ce plancher de bois, choisi au détriment d'un sol de pierre. Coûteux à entretenir mais plus agréable pour se déplacer.

    La fin de matinée approchait. Selon Dame Amisla, c'était l'heure à laquelle le contrôleur faisait en général son apparition. Myrelis n'avait jamais rencontré cet homme et pour cause, cela faisait une année et quelques mois qu'elle vivait avec les Leotoris. L'an dernier, elle était encore convalescente et n'avait guère toute sa tête, difficile de lui faire rencontrer qui que c'était. La verte était partie rejoindre Mekhel à l'entrée, la principale servante de la famille, pour accueillir l'important personnage. Mekhel était tout le contraire du couple âgé, elle n'avait pas sa langue dans sa poche et possédait ce regard glacial qui en disait souvent long sur ce qu'elle pensait. D'ailleurs, elle ne semblait pas particulièrement heureuse à l'idée de voir l'invité en question. L'irritation se lisait clairement sur son visage.

    - Est-ce... qu'il y a un problème avec Messire Reys? La barbare osait s'interroger sur le clair agacement de la servante.

    - C'est un contrôleur des taxes du Reike, qu'est-ce tu crois? Qu'il soit beau gosse ne change rien, à la fin du mois on est taxées pareil. J'aime garder mon salaire, tu vois? Tout le monde bosse pas gratuit comme toi. La réponse était sèche et cinglante. Avec sa chevelure courte ténébreuse et ses yeux d'un bleu glacial, Mekhel avait toujours été intimidante. Elle n'avait beau mesurer qu'un mètre soixante, Mirelys avait appris à la craindre et à obéir à ses directives. Froide, sévère mais juste, la servante avait été une précieuse tutrice pour la verte, surtout pour ce qui était tâches ménagères.
    Mekhel:

    La barbare se demandait à quoi ressemblait cette personne. Les visites officielles de ce genre n'étaient pas dans ses habitudes mais elle allait enfin rencontrer un éminent membre de l'Empire.

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  • Lun 27 Mar - 20:45
    La nervosité de la barbare persistait. Cela faisait déjà de longues minutes qu'elle attendait en compagnie de Mekhel. Comment faisait-elle pour ne pas en devenir folle?

    Aussi la verte réajustait sa tunique sans manches. Un vêtement très sobre mais loin d'être disgracieux. Le seul problème c'est que ses bras étaient nus, ses innombrables cicatrices étaient visibles. En comparaison la tenue de la servante semblait bien plus luxueuse.

    - Est-ce vraiment approprié pour moi d’accueillir cette personne? Marmonnait entre deux pensées intrusives la drakyn. - Et si ma tenue ne convient pas? Mes cicatrices lui déplaisent? S'il est révulsé par ma présence? Maître Kalhede sera...

    - La ferme Mirelys. Si tu es trop nerveuse, dégage moi le plancher. Tu ne feras que me gêner. Sèchement coupée par Mekhel, la colosse se taisait.

    Ses craintes ne faisaient que s'amplifier, elle cherchait déjà une fuite à cette situation. Pas le temps cependant pour la verte de fuir ses responsabilités. On frappait aussitôt à la porte pour son plus grand malheur. Sa collègue ouvrait alors sans plus tarder, offrant au nouveau venu une voix douce, qui restait à ses heures perdus tout de même sèche dans son élocution.

    - Bienvenue à la maison Leotoris, Messire Reys. C'est un honneur pour nous de vous recevoir en ce jour. La paume collée contre son cœur, elle fit une petite courbette. Mirelys l'imitait.

    - B-bienvenue... Avait marmonné la géante, sans vraiment de conviction.

    Il fallait dire que la façon dont s'était présentée l'homme avait de quoi être impressionnante. Pour la barbare la pression devenait énorme d'un coup, si elle ne l'était pas déjà avant. Elle n'était rien d'autre sur ces terres qu'une fourmi par rapport à tout ces gens. Un insecte qu'ils pouvaient écraser de leur simple soulier. Une esclave sans droits, si l'on mettait de côté son appartenance à une famille noble. Aussi la verte baissait les yeux, cherchant à ne pas regarder cet individu bien habillé de grande importance. Malheureusement, vu sa grandeur, ses pupilles tomberaient inévitablement sur l'homme qui s'invitait dans la demeure. C'était un personnage plutôt grand possédant une carrure bien taillée ainsi qu'un charme indéniable. Un visage aux traits masculins, un air définitivement charmeur. Était-cela que Mekhel appelait un 'beau gosse'?

    - Dame Amisla vous attends, veuillez me suivre s'il-vous-plaît. Fit la servante sans attendre.

    Mekhel ouvrait la voie, indiquant à monsieur la marche à suivre. Mirelys elle, suivait derrière sans mot dire. Si elle pouvait éviter les paroles de travers, si elle pouvait éviter d'offenser cet invité de marque, cela n'en serait que mieux. Pourtant, elle ne pouvait pas s'en empêcher, c'était plus fort qu'elle.

    - A-avez-vous fait bon voyage...? Elle demandait cela avec une certaine timidité et une réelle appréhension.

    - Si Messire Reys n'avait pas fait bon voyage, il ne serait pas là, crétine. Se murmurait Mekhel à elle-même, passablement irritée. S'il était difficile d'entendre ses paroles, l'agacement se lisait clairement sur son visage. Elle appréciait beaucoup la grande géante mais parfois elle avait envie de lui mettre des claques. Si elle était assez grande pour ça, évidemment.

    Les quelques couloirs qu'ils traversaient n'avaient rien de très extravaguant. Quelques peintures familiales, des portraits de Leotoris disparus depuis, ainsi que quelques œuvres d'art principalement offertes par des marchands grâce au troc. En recevant des visiteurs à la recherche de soins, Amisla Leotoris ne demandait pas obligatoirement de l'argent, d'où parfois de bonnes surprises. La famille avait une très bonne réputation dans le domaine médical. Après tout, le patriarche actuel, Kalhede, était un ancien Shekh-drivo de la capitale désormais à la retraite. Une grande partie de la fortune actuelle des nobles provenait de l'ex-profession du désormais vieil homme. Il ne tenait plus qu'aux six fils Leotoris servant l'armée du Reike de participer à l'enrichissement familial.

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  • Lun 3 Avr - 23:05
    La drakyn ne savait pas vraiment où se mettre.

    Mekhel avait toujours été du genre froide et stricte, mais la voir aussi particulièrement remontée était étonnant. Les rares fois où cela arrivait, c'était quand des marchands plus ou moins honnêtes essayaient de vendre des remèdes miracles douteux à Dame Amisla. Elle ne devait vraiment pas apprécier ce monsieur! La drakyn ne touchait pas de salaire en tant qu'esclave, aussi elle avait du mal à réaliser à quel point la visite de ce contrôleur était si problématique. La réaction de l'homme face à l'attitude de la servante ne s'était pas faite attendre et contrairement aux craintes de Mirelys, il ne semblait pas outré plus que cela. Il avait plutôt l'air de s'en amuser. Pour autant l'esclave n'était pas plus rassurée que cela, aussi elle essayait de rattraper les choses à sa façon, tant bien que mal.

    - Veuillez l'excuser, elle ne pense pas ce qu'elle dit! Elle est bien sûr très heureuse que vous soyez présent parmi nous aujourd'hui... Bredouillait la verte d'un ton peu convainquant.

    - Ce type vient prendre notre argent, débile. Soufflées dans un murmure, les paroles de la brune étaient presque inaudibles. Et ses pas prenaient fin devant une porte décorée.

    - Veuillez patienter ici s'il-vous-plaît. Dame Amisla va vous recevoir.

    Sur cette demande polie, elle s'engouffrait dans la pièce en abandonnant le contrôleur et la drakyn. Pour le plus grand malheur de cette dernière.

    Maudite Mekhel! Pourquoi est-ce qu'elle la laissait seule avec ce monsieur si important?! La verte commençait à stresser. Encore plus qu'au début. Elle n'était pas sûre de pouvoir supporter une telle pression plus de quelques minutes. Déjà que la servante avait été impolie, pour ne pas dire rude! Que se passerait-il si Messire Reys s'en offensait? Est-ce que c'était vraiment comme ça tous les ans? La drakyn avait la cervelle en ébullition. Elle ne pouvait pas laisser ce silence peser trop longtemps, cela ne risquait-il pas de froisser monsieur? Elle hésitait, réfléchissait, ne sachant guère quel sujet aborder.

    - Quel effet cela fait d'être au service du Roi et de la Reine? Fit-elle soudainement, sans le vouloir. C'était une pensée qui lui traversait l'esprit et comme souvent avec Mirelys, cela avait fini par sortir de sa bouche involontairement.

    - P-pardonnez mon impudence, Messire Reys! Je ne voulais pas vous importuner avec ma question soudaine... Elle prenait son courage à deux mains. - Je veux dire... c'est une position vraiment prestigieuse, de pouvoir servir la Royauté. Je n'ose imaginer ce que doit représenter un tel pouvoir et encore moins les responsabilités qui en incombent. Est-ce un travail difficile? Dangereux? Vous n'avez pas d'escorte il me semble. Vous devriez faire attention, il y a des détrousseurs qui rodent à Kyouji en ce moment, un simple contact et ils dérobent votre bourse! Mal leur en prendrait, s'en prendre à vous, c'est s'en prendre à la Royauté! Je me demande d'ailleurs à quoi ressemblent le Reine et le Roi... Vous savez sûrement! Est-il vrai que la Reine possède une extraordinaire beauté capable de charmer quiconque? Que le Roi est un géant d'acier qui fait voler les têtes de ceux qui le contredisent?

    La curiosité prenait le pas sur ses craintes. Bien sûr elle courrait toujours le risque d'être sèchement rappelée à l'ordre sur sa situation. Ce n'était pas parce que l'homme avait l'air amical qu'il l'était réellement. Après tout elle ne savait rien de lui et il était difficile de juger quelqu'un sur une première impression. Pourtant elle s'était exprimée, avec la curiosité d'une enfant qui n'avait jamais vu le monde autrement que par le biais d'affiches, de racontars et d'autres discours enjolivés par des voyageurs de passage. Au fur et à mesure que la drakyn parlait, son visage s'était adoucit, sa nervosité s'était un peu évanouie. Le sourire qui ornait ses lèvres était parfaitement honnête. On lisait facilement en elle, mieux encore que dans un livre ouvert. Il n'y avait aucune malice dans son attitude ni dans sa joie.

    Juste une naïve curiosité de la part d'une colosse bardée de cicatrices.

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    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Jeu 13 Avr - 13:13
    Quand la verte commençait son flot de paroles, il était difficile de l'arrêter. Sa soif extraordinaire de savoir, sa grande curiosité, pouvaient la rendre aussi attachante qu'insupportable. Il n'y avait parfois tout simplement aucun moyen de la stopper! Les deux mains jointes, elle ensevelissait le noble invité sous un déluge de questions, oubliant quelques secondes son statut d'esclave inférieure. A aucun moment l'individu n'avait été réfractaire à la discussion, tout au contraire même. C'était plutôt Mekhel qui posait problème dans l'équation, un comble pour une servante dont le rôle était de subvenir aux besoins des invités et d'être la première ligne de cordialité de la demeure.

    Pour le plus grand bonheur de Mirelys, l'homme lui répondait sans détours. Sa réplique était prévisible. Mirelys avait déjà entendu des officiels, de loin, dans les rues, dire exactement la même chose.

    - Je n'en doute pas. Fit-elle avec un doux sourire. Non elle ne doutait pas du fait de servir la Royauté en accomplissant son devoir d'esclave. En revanche elle doutait certainement pouvoir régler sa dette un jour, cette dernière étant éternelle. Telle était la gravité de ses crimes passés. Telle était son officielle condamnation.

    Messire Reys était agréablement loquace. La barbare se réjouissait de l'amicalité de cette personne, elle en oubliait peu à peu la forte pression qui résidait sur ses épaules à l'idée d'être aux côtés de quelqu'un d'aussi important. Amical mais non sans défense, ce monsieur ne craignant guère les voyages grâce à ses escortes extérieures et ce qu'elle imaginait être des compétences de combat. Il semblait évident pour un contrôleur d'impôts réclamant des sommes d'argent aux nobles de savoir se défendre. L'épée qui trônait à sa ceinture était assez parlante. D'habitude les invités qui entraient dans la demeure devaient laisser leurs armes, mais si Mekhel n'avait rien dit, c'est qu'il fallait sûrement faire une exception pour ce monsieur.

    Il parlait alors du couple Royal et Mirelys était pratiquement pendue à ses lèvres. Ainsi il était vrai que la Reine était splendide! Non pas que la colosse en aurait douté une seule seconde. Quant au Roi, il était vraiment le plus fort! La légende du duo Royal n'était donc pas un mythe, Messire Reys en attestait de sa propre personne. Bien sûr tout n'était sans doute pas vrai, la verte avait entendu nombre d'histoires farfelues concernant le couple divin! Elle s'imaginait déjà en cet instant bombarder le contrôleur de multiples questions, même si le pauvre n'avait sans doute pas que cela à faire. Et le monsieur le prouvait en exprimant une soudaine question, une question personnellement adressée à une barbare étonnée. - Mes cicatrices? Fort évidemment, elle jetait un regard machinal sur ses avant-bras découverts. Bardés d'innombrables traces impossible à compter.

    - Elles me viennent de mon ancien propriétaire, Maître Rowland. La réponse de Mirelys était venue naturellement. Bien qu'elle n'aimait pas particulièrement en parler. - Mon ancien Maître était très... rude. Je ne saurais me souvenir combien de fois j'ai frôlé la mort en sa possession. Fort heureusement, mes propriétaires actuels sont d'illustres bienfaiteurs qui prennent grand soin de ma santé bien que je ne le mérite guère. En tant que Netsach Ebed coupable de crimes graves, je n'aurais jamais imaginé être si bien traitée un jour. Je suis très reconnaissante envers eux, aussi je leur ai juré loyauté jusqu'à mon dernier souffle. La colosse se grattait la tête, un peu embarrassée. - Une criminelle jurant loyauté doit sûrement vous faire sourire, j'imagine.

    La verte pensait déjà que l'homme se moquerait de sa dévotion envers ses Maîtres. Il était déjà assez étrange qu'une fière drakyn finisse esclave, sans doute était-il encore plus étrange que celle-ci se dévoue entièrement à une famille noble de Kyouji. N'importe qui penserait que cela ne tournait pas rond sous ces longues cornes. La barbare se posait cependant une petite question dans un coin de sa tête... que faisait Mekhel? La servante leur avait dit d'attendre, mais il était impoli de faire trop attendre un invité de marque. Une chance que ce dernier était une personne plutôt agréable, qui prenait la peine de répondre à une simple esclave. La verte avait plutôt l'habitude qu'on lui jette de la terre au visage, qu'on l'insulte, ou qu'on la regarde avec mépris. Les joies d'être une éternelle condamnée.

    - Pardonnez ma curiosité, mais croyez-vous au Pardon, Messire Reys? Pensez-vous qu'une personne peut s'absoudre de ses crimes un jour?

    Une soudaine, très soudaine interrogation.

    Ce n'était sans doute pas une bonne idée de demander cela à un homme de loi.

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