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20 octobre an 3
La réunion des nations. Enfin, pas réellement une réunion comme on pouvait le penser. Il s’agissait d’avantage d’une réunion des différentes académie du continent plutôt qu’une réunion d’état. Chacun représentait une école et la réunion se passait au sein de l’Académie Magic. Cela ne plairait surement aux autres représentants, mais elle restait la meilleure dans son domaine et comptait probablement la mage la plus accomplie. Oh, clairement, ce n’était pas le Dérangeant. Lui, il restait une référence dans le domaine, en particulier tout ce qui touchait aux arts sombres. Non, on parlait bien de la Dame, la personne qui dirigeait l’endroit.
Bref, ce n’était de toute façon pas elle qui allait être la représentante de la réunion. Il allait s’agir tout simplement du Dérangeant, ancien apprenti de la Dame (bien qu’il se considérait très loin d’être son égal dans le domaine magique). Certains diraient que c’était peut-être un choix dérangeant. Mais il insistait pour le faire en tant que Pléiades. Certes, il n’était pas l’ordre incarné et ses méthodes pouvaient paraitre obscurs, mais il a un bon fond. Il n’en a jamais cure de tout le système politique. Quand les titans se sont dressés, il n’a pas hésité à se retrousser les manches. Il veillera au bien commun, utilisant tout ce dont il aura besoin. Si il était né républicain, il considérait chaque personne de la même façon. Oh, il avait ses préférences, mais ce n’était jamais en lien avec leur race ou lieu de naissance.
Donc, le Dérangeant était assis sur un fauteuil de rouge. De part et autre, deux petits tabourets rembourés étaient posés. Ils étaient réservés pour ses serviteurs (bien qu’on pouvait douter qu’il les considère juste ainsi). Bref, devant lui une table aux multiples mets ainsi que trois autres canapés. Aucun n’était plus luxueux. Tous seraient traités avec égalité. Son regard se posa sur le ciel étoilé à travers la petite fenêtre. La nuit était déjà bien avancée après tout et l’endroit n’était éclairé que par les torches de la pièce. Il n’avait plus qu’à attendre que les diablotins amènent les invités.
Côté Eleinder
Lucie frappa avec vivacité à la porte de la chambre réservée au représentant des elfes. Visiblement, elle avait sortie sa meilleure robe et avait laissé tomber ses cheveux. Malgré ses tentatives de paraitre un temps soi peu noble, on voyait un certain comportement sauvage dans sa démarche. Elle n'avait rien de manies de noble, mais elle dégageait une confiance inébranlable malgré ses 50 cm. Très sûre d’elle, elle frappa à la porte et à peine la porte s’ouvrait qu’elle décochait un immense sourire.
« Bonsoir. Je suis l’assistante du Dérangeant. J’imagine que tu..fin…vous êtes E…li…en…der ? »
Oui, son nom n’était guère évident pour la diablotine, mais elle s’acquittait de sa tâche avec une ferveur assez importante.
« Allez, le patron nous attend. En marche mauvaise troupe. »
A y réfléchir, était-ce le meilleur choix que de l’envoyer ? Qui sait. Il avait ses raisons que la raison ignore.
Côté de Genryusai
A l’autre chambre, tout aussi luxueuse, ce fut Asmodeus qui allait guider l’autre représentant, mais autre diablotin, autre ambiance. Il semblait bien plus stresser. Il était moins confiant, mais il avait une bien plus grande politesse. Ainsi quand la porte s’ouvrit, il se pencha particulièrement bas, extrêmement poli face au dignitaire face à lui. Il savait que c’était un homme d’une importance capitale. Il avait mis aussi son plus beau costume.
« Bon..bonsoir Sir. C’est un…euh…honneur de vous ser…servir de guide…pour…pour… la réunion. »
Si la politesse et les manières étaient en lui. Il avait aussi un manque évident de confiance en lui et une peur terrible. On pourrait presque croire que c’était de l’invité. En vérité, il y avait un peu de ça, mais cela venait surtout de sa peur de décevoir son maitre. Maintenant, il attentait qu’un mot pour se mettre en route.
Lucie
Asmodeus
La réunion des nations. Enfin, pas réellement une réunion comme on pouvait le penser. Il s’agissait d’avantage d’une réunion des différentes académie du continent plutôt qu’une réunion d’état. Chacun représentait une école et la réunion se passait au sein de l’Académie Magic. Cela ne plairait surement aux autres représentants, mais elle restait la meilleure dans son domaine et comptait probablement la mage la plus accomplie. Oh, clairement, ce n’était pas le Dérangeant. Lui, il restait une référence dans le domaine, en particulier tout ce qui touchait aux arts sombres. Non, on parlait bien de la Dame, la personne qui dirigeait l’endroit.
Bref, ce n’était de toute façon pas elle qui allait être la représentante de la réunion. Il allait s’agir tout simplement du Dérangeant, ancien apprenti de la Dame (bien qu’il se considérait très loin d’être son égal dans le domaine magique). Certains diraient que c’était peut-être un choix dérangeant. Mais il insistait pour le faire en tant que Pléiades. Certes, il n’était pas l’ordre incarné et ses méthodes pouvaient paraitre obscurs, mais il a un bon fond. Il n’en a jamais cure de tout le système politique. Quand les titans se sont dressés, il n’a pas hésité à se retrousser les manches. Il veillera au bien commun, utilisant tout ce dont il aura besoin. Si il était né républicain, il considérait chaque personne de la même façon. Oh, il avait ses préférences, mais ce n’était jamais en lien avec leur race ou lieu de naissance.
Donc, le Dérangeant était assis sur un fauteuil de rouge. De part et autre, deux petits tabourets rembourés étaient posés. Ils étaient réservés pour ses serviteurs (bien qu’on pouvait douter qu’il les considère juste ainsi). Bref, devant lui une table aux multiples mets ainsi que trois autres canapés. Aucun n’était plus luxueux. Tous seraient traités avec égalité. Son regard se posa sur le ciel étoilé à travers la petite fenêtre. La nuit était déjà bien avancée après tout et l’endroit n’était éclairé que par les torches de la pièce. Il n’avait plus qu’à attendre que les diablotins amènent les invités.
Côté Eleinder
Lucie frappa avec vivacité à la porte de la chambre réservée au représentant des elfes. Visiblement, elle avait sortie sa meilleure robe et avait laissé tomber ses cheveux. Malgré ses tentatives de paraitre un temps soi peu noble, on voyait un certain comportement sauvage dans sa démarche. Elle n'avait rien de manies de noble, mais elle dégageait une confiance inébranlable malgré ses 50 cm. Très sûre d’elle, elle frappa à la porte et à peine la porte s’ouvrait qu’elle décochait un immense sourire.
« Bonsoir. Je suis l’assistante du Dérangeant. J’imagine que tu..fin…vous êtes E…li…en…der ? »
Oui, son nom n’était guère évident pour la diablotine, mais elle s’acquittait de sa tâche avec une ferveur assez importante.
« Allez, le patron nous attend. En marche mauvaise troupe. »
A y réfléchir, était-ce le meilleur choix que de l’envoyer ? Qui sait. Il avait ses raisons que la raison ignore.
Côté de Genryusai
A l’autre chambre, tout aussi luxueuse, ce fut Asmodeus qui allait guider l’autre représentant, mais autre diablotin, autre ambiance. Il semblait bien plus stresser. Il était moins confiant, mais il avait une bien plus grande politesse. Ainsi quand la porte s’ouvrit, il se pencha particulièrement bas, extrêmement poli face au dignitaire face à lui. Il savait que c’était un homme d’une importance capitale. Il avait mis aussi son plus beau costume.
« Bon..bonsoir Sir. C’est un…euh…honneur de vous ser…servir de guide…pour…pour… la réunion. »
Si la politesse et les manières étaient en lui. Il avait aussi un manque évident de confiance en lui et une peur terrible. On pourrait presque croire que c’était de l’invité. En vérité, il y avait un peu de ça, mais cela venait surtout de sa peur de décevoir son maitre. Maintenant, il attentait qu’un mot pour se mettre en route.
Lucie
Asmodeus
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Réunion élémentaire
Feat Le Dérangeant & Genryusai
Il était temps d'enfin procéder à ce sommet entre magiciens. Il a été dépêché depuis Melorn afin de représenter sa prestigieuse Académie très fière de vanter la qualité de ses élèves plutôt que la quantité de ses salles de classe. Toutes les écoles de magies ne peuvent en dire autant d'ailleurs. Quoi qu'il en soit, il a fait le voyage jusqu'à Liberty non sans faire quelques détours sur la route, rajoutant quelques péripéties sur son tableau déjà bien rempli.
Pour être tout à fait honnête, il s'attendait à voir La Dame en personne ce soir. Il en a longtemps entendu parlé sans jamais avoir eu l'occasion de la rencontrer. Qu'elle ne fut pas sa déception en apprenant que c'est une des Pléaides de l'Université qui dirigera finalement la réunion. Enfin, cela importait peu à présent. Il se devait au moins de faire bonne figure, ce qu'il ne manque jamais de faire à chacune de ses apparitions que cela lui plaise ou non. Et puis ce genre de sollicitation était assez rare. Réunir des représentants des plus grandes écoles du pays ? Il y avait de quoi éveiller son intérêt en espérant qu'il ne se soit pas déplacé pour rien mais il allait bientôt le savoir.
Il était déjà prêt, lorsque la petite diablotine toqua à sa porte. Vêtu d'une longue tunique noire et argent aux larges manches camouflant entièrement ses bras lorsqu'ils sont tendus le long de son corps ou dans son dos. Ses cheveux immaculés ont été coiffés pour l'occasion, de fines tresses sont harmonieusement déssinés à l'arrière et sur le côté de sa tête alors qu'ils descendent sous ses épaules de toutes leurs longueurs.
Il ouvre la porte et incline la tête respectueusement envers la petite créature puis pose ses yeux d'un violet très vif sur celle-ci. Notant sa difficulté à prononcer son nom, il ne peut s'empêcher de sourire puis la reprend pour ne pas laisser penser à de la simple moquerie.
« Bonsoir, je suis bien Eliëndir en effet. »
Il aurait pu se vexer de ne pas avoir un guide un peu plus à l'aise avec les noms elfes mais son amour-propre était loin d'être aussi fragile pour si peu. Il s'amuse même de la situation, appréciant le caractère avenant de l'assistante du Pleiade. Les petites créatures insignifiantes ont toujours ce drôle d'effet sur lui, un peu comme un animal de compagnie d'une certaine manière. Ils sont amusant un moment mais il finit toujours par s'en lasser. Et quand il se lasse de quelque chose, il jette.
« Je vous suis, merci beaucoup de m'escorter. »
Quittant sa chambre en fermant la porte derrière lui, il emboîte le pas pour suivre le rythme de sa guide se montrant très ouvert à la conversation sur le chemin qui l'emmènera à la réunion tant attendue.
CENDRES
Pour être tout à fait honnête, il s'attendait à voir La Dame en personne ce soir. Il en a longtemps entendu parlé sans jamais avoir eu l'occasion de la rencontrer. Qu'elle ne fut pas sa déception en apprenant que c'est une des Pléaides de l'Université qui dirigera finalement la réunion. Enfin, cela importait peu à présent. Il se devait au moins de faire bonne figure, ce qu'il ne manque jamais de faire à chacune de ses apparitions que cela lui plaise ou non. Et puis ce genre de sollicitation était assez rare. Réunir des représentants des plus grandes écoles du pays ? Il y avait de quoi éveiller son intérêt en espérant qu'il ne se soit pas déplacé pour rien mais il allait bientôt le savoir.
Il était déjà prêt, lorsque la petite diablotine toqua à sa porte. Vêtu d'une longue tunique noire et argent aux larges manches camouflant entièrement ses bras lorsqu'ils sont tendus le long de son corps ou dans son dos. Ses cheveux immaculés ont été coiffés pour l'occasion, de fines tresses sont harmonieusement déssinés à l'arrière et sur le côté de sa tête alors qu'ils descendent sous ses épaules de toutes leurs longueurs.
Il ouvre la porte et incline la tête respectueusement envers la petite créature puis pose ses yeux d'un violet très vif sur celle-ci. Notant sa difficulté à prononcer son nom, il ne peut s'empêcher de sourire puis la reprend pour ne pas laisser penser à de la simple moquerie.
« Bonsoir, je suis bien Eliëndir en effet. »
Il aurait pu se vexer de ne pas avoir un guide un peu plus à l'aise avec les noms elfes mais son amour-propre était loin d'être aussi fragile pour si peu. Il s'amuse même de la situation, appréciant le caractère avenant de l'assistante du Pleiade. Les petites créatures insignifiantes ont toujours ce drôle d'effet sur lui, un peu comme un animal de compagnie d'une certaine manière. Ils sont amusant un moment mais il finit toujours par s'en lasser. Et quand il se lasse de quelque chose, il jette.
« Je vous suis, merci beaucoup de m'escorter. »
Quittant sa chambre en fermant la porte derrière lui, il emboîte le pas pour suivre le rythme de sa guide se montrant très ouvert à la conversation sur le chemin qui l'emmènera à la réunion tant attendue.
CENDRES
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¬ 20 octobre de l'an 3,
Il y a de cela quelques semaines, Genryusai reçut une lettre portant le sceau de « l'Université Magic ». Ce courrier conviait le vieil homme pour une rencontre avec différents érudits de diverses universités à travers le continent. C'était là, une occasion d'échanger de sujets d'actualités mais aussi de promouvoir les enseignements de la prestigieuse « Université Drakstrang » du Reike. Car oui, beaucoup sous estime l'université reikoise et pourtant celle-ci n'a pas à rougir, loin de là. Le Reike a su démontrer pendant la guerre ce qu'ils étaient capables de réaliser, augmentant encore un peu plus la réputation de « Drakstrang » déjà bien imposante.
Quelques jours avant le départ pour le sol républicain, le millénaire avait prévenu le Roi et la Reine, lors d'un repas, qu'il serait absent pendant un certain temps en expliquant le « pourquoi » de son absence. La bénédiction du couple donné, il se prépara pour l'occasion, sélectionna des hommes d'élites qui seraient son escorte et quitta le Royaume pour la République. Le trajet se déroula sans encombre et une fois à destination, Genryusai a été reçu comme il se devait. Il profita de la journée d'avance pour se requinquer du long voyage assez éprouvant, lui qui détestait être assis pendant de longues heures.
Vint finalement le jour de la réunion. La nuit était déjà présente depuis un moment à l'extérieur. Genryusai prit une douche et se vêtit de son kimono noir habituelle et porta une cape par dessus au couleur du Reike avec le symbole de la nation sur toute la largeur de son dos : un dragon aussi sublime qu'effrayant. La fierté d'un peuple, d'une nation, ancrée dans son sang depuis la nuit des temps. Alors qu'il brossait une dernière fois sa longue barbe blanchâtre, une personne toqua à sa porte : le vieil homme déposa son peigne, se saisit de sa canne en bois et alla ouvrir la porte pour découvrir, là quelques cm plus bas, un diablotin qui lui servirait de guide jusqu'à la salle prévue. Ce dernier n'avait pas l'air très à l'aise en face du Vice-Roi, néanmoins le Demi-Titan n'y prêta aucune attention, il avait l'habitude depuis toutes ces années d'avoir affaire à de tels comportements. Il tira la porte derrière lui et s'approcha d'un garde de son escorte, posté dans le couloir, pour lui chuchoter quelques ordres à l'oreille.
— Ne laisse aucune personne entrer ici. Tu as carte blanche pour agir en cas de besoin.
Le soldat reikois salua l'ainé avec respect et se posta devant ladite chambre, le regard sévère. Genryusai revint au côté du diablotin, la canne claquant au sol à chaque pas.
— Allons-y.
Être sur le terrain ennemi n'est jamais une bonne chose mais le Vice-Roi savait qu'il n'avait rien à craindre. Personne ne souhaitait créer de problèmes diplomatiques, ni dans un sens, ni dans l'autre, surtout avec la récente guerre. Ici, entre ces murs, il était question de connaissances, de savoir, de recherches et d'autres sujets plus intellectuels. Ici, c'était un autre type de combat. Le duo finit par atteindre la salle en question : le serviteur ouvrit la porte et s'inclina laissant le vieil homme entrer dans la pièce ni trop spacieuse, ni trop étroite, tout juste ce qu'il fallait. Genryusai fit un rapide balayage du regard : seul un homme était présent, un homme qu'il connaissait plus ou moins. Dans le cercle des érudits, on finit toujours pas se connaitre. Le millénaire s'avance le pas lent et confiant. La canne guide son maitre jusqu'au centre de la pièce, suivi du serviteur diablotin.
— Il semblerait que vous ne prêtiez aucune attention à vos invités cher « Dérangeant ». Faire venir un vieil homme d'aussi loin et à une heure aussi tardive, ne voyez-vous donc pas que la jeunesse m'a quitté depuis longtemps ? Plaisanta Genryusai, le regard perçant. Ou cherchiez-vous à m'écartez en espérant que je refuse de venir ?
Le ton laisse penser à une plaisanterie, mais elle cache une certaine allusion. Le Vice-Roi ne comprenait d'ailleurs pas un tel choix alors qu'il aurait fallu garder une certaine neutralité en proposant un vote entre les membres de cette réunion pour décider du lieu et, par la même occasion, de l'horaire. Là, il savait que c'était un choix imposé, néanmoins le vieil homme était un challenger, un homme qui aimait les défis malgré son âge avancé : représenter sa nation où même les plus anciens étaient plus fougueux que les jeunes de cette République qui préfèrent moisir en restant assis. Cela ne l'étonnait pas réellement au vu de l'inutilité de cette nation pendant la guerre.
.1.
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Réunion élémentaire
Feat Le Dérangeant & Genryusai
Après quelques échanges partagés avec la diablotine sur des sujets tout à fait sans importances mais l'Elfe se montrait volontairement accessible, bien loin de l'image supérieure et insolente dont peuvent jouir les elfes du nord du Sekai. Et puis c'était toujours plus agréable de discuter un peu plutôt que de se terrer dans le silence en traversant les différents couloirs de l'école. Quoi qu'il en soit, il finit par arriver à destination s'arrêtant devant cette porte close. La petite diablotine s'exécute pour lui ouvrir la porte en l'invitant à entrer le premier pour pouvoir fermer derrière lui, la conversation qui allait suivre s'annonçait tout à fait importante. Il n'était pas question d'autoriser les oreilles indiscrètes.
L'envoyé de Melorn s'avance lentement dans la pièce pour se tenir debout à l'autre extrémité de la table en inclinant respectueusement le buste. Il était le dernier arrivé, comme bien souvent de la part d'un homme qui aime se faire désirer. Aussi surprenant que ça puisse paraître, cette fois il n'avait même pas fait exprès mais ce n'était pas plus mal. Sa tenue noire et argentée était à son image et à l'image de la cité de Melorn : élégante et absolument impeccable. Bellissime comme l'astre lunaire au milieu des étoiles, sa présence a ce quelque chose de mystérieux et d'enchanteur. A la fois déroutant et chaleureux. Après quatre siècles d'existence, son expertise n'était plus à prouver par qui que ce soit en matière d'arcanes et de magies noires. Ce qui est interdit et dérangeant à Magic ne l'est pas forcément à Melorn au contraire, les Elfes ont toujours eu une vision bien plus ouverte de la magie que ses homologues Reikois et Républicains. Si certains élèves, peut-être même le Pleiade et le Vice-Roi ont bien été muselés par des moeurs archaïques, ça n'a jamais été son cas.
Il se redresse souriant à l'attention de ses homologues avant de s'adresser d'abord au Dérangeant en posant ses yeux améthystes sur ce drôle de personnage.
« Veuillez pardonner mon retard, j'espère ne pas vous avoir fait attendre trop longtemps. C'est toujours un plaisir de rencontrer un confrère, d'autant plus lorsque nous avons dédiés notre vie à un domaine similaire. Bien trop incompris, si vous voulez mon avis. »
Il incline la tête puis dévie simplement ses yeux sur le Vice-Roi, une figure mythique de l'Empire en personne.
« Vice-Roi, c'est un honneur de faire votre rencontre. Vous êtes un très homme occupé, je me réjouis de votre présence ce soir. Les millénaires ne semblent avoir aucune emprise sur vous, c'est fascinant. Vous devez absolument me donner votre secret, votre éminence. »
Il incline une nouvelle fois la tête pour saluer le doyen de cette petite assemblée, puis pivote ses talons pour venir faire le tour de la table. Il prendra place sur le dernier canapé encore libre logiquement face au Vice-Roi. Il s'installe calmement, attendant patiemment que les hostilités commencent.
CENDRES
L'envoyé de Melorn s'avance lentement dans la pièce pour se tenir debout à l'autre extrémité de la table en inclinant respectueusement le buste. Il était le dernier arrivé, comme bien souvent de la part d'un homme qui aime se faire désirer. Aussi surprenant que ça puisse paraître, cette fois il n'avait même pas fait exprès mais ce n'était pas plus mal. Sa tenue noire et argentée était à son image et à l'image de la cité de Melorn : élégante et absolument impeccable. Bellissime comme l'astre lunaire au milieu des étoiles, sa présence a ce quelque chose de mystérieux et d'enchanteur. A la fois déroutant et chaleureux. Après quatre siècles d'existence, son expertise n'était plus à prouver par qui que ce soit en matière d'arcanes et de magies noires. Ce qui est interdit et dérangeant à Magic ne l'est pas forcément à Melorn au contraire, les Elfes ont toujours eu une vision bien plus ouverte de la magie que ses homologues Reikois et Républicains. Si certains élèves, peut-être même le Pleiade et le Vice-Roi ont bien été muselés par des moeurs archaïques, ça n'a jamais été son cas.
Il se redresse souriant à l'attention de ses homologues avant de s'adresser d'abord au Dérangeant en posant ses yeux améthystes sur ce drôle de personnage.
« Veuillez pardonner mon retard, j'espère ne pas vous avoir fait attendre trop longtemps. C'est toujours un plaisir de rencontrer un confrère, d'autant plus lorsque nous avons dédiés notre vie à un domaine similaire. Bien trop incompris, si vous voulez mon avis. »
Il incline la tête puis dévie simplement ses yeux sur le Vice-Roi, une figure mythique de l'Empire en personne.
« Vice-Roi, c'est un honneur de faire votre rencontre. Vous êtes un très homme occupé, je me réjouis de votre présence ce soir. Les millénaires ne semblent avoir aucune emprise sur vous, c'est fascinant. Vous devez absolument me donner votre secret, votre éminence. »
Il incline une nouvelle fois la tête pour saluer le doyen de cette petite assemblée, puis pivote ses talons pour venir faire le tour de la table. Il prendra place sur le dernier canapé encore libre logiquement face au Vice-Roi. Il s'installe calmement, attendant patiemment que les hostilités commencent.
CENDRES
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Le premier duo à arriver était les Reikois. Le dérangeant se leva posément à leur venue. Il affichait un sourire légèrement mesquin, comme si il avait fait une bêtise, mais on ne savait encore laquelle. Actuellement, c’était un visage assez commun pour lui. Au final, même en le cotoyant régulièrement, on arrivait à peine à savoir si il avait fait quelque chose. Il suffirait de lui demander, mais encore faudrait-il le croire.
Le regard brillant du Dérangeant se posa sur le diablotin, écoutant tout de même les propos du veille homme. Il le connaissait fort bien et pouvait deviner comment c’était déroulé la chose. Pas spécialement mal, mais pas spécialement bien. Visiblement, l’homme n’avait rien fait pour essayer de mettre la petite créature à l’aise. Il n’allait pas jeter la pierre, il avait déjà fait par le passé. Mais une petite blague pour détendre l’atmosphère, ça n’avait jamais tué personne selon lui.
Parlant plaisanterie, celle de Genryusai ne passa pas dans l’oreille d’un sort. Même Asmodeus, qui se rapprochait de son maitre, s’arrêta pour regarder le vieille homme. D’un mouvement las, le Dérangeant en perdit son sourire. Qu’est-ce qu’il détestait la mentalité des politiques.
« Oui, oui. Par pitié, ne me prenez pas pour un de ces politiciens bon qu’à la parole. J’en subis assez tous les jours pour ne pas m’en coltiner encore. »
Pourquoi toujours tout ramener à ça ? C’était d’un ennui profond. Il aurait honnêtement préféré une autre façon de faire. C’était juste exaspérant à ce moment-là. La soirée allait être aussi longue tout du long ou arriveront-il à penser au bien commun avant tout ? Le Dérangeant n’en était pas si sûr.
En tout cas, le deuxième duo arriva et l’ambiance était déjà différente. La diablotine semblait bien plus enjouée. Avant qu’elle ne puisse fermer la porte, il congédia Asmodeus d’un geste. Il semblerait qu’il ne pourrait garder ses deux serviteurs ce soir. Visiblement, il était suffisamment dérangeant dans sa manière de faire pour le Reikois.
Silencieux, il jaugea l’elfe. Ses paroles ne lui plurent guère. Oh, on pourrait croire que c’était réjouissant de savoir que quelqu’un partageait ses connaissances de corruption, mais le Pléiade avait sa boussole morale dans ses pratiques. Il les connaissait, les maitrisait, mais ne les utilisaient pas pour s’amuser. Il avait une moralité quant à l’utilisation de ses pratiques. Est-ce qu’il y avait de grandes chances que cet homme soit amoral ? Oui, mais il ne tirait pas encore de conclusions hâtives de la chose. Il se battait pour inculquer des valeurs, il ne se permettrait pas des jugements hatifs.
« Je ne peux qu’approuver vos dires. »
Oui, des connaissances qui restaient incomprises. Laissant les invités s’installaient, le Dérangeant attendit un instant.
« Bien, que souhaiterez-vous boire ? Nous avons toutes sortes de vins, d’alcool, ou de boissons plus légères.»
Une once de bonne conduite. Attendant les commandes, il se dirigeait vers l’ensemble des boissons.
« Oh, je préfère prévenir. Je ne compte rien consommer durant cette soirée. Mais je peux vous assurer que vous n’aurez rien à craindre. Enfin, à moins qu’une quelconque souche pathogène ait décidé de se loger à mon encontre dans les victuailles. »
Parce qu’il était clair d’une chose. S’il voulait atteindre à leur vie, ce serait chose déjà faite au moment même où ils avaient respiré l’air de cette pièce. Revenant avec les boissons, il les distribua avant de s’installer.
« Au vu de certains points de vue divergeant, dirais-je… Je propose que vous disiez clairement ce qui peut vous déranger dans cette réunion. Je pense, ou j’espère, que nous sommes assez matures pour mettre les choses à plat dès le début et que nous puissions discuter comme des personnes civilisées… Sans devoir subir des piques toute la soirée pour un égo malplacé. »
Le regard brillant du Dérangeant se posa sur le diablotin, écoutant tout de même les propos du veille homme. Il le connaissait fort bien et pouvait deviner comment c’était déroulé la chose. Pas spécialement mal, mais pas spécialement bien. Visiblement, l’homme n’avait rien fait pour essayer de mettre la petite créature à l’aise. Il n’allait pas jeter la pierre, il avait déjà fait par le passé. Mais une petite blague pour détendre l’atmosphère, ça n’avait jamais tué personne selon lui.
Parlant plaisanterie, celle de Genryusai ne passa pas dans l’oreille d’un sort. Même Asmodeus, qui se rapprochait de son maitre, s’arrêta pour regarder le vieille homme. D’un mouvement las, le Dérangeant en perdit son sourire. Qu’est-ce qu’il détestait la mentalité des politiques.
« Oui, oui. Par pitié, ne me prenez pas pour un de ces politiciens bon qu’à la parole. J’en subis assez tous les jours pour ne pas m’en coltiner encore. »
Pourquoi toujours tout ramener à ça ? C’était d’un ennui profond. Il aurait honnêtement préféré une autre façon de faire. C’était juste exaspérant à ce moment-là. La soirée allait être aussi longue tout du long ou arriveront-il à penser au bien commun avant tout ? Le Dérangeant n’en était pas si sûr.
En tout cas, le deuxième duo arriva et l’ambiance était déjà différente. La diablotine semblait bien plus enjouée. Avant qu’elle ne puisse fermer la porte, il congédia Asmodeus d’un geste. Il semblerait qu’il ne pourrait garder ses deux serviteurs ce soir. Visiblement, il était suffisamment dérangeant dans sa manière de faire pour le Reikois.
Silencieux, il jaugea l’elfe. Ses paroles ne lui plurent guère. Oh, on pourrait croire que c’était réjouissant de savoir que quelqu’un partageait ses connaissances de corruption, mais le Pléiade avait sa boussole morale dans ses pratiques. Il les connaissait, les maitrisait, mais ne les utilisaient pas pour s’amuser. Il avait une moralité quant à l’utilisation de ses pratiques. Est-ce qu’il y avait de grandes chances que cet homme soit amoral ? Oui, mais il ne tirait pas encore de conclusions hâtives de la chose. Il se battait pour inculquer des valeurs, il ne se permettrait pas des jugements hatifs.
« Je ne peux qu’approuver vos dires. »
Oui, des connaissances qui restaient incomprises. Laissant les invités s’installaient, le Dérangeant attendit un instant.
« Bien, que souhaiterez-vous boire ? Nous avons toutes sortes de vins, d’alcool, ou de boissons plus légères.»
Une once de bonne conduite. Attendant les commandes, il se dirigeait vers l’ensemble des boissons.
« Oh, je préfère prévenir. Je ne compte rien consommer durant cette soirée. Mais je peux vous assurer que vous n’aurez rien à craindre. Enfin, à moins qu’une quelconque souche pathogène ait décidé de se loger à mon encontre dans les victuailles. »
Parce qu’il était clair d’une chose. S’il voulait atteindre à leur vie, ce serait chose déjà faite au moment même où ils avaient respiré l’air de cette pièce. Revenant avec les boissons, il les distribua avant de s’installer.
« Au vu de certains points de vue divergeant, dirais-je… Je propose que vous disiez clairement ce qui peut vous déranger dans cette réunion. Je pense, ou j’espère, que nous sommes assez matures pour mettre les choses à plat dès le début et que nous puissions discuter comme des personnes civilisées… Sans devoir subir des piques toute la soirée pour un égo malplacé. »
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Réunion élémentaire
Feat Le Dérangeant & Genryusai
De toute évidence, à peine les trois protagonistes s'étaient-ils réunit qu'une certaine tension c'était déjà installée. Des rancoeurs personnelles ? Peu probable mais ses deux homologues ont sûrement déjà eut l'occasion de se rencontrer par le passé. Ce n'est pas son cas et c'est un avantage si on sait comment s'en servir. La tension semble plutôt être d'ordre politique, évidemment quand on y pense. A la fois la rivalité ancestrale entre les trois plus grandes écoles de magies du continent et les dissensions diplomatiques en particulier entre le Reike et la République. En y regardant de plus près, qui a bien pu avoir une idée aussi idiote que la création de ce sommet ? Au moins il y aurait sûrement matière à s'amuser de la situation en tant que représentant le plus neutre à cette table. La notion de souche pathogène lui arrache un sourire non dissimulé, bien qu'un trait d'humour très peu subtil cela souligne à quel point un drame ce soir pourrait avoir des répercussions absolument terrible sur cette paix déjà bien fragile.
« Je pense que je vais prendre le risque dans ce cas. Je ne serais pas contre un peu de vin, je vous remercie. »
En espérant que la République se soit améliorée dans la production du raffinement avec les années. Histoire d'éveiller ses sens et de s'ouvrir plus facilement à cette conversation Ô combien importante pour le continent. Et en particulier pour la République, de toute évidence ce n'était pas anodin qu'elle soit à l'initiative de cette réunion. Elle semble avoir quelque chose à gagner, voir à perdre et dans le besoin du soutien des autres nations. Oh oui, choisir Magic comme lieu de rassemblement est un geste fort aux premiers abords. Un esprit affuté serait capable d'y voir un aveu de faiblesse. Soit, les petites courbettes de circonstances étaient terminées comme le souligne très bien le Dérangeant. Il était temps d'entrer dans le vif du sujet, tant mieux. Il ne comptait pas perdre plus de temps que nécessaire surtout si la conversation n'amène à rien de constructif.
« Je partage l'avis du Dérangeant, naturellement. Je suis certain que nous sommes tous convaincus de la supériorité de nos écoles respectives, mais je ne doute que nous soyons là pour débattre dans le vide. Ma foi, si le respect est de mise alors je crois que tout devrait bien se passer de mon côté en tout cas. Et si nous abordions plutôt l'essentiel, très cher Dérangeant ? Il serait bon de mettre les choses au clair sur la raison principale qui nous amène tous ici, ce soir. »
Des piques ? Voyons, ce n'était pas son genre. Son homologue Reikois par contre, rien n'était moins sûr.
CENDRES
« Je pense que je vais prendre le risque dans ce cas. Je ne serais pas contre un peu de vin, je vous remercie. »
En espérant que la République se soit améliorée dans la production du raffinement avec les années. Histoire d'éveiller ses sens et de s'ouvrir plus facilement à cette conversation Ô combien importante pour le continent. Et en particulier pour la République, de toute évidence ce n'était pas anodin qu'elle soit à l'initiative de cette réunion. Elle semble avoir quelque chose à gagner, voir à perdre et dans le besoin du soutien des autres nations. Oh oui, choisir Magic comme lieu de rassemblement est un geste fort aux premiers abords. Un esprit affuté serait capable d'y voir un aveu de faiblesse. Soit, les petites courbettes de circonstances étaient terminées comme le souligne très bien le Dérangeant. Il était temps d'entrer dans le vif du sujet, tant mieux. Il ne comptait pas perdre plus de temps que nécessaire surtout si la conversation n'amène à rien de constructif.
« Je partage l'avis du Dérangeant, naturellement. Je suis certain que nous sommes tous convaincus de la supériorité de nos écoles respectives, mais je ne doute que nous soyons là pour débattre dans le vide. Ma foi, si le respect est de mise alors je crois que tout devrait bien se passer de mon côté en tout cas. Et si nous abordions plutôt l'essentiel, très cher Dérangeant ? Il serait bon de mettre les choses au clair sur la raison principale qui nous amène tous ici, ce soir. »
Des piques ? Voyons, ce n'était pas son genre. Son homologue Reikois par contre, rien n'était moins sûr.
CENDRES
Invité
Invité
L'attitude du républicain satisfaisait le vieil homme, gardant une neutralité physique.
— De la politique ? Genryusai pouffe légèrement du nez. A quel moment ai-je seulement parler de politique ?
Intérieurement, le vieux Gen' était satisfait d'une réaction aussi gamine que celle du républicain. Finalement, le bleu représentait bien son peuple : ils sont finis à la pisse de chat. Ils n'ont pas les épaules nécessaires pour faire tourner ce monde. A cet instant, le barbu plongea dans ses réflexions : rester ou partir ? Oui oui, partir n'était pas une si mauvaise idée. Déjà, il détestait ces étrangers au plus haut point et même si la bienséance demande une certaine tenue, le vieil homme n'en est pas à son premier. Les hypocrites, il connait ça depuis trop longtemps pour perdre plus de temps avec eux.
Un nouveau membre fit son entrée : un elfe. Par déduction, le millénaire paria sur le fait qu'il provenait sûrement de Melorn. Une certaine curiosité s'installa dans son esprit : il décida de rester.
— Bonsoir confrère, permettez-moi de vous demander votre nom ? Il lui laisse le temps de répondre. Ha ha, le secret est simple : le bon vieux mélange activités physiques et intellectuelles, rien de mieux pour gravir les années sans trop de difficultés.
Alors que les canapés étaient à disposition, Genryusai préféra largement rester en station debout, il était beaucoup plus à l'aise ainsi. L'hôte proposa des boissons pour les deux hommes tout en refusant lui-même d'en prendre. Les mains positionnées sur sa canne, le vieil homme prit la parole après l'elfe.
— Merci pour la boisson mais je préfère la sobriété. Il relance juste après. J'espère que vous n'y verrez aucune « politique » cette fois-ci, confrère républicain.
Genryusai souriait intérieurement. Cette soirée s'annonçait plutôt marrante. Il avait hâte d'en voir le découlement.
— Je ne suis pas ici pour discuter de nos divergences, ce ne sera qu'une perte de temps. Venons-en au fait et échangeons sur « le » sujet qui nous réunis ici ce soir. Un regard se tourne vers l'elfe de Melorn, toujours le faciès neutre. Avec respect, évidemment.
Genryusai en avait vu de toutes sortes au fil de sa vie et ce type de réunion, il en avait réellement marre. Tous se pensent capables, tous se sentent pousser des ailes, tous font du bruit mais très peu se sortent réellement les doigts du cul. La prochaine fois, il enverra un de ses étudiants, ça lui fera son apprentissage. Le vieux temps manquait au Vice-Roi.
.2.
Invité
Invité
Le Dérangeant scruta sans expression le vieillard. Somme toute, c’était à cette sauce qu’il voulait le déguster ? Des attaques pour ensuite se cacher ? Il lui demandait simplement de ne pas le considérer comme un politicien. Il hésitait si c’était une vaine tentative de l’intimider, une espèce de supériorité qui lui collait à la peau… Peut-être était-ce l’âge, mais il ne semblerait pas qu’il soit risqué de supposer que le Dérangeant était sous-estimé pour ce début de réunion qui commençait mal. Drame que de vouloir une conversation pacifiste et n’obtenir que comportement enfantin.
La suite ne rendait clairement pas dans un sens contraire. Refus de consommer. Petite pique puérile. Décidemment, il aurait du garder Asmodeus avec lui. Les échanges de pensées étaient plus constructives, mais encore il se dit mot, se contentant d'observer les réactions et comportements de chacun.
Dans un silence total, il ne répondit guère à celle-ci. Il adressa qu’un sourire léger, désinvolte. Et l’elfe reçut son vin, épicé et, d’après le vendeur, de qualité. La provenance. Oh, il l’avait fait importé. Le goût, s'il était terrible, ne pourrait lui être imputé. Voyez plutôt du côté du Reike si il y a quelconque plainte.
Mais cette conversation pointait des éléments importants : Républicains. Voilà donc une information que le Dérangeant pouvait utiliser. Avant de poursuivre, notons que le Dérangeant trouvait cela particulièrement amusant de s’imaginer converser sur laquelle des écoles était la plus compétente, surtout dans la mesure où l’impératrice Reikoise avait préféré faire ses études ici. Cela pourrait être distrayant, mais quelque peu lassant passé les premières minutes.
« Si c’est du respect des formes et des faux sourires, je crains être trop honnête que pour se faire. Mais si vous souhaitez un respect de vos intelligences et maturités, je suis votre homme. »
Point qu’il aurait surement aimé au plus grand avoir en retour, mais qu’il semblait déjà devoir oublier. Ce qui se prouvait encore… Refus d’échanger. Aurait-il tous les éléments pour les comprendre ? Bien sûr que non. Il n’était point stupide et prétentieux. Mais il avait déjà quelque points sur lesquels rebondir.
« Soit… Je crains malheureusement devoir faire durer un peu le plaisir. Enfin, le plaisir est un terme fort peu convenable vu la situation, mais quelques précisions sont à annoncer. Messieurs… »
Un large sourire agrémenta son visage alors qu’il écarta ses bras.
« Comme j’ai pu le dire à notre ainé ici présent, je ne suis pas un politicien. Donc, s’il vous plait, ne pensez pas comme on pense politique. »
Son regard se posa sur le reikois.
« Républicain ? Est-cela que vous me voyez, n’est-ce pas ? Un être cupide, avide de pouvoir, considérant qu’il est le meilleur sur tout ? Hahaha. J’espère immensément me tromper, me tromper en pouvant songer que vous vous baserez que sur cela pour votre jugement à mon écart. Après tout, je n’ai aucun pouvoir politique en dehors de ces murs»
Et il présentait, au vu de la façon de faire, une pensée proche de celle-ci. Après tout, il avait montré une telle animosité sur peu de chose. Le Dérangeant se leva, visiblement bien plus motivé à parler et commença à marcher un peu partout.
« Donc, j’imagine sans mal ce que vous avez pu avoir en tête. Que j’ai besoin de votre aide. Que la république, ou l’Académie a besoin d’aide. Peut-être avez-vous-même pensé que je voulais être en terrain controlé, que je voulais avoir l’ascendance. »
Petit retourné.
« Faux, faux et faux. Enfin, si. Il y a de la vérité, mais surement pas avec le bon contexte. Mais oui, oui. Je sais ce que vous vous dites. Ou j’imagine. Il parle, il parle. Quand arrivera-il à ce qu’on veut savoir. Mais nous y sommes. Je veux. Com. Mu. Ni. Quer. »
Petite insistance sur ce dernier mot.
« Mais communiquer sur quoi ? Mais sur tout ce qui est essentiel pour la sécurité globale. Les épidémies, les titans qui se réveillent un peu partout. Oh, je sais d’avance ce qui va m’être sorti. Oui, oui, je connais la position des républicains face au dernier conflit. Ouin. Ouin. Le pays s’est pas mis en marche. Hypocrite que donc de demander de l’entre aide… Alors comment pourrais-je prouver ma bonne foi ? »
Il commença à faire les 100 pas, en pleine réflexion.
« Si seulement j’avais participé à l’effort contre les titans. Cela pourrait prouver que je pense à l’intérêt commun et que je ne suis pas englué et au service de la République… Hmmm… Ce serait si pratique… »
Il s’arrêta net tapant dans ses mains.
« Mais c’est bien sûr que je fais semblant de réfléchir. Comment pourrais-je oublier que c’est ce que j’ai fait. »
Il n’avait pas été sur le champs de bataille, mais avait joué sur l’arrière plan à coup de malédiction et de maladies. Guère peu glorieux, mais cela avait eu un effet.
« Encore une fois, je me suis laissé emporter par la fougue de la jeunesse. Alors voici donc pourquoi je vous ai fait venir. Pas d’argent, pas de pouvoir, pas de concours de phallus. Je vous ai convoqué pour que nous puissions discuter des sujets importants et faire des croisés d’informations pour trouver les solutions les plus efficaces. Alors, je vous écoute. J’adore parler, mais je suis bon écouteur aussi. A vous la parole, messires. »
La suite ne rendait clairement pas dans un sens contraire. Refus de consommer. Petite pique puérile. Décidemment, il aurait du garder Asmodeus avec lui. Les échanges de pensées étaient plus constructives, mais encore il se dit mot, se contentant d'observer les réactions et comportements de chacun.
Dans un silence total, il ne répondit guère à celle-ci. Il adressa qu’un sourire léger, désinvolte. Et l’elfe reçut son vin, épicé et, d’après le vendeur, de qualité. La provenance. Oh, il l’avait fait importé. Le goût, s'il était terrible, ne pourrait lui être imputé. Voyez plutôt du côté du Reike si il y a quelconque plainte.
Mais cette conversation pointait des éléments importants : Républicains. Voilà donc une information que le Dérangeant pouvait utiliser. Avant de poursuivre, notons que le Dérangeant trouvait cela particulièrement amusant de s’imaginer converser sur laquelle des écoles était la plus compétente, surtout dans la mesure où l’impératrice Reikoise avait préféré faire ses études ici. Cela pourrait être distrayant, mais quelque peu lassant passé les premières minutes.
« Si c’est du respect des formes et des faux sourires, je crains être trop honnête que pour se faire. Mais si vous souhaitez un respect de vos intelligences et maturités, je suis votre homme. »
Point qu’il aurait surement aimé au plus grand avoir en retour, mais qu’il semblait déjà devoir oublier. Ce qui se prouvait encore… Refus d’échanger. Aurait-il tous les éléments pour les comprendre ? Bien sûr que non. Il n’était point stupide et prétentieux. Mais il avait déjà quelque points sur lesquels rebondir.
« Soit… Je crains malheureusement devoir faire durer un peu le plaisir. Enfin, le plaisir est un terme fort peu convenable vu la situation, mais quelques précisions sont à annoncer. Messieurs… »
Un large sourire agrémenta son visage alors qu’il écarta ses bras.
« Comme j’ai pu le dire à notre ainé ici présent, je ne suis pas un politicien. Donc, s’il vous plait, ne pensez pas comme on pense politique. »
Son regard se posa sur le reikois.
« Républicain ? Est-cela que vous me voyez, n’est-ce pas ? Un être cupide, avide de pouvoir, considérant qu’il est le meilleur sur tout ? Hahaha. J’espère immensément me tromper, me tromper en pouvant songer que vous vous baserez que sur cela pour votre jugement à mon écart. Après tout, je n’ai aucun pouvoir politique en dehors de ces murs»
Et il présentait, au vu de la façon de faire, une pensée proche de celle-ci. Après tout, il avait montré une telle animosité sur peu de chose. Le Dérangeant se leva, visiblement bien plus motivé à parler et commença à marcher un peu partout.
« Donc, j’imagine sans mal ce que vous avez pu avoir en tête. Que j’ai besoin de votre aide. Que la république, ou l’Académie a besoin d’aide. Peut-être avez-vous-même pensé que je voulais être en terrain controlé, que je voulais avoir l’ascendance. »
Petit retourné.
« Faux, faux et faux. Enfin, si. Il y a de la vérité, mais surement pas avec le bon contexte. Mais oui, oui. Je sais ce que vous vous dites. Ou j’imagine. Il parle, il parle. Quand arrivera-il à ce qu’on veut savoir. Mais nous y sommes. Je veux. Com. Mu. Ni. Quer. »
Petite insistance sur ce dernier mot.
« Mais communiquer sur quoi ? Mais sur tout ce qui est essentiel pour la sécurité globale. Les épidémies, les titans qui se réveillent un peu partout. Oh, je sais d’avance ce qui va m’être sorti. Oui, oui, je connais la position des républicains face au dernier conflit. Ouin. Ouin. Le pays s’est pas mis en marche. Hypocrite que donc de demander de l’entre aide… Alors comment pourrais-je prouver ma bonne foi ? »
Il commença à faire les 100 pas, en pleine réflexion.
« Si seulement j’avais participé à l’effort contre les titans. Cela pourrait prouver que je pense à l’intérêt commun et que je ne suis pas englué et au service de la République… Hmmm… Ce serait si pratique… »
Il s’arrêta net tapant dans ses mains.
« Mais c’est bien sûr que je fais semblant de réfléchir. Comment pourrais-je oublier que c’est ce que j’ai fait. »
Il n’avait pas été sur le champs de bataille, mais avait joué sur l’arrière plan à coup de malédiction et de maladies. Guère peu glorieux, mais cela avait eu un effet.
« Encore une fois, je me suis laissé emporter par la fougue de la jeunesse. Alors voici donc pourquoi je vous ai fait venir. Pas d’argent, pas de pouvoir, pas de concours de phallus. Je vous ai convoqué pour que nous puissions discuter des sujets importants et faire des croisés d’informations pour trouver les solutions les plus efficaces. Alors, je vous écoute. J’adore parler, mais je suis bon écouteur aussi. A vous la parole, messires. »
Invité
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Réunion élémentaire
Feat Le Dérangeant & Genryusai
Juste avant de s'installer et que la conversation ne divague légèrement entre les piques et les commentaires très peu subtils de ses pairs, il prendra tout de même le temps de répondre au Vice-Roi lorsqu'il lui demande son nom.
« Je suis Eliëndir, de l'académie de magie de Melorn. Et accessoirement l'émissaire du Conseil des Erudits. Juste Eliëndir, cela suffira. Je suis un homme simple. »
Ajoutant une petite pointe d'humour glissée derrière un sourire de circonstance et un très vilain mensonge, dénotant pour le moment du reste de la situation. Il a d'ailleurs l'impression que c'est à peu près comme ça que va se dérouler toute la soirée. Un Reikois, un Républicain et un Melornois sont sur un bateau. Qui sautera volontairement par-dessus bord en premier ? Pour le moment, peu probable qu'il s'agisse de l'Elfe lui qui semble se délecter en silence de la tension ambiante autant qu'il se délecte de cet infâme vin que le Dérangeant lui amène dans sa grande bonté. Infecte pour son palais exigeant et pourtant bien meilleur que ce qu'il se fait en République en général. Ce vin était importé, c'est évident. Du Reike peut-être ? Il ne sait pas bien, quoi qu'il se laisse boire une fois qu'on y a trempé les lèvres à plusieurs reprises. Il glisse son regard parme à l'intérieur de son verre pour en examiner la couleur, visiblement bien plus intéressé par découvrir sa provenance que par le Dérangeant qui a déjà bien entamé son "petit" monologue en fond sans qu'il n'y fasse réellement attention. Il relève discrètement son regard pour en revenir aux deux mages qui l'accompagnent et interceptant le débat au milieu, à peu près lorsque son homologue républicain semblait vouloir "Co.Mu.Ni.Quer". Par chance, il n'a rien raté d'important. Il acquiesce donc à son insistance sur le mot, faisant un effort pour suivre la suite puisque ça devenait enfin intéressant.
Les Titans, les maladies, les malheurs du monde et tout ce qui va avec. Comme si le Reike et la République en avait quelque chose à foutre. Shoumei n'ayant même pas encore été mentionné, évidemment ce serait bien hypocrite de leurs parts. Les premiers asservissant son peuple et volant ses terres pendant que les seconds profitent aisément d'une main d'oeuvre à moindre coût. Si ce n'est pas de l'esclavage, la limite est très fine. Il se garde bien d'un quelconque commentaire à ce sujet, il souhaite tout de même laisser le bénéfice du doute à ses homologues. Si le Dérangeant n'est, comme il le dit lui-même, pas englué par son gouvernement, il est très peu probable que ce soit le cas du Vice-Roi.
Il soupire discrètement et se permet de prendre la parole avant le Reikois en jetant un bref coup d'oeil vers lui pour être certain de ne pas se couper mutuellement.
« Les sujets importants donc. Vous n'êtes pas politicien mais sans parler de politique, voilà qui va être ardu. Les Titans et les maladies sont des problèmes plus qu'inquiétant je vous l'accorde. Si seulement il ne s'agissait que de ça. Les crimes ont sensiblement augmentés partout dans le Sekai depuis la dernière guerre. En particulier au sein des grandes nations. »
Melorn ne fait pas exception, mais on peut aisément dire qu'elle a été bien moins touchée que les autres nations et qu'elle a su réguler la criminalité grandissante d'une ville à la population plus réduite. Il marque une pause, puis reprend.
« Il faudrait peut-être commencer par savoir ce que compte faire vos gouvernements à ce sujet afin d'éviter un débat stérile. Si Magic est capable de prendre ses propres décisions en tant qu'entité indépendante de sa nation, Drakstrang peut-elle en dire autant ? »
Il dévie brièvement le regard vers le Reikois afin de lui laisser le temps d'éclaircir la situation s'il le souhaite. Il en profite pour reprendre une gorgée de son vin d'ailleurs, ses lèvres commençaient à se faire un peu sèches. Il revient finalement vers son homologue Républicain, puisque quelqu'un devait aborder les véritables sujets épineux et qu'il ne comptait pas le moins du monde sur ses pairs pour le faire.
« Puisqu'on aborde le sujet des Titans. Quid de l'ex-Shoumei ? Aux dernières nouvelles, Sancta est toujours sous l'influence occulte de X'o-Rath. J'imagine que je n'ai pas besoin de préciser à quel point la ville est proche de la capitale de l'Empire n'est-ce pas ? »
Et par extension, assez proche des terres du Nord et de la cité elfique si vraiment on souhaite extrapoler la pensée de l'Elfe.
« Aucun de nous ne peut deviner où réapparaîtront les prochains Titans, alors autant agir là où nous savons qu'ils ont encore du pouvoir. La question étant, souhaitons-nous traiter les symptômes de la maladie ou la combattre directement à la racine ? »
CENDRES
« Je suis Eliëndir, de l'académie de magie de Melorn. Et accessoirement l'émissaire du Conseil des Erudits. Juste Eliëndir, cela suffira. Je suis un homme simple. »
Ajoutant une petite pointe d'humour glissée derrière un sourire de circonstance et un très vilain mensonge, dénotant pour le moment du reste de la situation. Il a d'ailleurs l'impression que c'est à peu près comme ça que va se dérouler toute la soirée. Un Reikois, un Républicain et un Melornois sont sur un bateau. Qui sautera volontairement par-dessus bord en premier ? Pour le moment, peu probable qu'il s'agisse de l'Elfe lui qui semble se délecter en silence de la tension ambiante autant qu'il se délecte de cet infâme vin que le Dérangeant lui amène dans sa grande bonté. Infecte pour son palais exigeant et pourtant bien meilleur que ce qu'il se fait en République en général. Ce vin était importé, c'est évident. Du Reike peut-être ? Il ne sait pas bien, quoi qu'il se laisse boire une fois qu'on y a trempé les lèvres à plusieurs reprises. Il glisse son regard parme à l'intérieur de son verre pour en examiner la couleur, visiblement bien plus intéressé par découvrir sa provenance que par le Dérangeant qui a déjà bien entamé son "petit" monologue en fond sans qu'il n'y fasse réellement attention. Il relève discrètement son regard pour en revenir aux deux mages qui l'accompagnent et interceptant le débat au milieu, à peu près lorsque son homologue républicain semblait vouloir "Co.Mu.Ni.Quer". Par chance, il n'a rien raté d'important. Il acquiesce donc à son insistance sur le mot, faisant un effort pour suivre la suite puisque ça devenait enfin intéressant.
Les Titans, les maladies, les malheurs du monde et tout ce qui va avec. Comme si le Reike et la République en avait quelque chose à foutre. Shoumei n'ayant même pas encore été mentionné, évidemment ce serait bien hypocrite de leurs parts. Les premiers asservissant son peuple et volant ses terres pendant que les seconds profitent aisément d'une main d'oeuvre à moindre coût. Si ce n'est pas de l'esclavage, la limite est très fine. Il se garde bien d'un quelconque commentaire à ce sujet, il souhaite tout de même laisser le bénéfice du doute à ses homologues. Si le Dérangeant n'est, comme il le dit lui-même, pas englué par son gouvernement, il est très peu probable que ce soit le cas du Vice-Roi.
Il soupire discrètement et se permet de prendre la parole avant le Reikois en jetant un bref coup d'oeil vers lui pour être certain de ne pas se couper mutuellement.
« Les sujets importants donc. Vous n'êtes pas politicien mais sans parler de politique, voilà qui va être ardu. Les Titans et les maladies sont des problèmes plus qu'inquiétant je vous l'accorde. Si seulement il ne s'agissait que de ça. Les crimes ont sensiblement augmentés partout dans le Sekai depuis la dernière guerre. En particulier au sein des grandes nations. »
Melorn ne fait pas exception, mais on peut aisément dire qu'elle a été bien moins touchée que les autres nations et qu'elle a su réguler la criminalité grandissante d'une ville à la population plus réduite. Il marque une pause, puis reprend.
« Il faudrait peut-être commencer par savoir ce que compte faire vos gouvernements à ce sujet afin d'éviter un débat stérile. Si Magic est capable de prendre ses propres décisions en tant qu'entité indépendante de sa nation, Drakstrang peut-elle en dire autant ? »
Il dévie brièvement le regard vers le Reikois afin de lui laisser le temps d'éclaircir la situation s'il le souhaite. Il en profite pour reprendre une gorgée de son vin d'ailleurs, ses lèvres commençaient à se faire un peu sèches. Il revient finalement vers son homologue Républicain, puisque quelqu'un devait aborder les véritables sujets épineux et qu'il ne comptait pas le moins du monde sur ses pairs pour le faire.
« Puisqu'on aborde le sujet des Titans. Quid de l'ex-Shoumei ? Aux dernières nouvelles, Sancta est toujours sous l'influence occulte de X'o-Rath. J'imagine que je n'ai pas besoin de préciser à quel point la ville est proche de la capitale de l'Empire n'est-ce pas ? »
Et par extension, assez proche des terres du Nord et de la cité elfique si vraiment on souhaite extrapoler la pensée de l'Elfe.
« Aucun de nous ne peut deviner où réapparaîtront les prochains Titans, alors autant agir là où nous savons qu'ils ont encore du pouvoir. La question étant, souhaitons-nous traiter les symptômes de la maladie ou la combattre directement à la racine ? »
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