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    Info personnage
    Race: Démon
    Vocation: Mage soutien
    Alignement: Neutre Mauvais
    Rang: D
    qui suis-je ?:
    https://www.rp-cendres.com/t2299-savoir-le-desintegrateur-d-azshary-terminee
  • Mar 28 Fév - 20:55
    Violence
    Race : Démon
    Sexe : Non Défini
    Âge : 2 Ans
    Métier : Aucun
    Taille & poids : Variable
    Alignement : Chaotique Mauvais
    Faction : Reike
    Rang : D
    Religion : Aucune
    Avatar : Anato Finnstark

    Pouvoirs et objets

    Mage - Soutien
    Métamorphose P1 - 500 CRD
    Télépathie P1 - 250 CRD
    Téléportation P1 - 250 CRD
    Lecture de l'Esprit P2 - 750 CRD
    Contrôle des Émotions - 250 CRD
    Lame Famélique P2 - 937 CRD
    Senseur magique P1
    Guérison des Poisons, Maladies et Envoûtement P2

    Lame Famélique : [Mithril] 1000 CRD
    La forme originelle de Palier 1 est une épée modèle Tizona dont la texture est uniforme aussi bien sur la lame que le manche en passant par la garde, donnant l'impression qu'elle est faite d'un seul bloc de matière. Il n'existe aucune trace de fabrication ou d'assemblage sur l'épée ce qui rend évidente son étrange nature. La texture est froide au touché et métallique et la couleur du matériau est d'un blanc lunaire si réfléchissant qu'exposée à la lumière elle semble briller d'elle même. (Voir l'avatar de Violence)

    Description physique et mentale

    La nature des mortels, la nature des concepts, la nature avec un grand N, tous changent avec le temps. Il en va de même pour celle que les gens appellent Violence ou encore Praelia, autrefois son corps était seulement fait de l’épée qu’elle incarnait, une lame chatoyante et immaculée d’un reflet éclatant, sa forme réfléchie puis façonnée dans le seul but d’attirer l’oeil, d’inciter le premier imprudent venu à en saisir le manche et à manier la lame jusqu’à rencontrer la mort sur les champs de bataille. Avant même qu’elle ne commence à manifester une conscience propre, la nature de Violence pouvait se retrouver dans les essences résiduelles laissées dans le cosmos par les émotions haineuses des combattants, la rage des mortels qui dépensent tant d’énergie pour se faire mutuellement passer de vie à trépas. Des émotions vieilles comme les premiers êtres qui foulèrent la terre du Sekaï.

    Aujourd’hui, Violence se présente sous la forme d’une aberration démoniaque, dans sa version humanoïde le corps de Praelia l’hôte originel est méconnaissable. Mesurant presque trois mètres de haut au total et pesant environ deux cent cinquante kilos, la chair et l’armure de l’ex-femme ont maintenant fusionné et se craquèlent par endroit, laissant apercevoir le restant des organes internes dont le Démon ne s’est jamais débarassé. Sur la surface externe de l’armure, de nombreux bras ont poussé le long d’une faille dans le plastron du torse et sur les épaulières, donnant un air cauchemardesque à la créature. Les bras sont généralement au repos, entrelacés autour des deux gros membres antérieurs imposant de Praelia, mais lorsque Violence s’excite il n’est pas rare que la multitude de bras se détachent et gesticulent de part et d’autres, comme s’ils étaient dotés d’une volonté indépendante et animés d’une faim avide. Au milieu de cette collerette de membres, un appendice trône là où jadis une belle tête brune s’articulait, en lieu et place de quoi flotte désormais une sphère noirâtre de pure haine qui constitue l’amalgame principal de Violence, le Démon se plaît à le morpher pour en faire émerger un visage dont le choix des traits dépendent de l’interlocuteur auquel il fait face. Sous sa forme d’épée, le Démon adopte des esthétiques variées selon ses différents manieurs, mais sa préférée est celle d’une longue Tizona intégralement blanche au reflet si éclatant qu’elle donne l’impression d’émettre d’elle même de la lumière.

    Les convictions de Violence sont simples, rien n’est plus important qu’entretenir la cruauté des mortels. Répandre la brutalité et la dévastation ne sont pas des besoins physionomiques pour le Démon, puisqu’elle n’a fondamentalement pas besoin de se nourrir, mais c’est pour elle une priorité de la plus grande importance. Elle n’hésitera donc pas à utiliser les autres pour parvenir à ses fins, étant bien consciente qu’elle ne pourra jamais atteindre son but sans l’aide d’autrui. Manipulatrice, apathique, elle n’aspire pas à un but plus grand, tant qu’il y a de la désolation, ça lui convient. Malgré la quantité astronomique de fragments de souffrance dont elle a été constituée au fil des siècles et des millénaires, Violence ne possède que très peu de savoir datant de cette période de son existence, en effet sa mémoire n'est pas le résultat de l'accumulation de ces fragments résiduels mais plutôt leur moyenne. Seul les savoirs les plus communs lui ont été transmis avant d'avoir sa conscience propre. Une fois manifestée au sein de la Réalité, Violence fut capable d'apprendre en écoutant les gens vivre autour d'elle, en espionnant les conversations et en se battant, ses connaissances sur les moeurs des mortels sont donc assez superficielles mais elle n'est pas complètement aliénée de la société.

    Histoire ou test-rp


    Du savant mélange entre la Lumière et le Néant naquit la Conscience, mère de toute chose, le Sekaï émergeant ne tarda pas à abriter des créatures balbutiantes, et à l’image de leur génitrice, elles possédèrent elles aussi une conscience propre, capable de pensées, de réflexions, d’évolution. Ces êtres gesticulants étaient parfois différents les uns des autres, l’un avait besoin de manger des herbes, alors que l’autre devait se sustenter de la chair d’autre mortels, une hiérarchie se développa séparant les vivants entre chasseurs et proie et le monde commença à changer de manière imperceptible tandis que Vie et Mort émergèrent de l’Ordre.

    Déjà dès ce moment là, une infime partie de brutalité s’était immiscé dans les consciences, subrepticement, inconsciemment, les bêtes ne pensaient alors qu’à leurs propre préservation, rien ne pouvait possiblement être plus important, il ne s’agissait que d’actions dictées par les instincts de survie les plus primaires. Nourrir, reproduire, mourir. Le cycle éternel continua inlassablement, mais à chaque itération les êtres changeaient eux aussi lentement au fil du temps, la magie du Sekaï et la biologie modifiaient la machine du vivant, et bientôt les animaux furent certe capables de pensées, de réflexions, d’évolution mais surtout, surtout d’émotions. La surface du Sekaï se peupla d’entités sapiennes, les civilisations virent le jour, grandirent, évoluèrent, insouciantes de ce qui était tapis dans l’ombre, dans chaque recoin occulte d’une ruelle, dans chaque plis de l’esprit d’un enfant qui peu à peu perdait son innocence.

    La violence.

    [EXTERMINÉE] Violence, l'Épée Famélique 1cPLJ7v

    Les sentiments fleurissaient dans les coeurs, ils altéraient les jugements de manière irrationnelle, ils poussaient les individus à des décisions illogiques, ils animaient des actes qui n’avaient plus comme justification que le simple but de survivre, il y avait désormais des concepts formés par les hommes qui transcendaient leurs simples conditions et qui perduraient à travers les âges, tels que l’honneur, la gloire, le mémoire, l’amour ou encore l’espoir. Des valeurs pour lesquels certains trouvaient juste de mourir en leur noms. Chaque main levée sur un congénère, chaque pensées de haine à l’égard d’un prochain laissait une trace dans le monde, un infime résidu de cette violence demeurait sur la toile du cosmos, une traînée de particule risible en comparaison de l’immensité du grand tout. Ces résidus portaient en eux l’animosité qui les avait fait naître, ainsi que d’infimes fragments de souvenirs, des éclats de présents figés à tout jamais dans des instants de souffrance, de cruauté, de douleur. Au fil des années, ces faibles traces devinrent nombreuses tant les vices des hommes se démultiplièrent, et elles s’accumulèrent en une entité distincte que certains pouvaient enfin considérer ou percevoir comme étant quelque chose.

    Violence n’avait pas encore de conscience propre à ce stade, cet amalgame de colère et de haine n’était que la manifestation éthérée de la malfaisance des hommes, elle se contentait d’exister à mi-chemin entre Rêve et Réalité. Ce fut un état de repos stable, enflé occasionnellement par les quelques conflits d’envergures qui survenaient à la surface du Sekaï. Toute cette période de simple présence était pour Violence une ère de calme intemporelle pendant laquelle elle n’avait pas à formuler de pensées par elle même, elle n’avait pas besoin de ressentir le temps qui s’écoulait puisqu’elle ne possédait ni enveloppe charnelle, ni âme. Elle n’était pas, et était à la fois.

    ***

    Cette paix fut troublée par la première grande invasion des titans, tellement de souffrance, tellement de haine, de violence, de saccage, de meurtre, de brutalité, de torture, d’agonie, de vengeance, de colère. Il n’était plus question de survie, il n’était plus question de nourriture, il n’y avait plus de raison à rien, les actes commis par pure gratuité, par pure rengaine les uns envers les autres alimentaient l’entité qu’on ne pouvait nommer. Celle ci commença à percevoir le monde, sans pouvoir vraiment le regarder, elle se mit à entendre les plaintes, sans pouvoir vraiment les écouter, elle ressentait la colère du monde, les tourments des morts qui hurlaient le martyr, comme un tourbillon incessant d’une cacophonie de lamentation.

    C’était insupportable.
    C’était infini.

    Jamais les hurlements ne se taisaient, le Sekaï était saturé de guerre et de batailles, les titans terrassaient les mortels sur leur passage, répandant une destruction fatale dont chaque nouveaux théâtre voyait des centaines d’atrocités être commises, pourvoyant Violence d’une multitude de sensations et d’émotions misérables. L’existence était devenue un supplice continuel, mais Violence n’avait pas de conscience, elle n’interprétait pas la douleur de la même manière que les mortels.

    [EXTERMINÉE] Violence, l'Épée Famélique JMx5IIP

    Au fur et à mesure que les années passèrent, Violence se replongea lentement dans son état de transe, l’incapacité à mesurer le temps ne lui permis pas d’oublier l’horreur de la première guerre contre les titans, souvenir frais comme la veille dans son semblant d’esprit prototypé, tandis que cinq milles années passèrent dans la Réalité. Pendant ces cinq millénaires, Violence prit petit à petit forme, le petit cumul qu’elle était devenu lors de ce conflit divin attirait plus facilement à lui les autres résidus de malfaisance et quand les petits fragments venaient faire partie de l’entité grandissante, ils se mirent à fonctionner comme un réseau neuronal, résonnant entre eux pour forger des intentions primitives, mais encore incapables de formuler des pensées concrètes, ou d’exprimer une volonté propre.
    Et les titans revinrent à Shoumeï.
    Le cataclysme qui ravagea la terre sainte engendra un tel montant d’émotions négatives que l’amalgame de brutalité devint trop important pour demeurer en l’état, les sentiments prirent forme, de la forme vint le corps, du corps vint la conscience, de la conscience naquit Violence. Un démon fut né. Violence ne savait pas qui elle était, mais désormais elle pouvait voir, sentir, entendre, toucher et goûter, elle ne comprenait pas quel était ce domaine matériel dans lequel elle évoluait désormais, elle se surpris à en reconnaître les bases, les bribes de sentiments qui revenaient le plus lorsque les mortels commettaient des actes de brutalité parvinrent à lui créer quelques souvenirs, elle se rappelait du Sekaï, du Reike, de la République, de Shoumeï, des titans, des batailles, des armes… des, des… ? … deees…
    Les autres fragments d’émotions n’étaient que soif de vengeance, colère et déchaînement, Violence poussa un hurlement et un déchirement horrifique résonna dans les environs, sonnant comme le cri d’une bête éthérée. Elle n’avait pas de bouche, mais elle pouvait parler, prenant enfin le temps d’observer son environnement réel, elle voyait autour d’elle des corps baignant dans le sang et la boue, l’odeur qui flottait dans les airs était pestilentiel et le vacarme ambiant assourdissant. La goutte d’eau qui avait fait matérialiser Violence était une énième bataille du combat opposant le divin aux peuples du Sekaï, autour d’elle Violence ne voyait que la désolation du conflit, mais c’était justement son essence même, c’était l’unique chose qu’elle connaissait, et quelque part, cette familiarité lui était réconfortante au milieu de cet affolement des sens qu’elle éprouvait maintenant. Elle porta son propre regard sur elle même, elle reconnaissait sa forme physique, cette forme que l’amas de pensées avait instinctivement prise était celle que la grande majorité des souvenirs portaient avec eux dans leurs derniers moments de belligérance, la forme du glaive vindicateur. Elle était une épée plantée dans le sol, comme beaucoup d’autre sur le champs de bataille, mais elle parvenait difficilement à maintenir une enveloppe stable, tout cela était trop nouveau pour elle, trop soudain.

    Au bout de quelques minutes, Violence se rendit compte de deux choses, la première était sa perception nouvelle du temps qui s’écoulait, les secondes paraissaient interminablement lentes et courtes à la fois, la deuxième était qu’elle avait cessé de ressentir la cruauté du monde. Sevrée. Elle ne parvenait plus à accueillir de nouveaux fragments d’émotions, elle avait cessé de croître, et cette perspective la terrifiait, elle se sentait seule, coupée du Sekaï, une sensation paradoxale alors qu’elle y était justement matérialisée pour la première fois.
    Une personne s’approcha finalement d’elle, observant avec fascination l’arme qui semblait changer de forme de manière sporadique, peut-être était-ce la promesse de manier une arme d’un grand pouvoir, ou simplement l’imprudence qui mena cet elfe à apposer sa main sur le manche de l’épée, mais lorsqu’il empoigna la garde, son esprit fut assailli par le torrent envahissant de haine dont Violence était fait, l’esprit de l’elfe s’ouvrit au démon et celui ci lut dedans avant même de lire son premier livre, y trouvant divers fragments de souvenirs qu’elle n’avait pas l’habitude de voir, elle entendit un nom pour la première fois, elle aperçu des émotions différentes qui lui faisait peur comme de l’amour, de l’empathie ou de la douceur. Elle ne connaissait pas ces sentiments étrangers et elle se sentait menacée, elle fit appel à la seule chose qu’elle connaissait, la colère, au sein de son manieur elle évoqua la furie envers ses ennemis, elle attisa sa volonté de les exterminer et mena l’elfe tête au front à la bataille. Lorsque le corps de Violence lui-même trancha son premier être vivant, se fut une déferlante de douleur qui lui parvint, palpable, si proche, si réel, si véritable. Elle pouvait en ressentir chaque son bien distinctement, le bruit de son corps qui tranchait la chair, le bruit du sang qui giclait par terre, le bruit du hurlement de souffrance rugissant comme le tonnerre.
    C’était presque comme avant.
    En cet instant là précis, elle se sentait de retour dans sa transe de plénitude et de douleur continuelle qu’elle avait connue jusqu’à présent, c’était ce qu’elle aspirait à retrouver, elle s’en rendit tout à fait compte en le vivant. À la fin de la bataille, l’elfe conserva sa nouvelle arme à ses côtés, il en était fier, il racontait à ses camarades rescapés de la bataille comment il avait eu l’impression de se battre comme un béhémoth, comment il avait accompli tel exploit ou telle prouesse. Violence écoutait en silence avec curiosité, découvrant pour la première fois le monde étrange qui des relations humaines, elle ne dit rien, ne fit rien, elle se laissa mener au combat le lendemain avec tout autant de hargne que la veille, attisant encore la fougue de son porteur.

    ***

    Au fil des affrontements, Violence en apprenait un peu plus sur les mœurs des mortels, pourquoi ils s’affrontaient, comment ils se battaient, comment ils communiquaient, comment ils bougeaient et se sustentaient. Elle apprit des erreurs de ses manieurs, se laissant ramasser chaque fois que son précédent hérault tombait à terre, pourfendu par sa propre médiocrité. Pendant près d’une année entière, elle s’échangea de mains en mains, de bras en bras, brandie tantôt par un Oni arrogant, tantôt par un bretteur humain compétent, mais quelque soit le niveau de maîtrise de ses possesseurs, Violence finissait toujours inéluctablement par corrompre l’esprit de son propriétaire de par le lien qui subsistait entre elle et ceux qui venaient au contact de son manche. Tous tombaient, comme les insectes écrasés sous la semelle ils s’avouaient vaincus les uns après les autres, nourrissant Violence d’expériences supplémentaires, avant que celle ci ne soit ramassée par les gagnants et que le cycle ne se répète, encore, et encore.

    [EXTERMINÉE] Violence, l'Épée Famélique SQCvBg8

    Quand les titans furent enfin vaincus par les forces du Reike, Violence comprit que les déboires de brutalité dus à la guerre finiraient inexorablement par se calmer comme ils l’avaient fait avant, et cette fois, son existence physique au sein du Sekaï lui serait réellement insupportable parce qu’elle n’aurait plus le flot rassurant et ininterrompu de douleur qui lui serait procuré par la cruauté quotidienne des peuples.
    Elle ne souhaitait pas cela, Violence découvrit par inadvertance la signification “d’avoir un but”. Un objectif qui se dessinait lentement dans son esprit, prenant forme couche après couche comme une peinture sur toile dont le tableau dépeignait l’avènement de l’apocalypse. Elle désirait un conflit sans fin, une guerre éternelle de laquelle elle pourrait tirer la satisfaction à sa nostalgie morose. La paix lui était désormais insoutenable, elle devait s’accroître de nouvelles souffrances, comme lorsqu’elle n’existait pas encore dans la Réalité, comme avant, mais pour atteindre un tel objectif à l’ambition gargantuesque le Démon avait besoin d’un corps pour agir de lui-même.

    Profitant du lien fort qui l’unissait avec sa manieuse actuelle qui la brandissait depuis quelques mois déjà, Violence se retourna contre elle et dévora son hôte, une guerrière reikoise du nom de Praelia Matricus, elle prit totalement possession de son corps, laissant également les pensées négatives envahir son esprit et la dominer. Le corps de Praelia fut pris d’assaut par le Démon, l’altérant fortement, la silhouette guère épaisse de la femme ne pouvait possiblement contenir une telle quantité d’émotions personnifiée et aussitôt ses membres furent tuméfiés au delà du possible.
    Dans sa hâte de prendre forme Violence ne fit même pas attention à ce qui était armure et ce qui était chaire, et alors que le métal fusionnait avec le derme, des fissures apparurent sur le corps, déchirant l’enveloppe charnel en de multiples endroits pour ouvrir des craquelures béantes à travers lesquels les organes s’enfuyaient pour laisser place aux muscles corrompus par l’entité malfaisante. Tandis qu’elle arriva au cerveau de sa proie, les propres souvenirs de Violence firent irruption pendant sa transformation et elle se rappela de toutes les mains qui l’avaient porté jusque là, de tout les bras qui l’avaient balayé au travers de leurs adversaires, et alors que sa mémoire l’envahissait ces mêmes bras se mirent à pousser depuis son torse et ses épaules, encadrant la base du cou comme une collerette lugubre.
    Sa tête disparu, absorbée dans un tourbillon noirâtre de négativité qui s’effondra sur lui même, ne laissant en place qu’une simple sphère de néant noir profond représentant la principale agglomération de cruauté de Violence, de là elle pouvait voir et entendre. Une fois que le cerveau fut supprimé, le Démon se retrouvait en pleine possession du corps qui était maintenant le sien, elle possédait encore des organes même si ceux ci ne lui étaient pas utiles, elle était simplement mue par le brasier de sa colère qui parcouraient les muscles hypertrophiés comme la sève néfaste d’un arbre maudit. Une enveloppe charnelle imparfaite. Ça lui convenait tout à fait. Prenant le contrôle sur ce corps, Violence utilisa quelques heures pour s’habituer à ce nouveau réceptacle, apprenant à le bouger, à le manipuler, à parler. Elle se rendit également compte qu’en étant enchaînée ainsi à une forme physique qui n’était pas entièrement composée de sa propre nature mais teintée de chaire, elle avait perdue une légère partie de ses pouvoirs, mais c’était un sacrifice qu’elle ne considérait même pas.

    Il était temps d’arpenter le Sekaï, et de s’assurer que la destruction soit éternelle.

    Groupes d'intérêts

    Violence cherchant donc à répandre le chaos et le conflit, ou à l’amplifier lorsqu’il existe déjà, a de ce fait naturellement choisi de rester dans le Reike à l’intérieur duquel elle parvient à déchaîner les colères. La République ne l’intéresse que très peu pour le moment, non pas par ennui mais plutôt parce qu’en raison de son jeune âge Violence a déjà tant d’espace à parcourir, tant de personnes à violenter…

    Les groupes d'intérêt ne sont pas obligatoires.

    derrière l'écran

    Pseudo : SherLuc
    Comment avez-vous connu le forum ? Je suis ami avec Dahlia!
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    Arme des Veilleurs
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    Info personnage
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  • Mer 1 Mar - 9:23
    Fiche en attente de correction!
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    L'Âme des Cendres
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    Vocation: Big boss
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    qui suis-je ?:
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  • Dim 5 Mar - 17:27
    Ah, ENFIN !

    Bienvenue - officiellement - sur Cendres Very Happy

    2 ans le bougre ? Et bien, je pense que nous tenons-là le personnage le plus jeune du forum !

    Ce personnage est tout à fait captivant ! Je crois qu'il apportera bon nombre de dramas et de situations intenses au sein du role play. En tout cas, j'espère qu'il te plaira à incarner et que tu trouveras un ou des manieurs à la hauteur de tes violentes attentes !

    Sans plus te faire patienter, je te valide. Bon rp parmi nous 😊


    Compte staff - Merci de ne pas me MP.
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