Discord
Accueil
![Journée typique au "Nectar des sens" [PV Elerwyn] JvNj4PH](https://i.imgur.com/JvNj4PH.png)
2 participants
Citoyen du monde
Ellynor Wingless
Messages : 6
crédits : 102
crédits : 102
Journée typique au "Nectar des sens"
Feat Elerwyn
Dans une rue un peu perdue de Melorn, se trouvait une vieille bâtisse qui n'avait pas vraiment de mine d'extérieur mais qui était magnifique à l'intérieur pour le peu que l'on écoutait les ragots de ceux qui avaient osés s'y aventurer au cours de leur voyage. Il était question d'une nature abondante comme on en voit peu dans une maison. Des fleurs par vingtaines et des lucioles qui dansent pour éclairer vos tables. Tout semblait aussi féérique que l'âme des propriétaires...
L'aube luisait à peine que l'on entendait déjà fureter à l'étage. Puis des volets s'ouvrèrent et une jeune fae vint s'accouder à la fenêtre. Elle était prête pour le premier rituel de sa journée, avant d'aller concocter les boissons qu'elle vendrait à ses clients.
Chaque matin il était de coutume pour Ellynor d'ouvrir en grand les volets de sa chambre et de profiter des premiers rayons du soleil, telle une plante qui avait besoin de cette lumière chaleureuse pour ne pas dépérir. Cette douce chaleur venait ainsi réchauffer son visage alors qu'elle fermait les yeux en humant l'air à plein poumons. On pouvait même apercevoir quelques boutons de roses sauvages pousser dans ses longues boucles aux reflets changeants. Puis ses grands yeux bleu s'ouvrèrent et elle dressa l'oreille pour entendre ses amis de toujours chanter en profitant du même spectacle qu'elle. Ce moment privilégié avec les oiseaux lui rappelait sa forêt natale quand elle allait cueillir des herbes fraiches et des baies pour le petit déjeuner.
A l'idée du premier repas de la journée, le ventre d'Ellynor se mit à gargouiller et elle ne pu s'empêcher d'en rire. Elle jeta un dernier coup d'œil au lever du soleil en souriant, puis se décida à descendre dans la cuisine pour aller y chercher quelques fruits.
Cette dernière était en grande partie remplie par la viande que son frère avait fait sécher pour les clients de la taverne. La fae s'efforçait de ne pas penser à l'animal qui gambadait encore il y a quelques jours avant de faire cette rencontre malencontreuse. Elle grimaçait toujours lorsque son frère arrivait avec de nouvelles proies, bien qu'elle comprenait parfaitement qu'il était respectueux avec eux et ne faisait souffrir personne. Elle préférait d'ailleurs qu'un animal meure entre les mains de son frère, plutôt qu'entre les mains de quelqu'un d'autre... Mais ce serait encore mieux si il n'avait pas besoin de mourir tout court.
Se chassant ces idées de la tête, elle préféra engouffrer sa tête dans un placard afin de remplir une coupelle de plusieurs fruits tels que des pommes et des baies en tout genre. Continuant sa routine matinale, elle remplit également deux grands verres d'une mixture verte peut ragoûtante pour les humains mais qui étaient un véritable délices pour les faes. Le tout fut vite posé sur une table centrale avant qu'Ellynor n'aille ouvrir la porte d'entrée en grand. Plusieurs oiseaux s'y engouffrèrent alors, poursuivant leur chant auprès d'elle, ce qui la poussa immédiatement à tournoyer sur elle même jusqu'à ce qu'elle revienne s'asseoir à sa table.
"Bonjour Poppy ! Ton petit déjeuner est prêt lui aussi..."
La fae prit une poignée de graines de toutes les couleurs dans un petit sac qui avait été posé discrètement au milieu des fruits. Une belle mésange qui faisait partie de l'envol d'oiseaux de plus tôt vint alors se poser sur le bout de ses doigts afin de commencer son festin. Ellynor en profita pour lui déposer un délicat baiser du bout des lèvres et prit son verre de l'autre main pour savourer sa mixture. Il ne fallu pas plus de quelques minutes avant qu'une ombre familière se dessine à l'entrée de la porte.
"Bien le bonjour mon frère ! Quelle belle journée, tu ne trouves pas ? Comment s'est passé la chasse ? Quoi que non, ne me dis pas... Dis-moi juste comment tu te portes de si bon matin !" dit-elle un large sourire aux lèvres.
CENDRES
L'aube luisait à peine que l'on entendait déjà fureter à l'étage. Puis des volets s'ouvrèrent et une jeune fae vint s'accouder à la fenêtre. Elle était prête pour le premier rituel de sa journée, avant d'aller concocter les boissons qu'elle vendrait à ses clients.
Chaque matin il était de coutume pour Ellynor d'ouvrir en grand les volets de sa chambre et de profiter des premiers rayons du soleil, telle une plante qui avait besoin de cette lumière chaleureuse pour ne pas dépérir. Cette douce chaleur venait ainsi réchauffer son visage alors qu'elle fermait les yeux en humant l'air à plein poumons. On pouvait même apercevoir quelques boutons de roses sauvages pousser dans ses longues boucles aux reflets changeants. Puis ses grands yeux bleu s'ouvrèrent et elle dressa l'oreille pour entendre ses amis de toujours chanter en profitant du même spectacle qu'elle. Ce moment privilégié avec les oiseaux lui rappelait sa forêt natale quand elle allait cueillir des herbes fraiches et des baies pour le petit déjeuner.
A l'idée du premier repas de la journée, le ventre d'Ellynor se mit à gargouiller et elle ne pu s'empêcher d'en rire. Elle jeta un dernier coup d'œil au lever du soleil en souriant, puis se décida à descendre dans la cuisine pour aller y chercher quelques fruits.
Cette dernière était en grande partie remplie par la viande que son frère avait fait sécher pour les clients de la taverne. La fae s'efforçait de ne pas penser à l'animal qui gambadait encore il y a quelques jours avant de faire cette rencontre malencontreuse. Elle grimaçait toujours lorsque son frère arrivait avec de nouvelles proies, bien qu'elle comprenait parfaitement qu'il était respectueux avec eux et ne faisait souffrir personne. Elle préférait d'ailleurs qu'un animal meure entre les mains de son frère, plutôt qu'entre les mains de quelqu'un d'autre... Mais ce serait encore mieux si il n'avait pas besoin de mourir tout court.
Se chassant ces idées de la tête, elle préféra engouffrer sa tête dans un placard afin de remplir une coupelle de plusieurs fruits tels que des pommes et des baies en tout genre. Continuant sa routine matinale, elle remplit également deux grands verres d'une mixture verte peut ragoûtante pour les humains mais qui étaient un véritable délices pour les faes. Le tout fut vite posé sur une table centrale avant qu'Ellynor n'aille ouvrir la porte d'entrée en grand. Plusieurs oiseaux s'y engouffrèrent alors, poursuivant leur chant auprès d'elle, ce qui la poussa immédiatement à tournoyer sur elle même jusqu'à ce qu'elle revienne s'asseoir à sa table.
"Bonjour Poppy ! Ton petit déjeuner est prêt lui aussi..."
La fae prit une poignée de graines de toutes les couleurs dans un petit sac qui avait été posé discrètement au milieu des fruits. Une belle mésange qui faisait partie de l'envol d'oiseaux de plus tôt vint alors se poser sur le bout de ses doigts afin de commencer son festin. Ellynor en profita pour lui déposer un délicat baiser du bout des lèvres et prit son verre de l'autre main pour savourer sa mixture. Il ne fallu pas plus de quelques minutes avant qu'une ombre familière se dessine à l'entrée de la porte.
"Bien le bonjour mon frère ! Quelle belle journée, tu ne trouves pas ? Comment s'est passé la chasse ? Quoi que non, ne me dis pas... Dis-moi juste comment tu te portes de si bon matin !" dit-elle un large sourire aux lèvres.
CENDRES
Citoyen du monde
Elerwyn Wingless
Messages : 6
crédits : 52
crédits : 52
Info personnage
Race: Fae
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: D
Dans la toundra du grand nord, une ombre marchait en direction de Melorn. Habillé d’une tenue chaude, cet individu tremblait malgré tout, dans cette neige glaçante et ce vent mordant. Il était clairement temps de rentrer. Un arc et un carquois remplis de flèches dans le dos, l’individu marcha du mieux qu’il le put. En effet, il s’était enfoncé dans une zone un peu moins fréquentée. Chaque pas s’enfonçait profondément dans la neige et demandait un effort. Le froid le brulait de part et d’autre malgré sa tenue chaude couvrant presque la totalité de son corps. De ce qui était visible, du givre s’était formé au niveau des cils, cachant légèrement de magnifiques yeux bleus.
Dans une de ses mains, deux lapins du grand nord, tenue par les oreilles, dodu à souhait avec une magnifique fourrure blanche bien épaisse. Dans la seconde, son sac en cuir, qui faisait preuve de léger mouvement et semblait renfermer de la vie.
L’individu continua de marcher jusqu’à arriver sur le sentir principal. D’ici, la route serait beaucoup plus simple, et ce fut le cas. Malgré ce froid ravageur, il pu continuer à marcher jusqu’à arriver à Melorn.
A l’intérieur de cette cité magnifique, la chaleur pu se faire sentir. Le décor était semblable à une journée de printemps dans une immense cité elfique et arcanique. La température ne fut alors plus la même et l’individu continua malgré tout à marcher, sans enlever la moindre couche de vêtement. Il se fit remarquer, couvert de neige, une tenue des moins conformes à la vie dans cette cité et pourtant, il continua à marcher.
C’est ainsi qu’il arriva dans une rue perdue de Melorn. Il vit alors des oiseaux qui s’engouffrèrent dans un bâtiment et il en reconnu un faisant parti de cet envol. Il continua de marcher jusqu’à arriver à l’entrée du bâtiment, dans lequel il s’engouffra, la neige fondue sur ses épaules.
Ellynor : "Bien le bonjour mon frère ! Quelle belle journée, tu ne trouves pas ? Comment s'est passé la chasse ? Quoi que non, ne me dis pas... Dis-moi juste comment tu te portes de si bon matin !"
Il vit alors devant lui une fae à la chevelure turquoise, un large sourire aux lèvres. Il s’agissait de Ellynor. L’individu enleva alors sa capuche et son écharpe, laissant apparaître son visage fin à la peau rougit par le froid mordant de la région. Des cheveux turquoise apparurent alors, semblable à ceux de Ellynor. En effet, il s’agissait de Elerwyn. Les deux jumeaux se retrouvèrent ainsi et Elerwyn fut ravi de voir ce sourire sur le visage de sa très chère sœur.
« Bonjour ! Une journée semblable aux autres, comme toujours à Melorn. Mais si tu la trouves belle, elle ne peut que l’être ! » répondit-il un sourire aux lèvres.« Fatigué, le froid fut rude. La chasse également. »
Il cacha alors le corps des deux lapins derrière son dos pour préserver sa sœur. Cependant, il avait dans son sac une surprise pour celle-ci.
« Par contre, j’ai pu y trouver un cadeau pour toi. Je me suis dit que ça te ferait surement plaisir de prendre dans tes précieux soins des petits êtres qui auraient bien besoin d’une nourrice et d’une maman. »
Il posa son sac sur une des tables qu’il ouvrit. De là, sortie plusieurs lapereaux aux poils blancs comme la neige. Il y en avait 6 au total.
En vrai, Elerwyn était craintif de la réaction de sa sœur, car il s’agissait des rescapés de sa chasse. En effet, dans sa main, derrière son dos, se cachait les parents. Lorsqu’il les avait touchés de ses flèches, il les remercia, les acheva avec le plus de douceurs et rapidités possibles et prit le temps de prier. Ces êtres n’étaient pour lui pas seulement de la nourriture, mais une vie, qu’il fallait remercier et respecter. Il eut pris soin d’agir de la sorte hors de la vue des petits lapereaux et s’excusa auprès d’eux. Plutôt que de les achever, il eut l’idée de les amener à sa sœur dont l’amour immense envers les animaux pourraient faire fondre le moindre cœur de glace. Après tout, sa sœur était la plus lumineuse et chaleureuse et même belle entité que ce monde ait pu offrir. Chaque jour Elerwyn remerciait la nature et les astres pour lui avoir offert une telle sœur, parfaite en tout point.
Dans une de ses mains, deux lapins du grand nord, tenue par les oreilles, dodu à souhait avec une magnifique fourrure blanche bien épaisse. Dans la seconde, son sac en cuir, qui faisait preuve de léger mouvement et semblait renfermer de la vie.
L’individu continua de marcher jusqu’à arriver sur le sentir principal. D’ici, la route serait beaucoup plus simple, et ce fut le cas. Malgré ce froid ravageur, il pu continuer à marcher jusqu’à arriver à Melorn.
A l’intérieur de cette cité magnifique, la chaleur pu se faire sentir. Le décor était semblable à une journée de printemps dans une immense cité elfique et arcanique. La température ne fut alors plus la même et l’individu continua malgré tout à marcher, sans enlever la moindre couche de vêtement. Il se fit remarquer, couvert de neige, une tenue des moins conformes à la vie dans cette cité et pourtant, il continua à marcher.
C’est ainsi qu’il arriva dans une rue perdue de Melorn. Il vit alors des oiseaux qui s’engouffrèrent dans un bâtiment et il en reconnu un faisant parti de cet envol. Il continua de marcher jusqu’à arriver à l’entrée du bâtiment, dans lequel il s’engouffra, la neige fondue sur ses épaules.
Ellynor : "Bien le bonjour mon frère ! Quelle belle journée, tu ne trouves pas ? Comment s'est passé la chasse ? Quoi que non, ne me dis pas... Dis-moi juste comment tu te portes de si bon matin !"
Il vit alors devant lui une fae à la chevelure turquoise, un large sourire aux lèvres. Il s’agissait de Ellynor. L’individu enleva alors sa capuche et son écharpe, laissant apparaître son visage fin à la peau rougit par le froid mordant de la région. Des cheveux turquoise apparurent alors, semblable à ceux de Ellynor. En effet, il s’agissait de Elerwyn. Les deux jumeaux se retrouvèrent ainsi et Elerwyn fut ravi de voir ce sourire sur le visage de sa très chère sœur.
« Bonjour ! Une journée semblable aux autres, comme toujours à Melorn. Mais si tu la trouves belle, elle ne peut que l’être ! » répondit-il un sourire aux lèvres.« Fatigué, le froid fut rude. La chasse également. »
Il cacha alors le corps des deux lapins derrière son dos pour préserver sa sœur. Cependant, il avait dans son sac une surprise pour celle-ci.
« Par contre, j’ai pu y trouver un cadeau pour toi. Je me suis dit que ça te ferait surement plaisir de prendre dans tes précieux soins des petits êtres qui auraient bien besoin d’une nourrice et d’une maman. »
Il posa son sac sur une des tables qu’il ouvrit. De là, sortie plusieurs lapereaux aux poils blancs comme la neige. Il y en avait 6 au total.
En vrai, Elerwyn était craintif de la réaction de sa sœur, car il s’agissait des rescapés de sa chasse. En effet, dans sa main, derrière son dos, se cachait les parents. Lorsqu’il les avait touchés de ses flèches, il les remercia, les acheva avec le plus de douceurs et rapidités possibles et prit le temps de prier. Ces êtres n’étaient pour lui pas seulement de la nourriture, mais une vie, qu’il fallait remercier et respecter. Il eut pris soin d’agir de la sorte hors de la vue des petits lapereaux et s’excusa auprès d’eux. Plutôt que de les achever, il eut l’idée de les amener à sa sœur dont l’amour immense envers les animaux pourraient faire fondre le moindre cœur de glace. Après tout, sa sœur était la plus lumineuse et chaleureuse et même belle entité que ce monde ait pu offrir. Chaque jour Elerwyn remerciait la nature et les astres pour lui avoir offert une telle sœur, parfaite en tout point.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum