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Noble de La République
Neera Storm
Messages : 579
crédits : 852
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Info personnage
Race: Demi-titan
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique bon
Rang: B
PA – Il faut retrouver la Dame
Tour 1
9 avril de l'an 4
La réserve faunique. Un endroit aussi paisible que dangereux compte-tenu des créatures qui y vivent. On murmure que c’est là qu’est entretenu de nombreuses espèces rares, pour permettre leur réintroduction à l’avenir. Evidemment, la flore n’est pas en reste, puisqu’il s’y trouve aussi énormément de plantes aux propriétés médicinales et magiques. Mais ce n’est pas pour faire un tour dans la nature que Neera Storm vous a envoyé sur les lieux. Le Conseil d’Administration de Magic n’a pas lésiné sur les moyens pour retrouver sa Présidente dans les plus brefs délais et le territoire de la République a été minutieusement étudié par les académiciens de Liberty. Appuyé par Mirelda Goldheart, l’Université a fait appel des volontaires pour aller en reconnaissance dans certains lieux du pays. Votre but ? Retrouver la Dame, idéalement en vie et en bonne santé.
Vous avez été informé, à demi-mots, des circonstances entourant sa disparition. Une Assemblée, dotée de « consoeurs » auraient participé à cet enlèvement. Qui sont-elles ? Quels sont leurs objectifs ? Malheureusement, on l’ignore, et une autre équipe à été envoyée à Justice pour enquêter sur une fameuse Mairesse. En ce qui vous concerne, on vous a enjoint à la plus grande prudence. S’il est possible que vous récupériez des informations sur ces sombres femmes, faites ; mais n’oubliez jamais que vous êtes avant tout dans une mission de sauvetage.
On vous a conduit, à bord d’un chariot, jusqu’à la réserve faunique. Le nain qui vous a conduit, un bon gars qui n’a décidément pas la langue dans sa poche, vous a fait la causette tout du long. Un brin curieux sur votre présence et sur votre groupe hétéroclite, le marchand vous a fait part des dernières rumeurs dans les environs. On raconte que les braconniers cherchent des bêtes comme le rindo pour s’emparer de leurs cornes : ils ont beau être chassés par les forces de l’ordre, ils sont doués pour se fondre dans la masse de la réserve. Ces derniers temps, on murmure aussi qu’un monstre dévore les visiteurs les plus impudents car, si tôt qu’on s’écarte des chemins balisés par l’Etat, on semble avaler par la forêt mystérieuse qui entoure cette réserve sauvage. « Mais croyez pas qu’il y a qu’une forêt là-dedans ! On rencontre de tout. Des étangs. Des marécages. Même des grottes souterraines ! L’avantage, c’est que beaucoup d’animaux peuvent y vivre. Mais le désavantage, aussi, c’est qu’il y a des prédateurs qui peuvent nous tomber dessus sans crier gare. »
Le brave homme continue la conversation tout seul jusqu’à votre destination. Il vous abandonne à l’orée de la réserve, en vous signalant qu’il reviendra ce soir, une heure avant le coucher du soleil. Pour l’heure, le chemin est sûr et balisé : vous pouvez donc avancer sans crainte. Mais au bout d’une demi-heure, le plus affuté d’entre vous remarqueront d’autres sentiers, qui s’engouffrent dans la pénombre de la forêt. Manifestement, ils ont été créés soit par les mains de l’homme, soit par le passage de quelques créatures qui se déplacent comme elles l’entendent sur ce vaste territoire. A votre droite, seule la forêt semble vous attendre. A votre gauche, l’endroit semble un peu plus dégagé, mais il vous faudra grimper une pente abrupte. Vous pouvez également apercevoir qu’un écriteau en bois a été accroché à un arbre, où il est distinctement écrit : « Danger ! Ne pas approcher ».
Mais oserez-vous sortir des sentiers battus pour retrouver la Dame ?
- Notes du MJ:
- Voilà le début de la PA pour retrouver la Dame !
Comme vous pouvez le lire, on vous a conduit à la réserve, mais nul ne sait par où il faut aller pour retrouver la Présidente de Magic.
Je vous laisse la liberté d’agir à votre gré.
Vous pouvez :
- Questionner le nain qui vous a conduit jusqu’à la réserve. N’hésitez pas à me transmettre vos questions sur discord pour que je vous donne ses réponses. Sinon, je vous les communiquerai à mon prochain post.
- Dire comment vous vous êtes retrouvés dans cette mission de sauvetage
- Choisir le chemin que vous voulez emprunter. A gauche, vous avez un milieu plus dégagé mais une pente abrupte, avec la mention « Danger ». Tout droit vous suivez me chemin balisé pour les voyageurs qui n’ont rien à se reprocher. A droite vous vous engagez davantage dans les profondeurs de la forêt. A vos risques et périls bien entendu.
- Me proposer diverses actions auxquelles je n’ai pas pensé. Dans ce cas, n’hésitez de nouveau pas à me contacter par MP et je vous donnerai mes réponses (ou vous connaîtrez les joies du lancer de dés.)
CENDRES
Invité
Invité
"Bénies soient les astres pour ce royaume aux milles facettes..." purent-ils tous m'entendre murmurer quand nous arrivâmes.
Mes compagnons de voyage avaient bien dû se faire à cela, comme souvent : le sire que je suis ne communiquais que par la pensée. Et quelle pensée ! J'y laissais transparaître toute mon adoration pour ces terres sauvages riches en danger comme en merveilles. Bien sûr que cela était désagréable que de croiser un prédateur prêt à faire de vous son prochain repas mais ah ! Ciel, quelle beauté que ces terres-ci ! J'en oubliais presque ce qui nous amenait, quel benêt je peux être !
Le bouche-à-oreilles avait fait parvenir jusqu'à votre bon serviteur la nouvelle d'une disparition. Et pas n'importe laquelle : la Dame de Magic ! Impossible ! Improbable ! Invraisemblable ! Et pourtant véridique. De mes amis m'en avaient compté les détails et, avant même qu'ils ne réalisent, je m'étais portée volontaire pour participer aux recherches. Comment aurait-il pu en être autrement ? Quelqu'un s'en était pris à la dirigeante du sanctuaire de l'enseignement magique au sein de la République. C'était... Une infamie ! Bien sûr, je ne suis qu'un simple chevalier, liche de surcroît, pour qui la proximité de certains mages relevait d'un curieux jeu des sept erreurs pour garder cachée ma nature. Mais le devoir m'appela et je mentirais si je disais avoir pensé aux conséquences avant. Par contre je pris bien le temps de confier ma fidèle Laudine à une bonne écurie de ma connaissance. Les sabots ne faisaient pas bonne affaire avec les marécages et les grottes, si nous en arrivions là.
J'écoutais par la suite avec délice, au rythme du cahin-caha grinçant de notre véhicule, tout ce que le brave nain, notre conducteur, eut à nous dire jusqu'à notre arrivée. Comme il est bon de croiser pareille âme ! Qui prend le temps de nous raccourcir le chemin avec maintes paroles égayantes. Épée à la hanche, armuré de métal et de cuir, visière de mon heaume abaissée comme d'ordinaire, je descendis vivement de la chariote.
"Soyez remercié pour vos généreuses paroles, mon brave. saluais-je mentalement notre conducteur, tout en m'adressant aussi à mes camarades, afin qu'ils ne soient pas surpris d'entendre le nain répondre à des propos sinon silencieux. Nous en ferons bon usage pour notre affaire."
Non sans un coup d’œil à la végétation environnante, je me tournais ensuite vers la demoiselle nous accompagnant, et lui offrit ma main - gantée et rembourrée, pour que tout un chacun prenne le tissu pour la chair me manquant - sans y réfléchir à deux fois : "Me permettrez-vous... ?" en un geste galant pour rejoindre terre.
Cependant, mon esprit courant déjà les chemins, je demandais dans un second temps, à notre conducteur :
"Maître nain, un instant je vous prie. Ces braconniers que vous évoquiez,, avez-vous la moindre idée des endroits où il est serait plus aisé de les croiser ? Ou quelque autre individu pouvant nous informer quant à l'activité au sein de la Réserve, et les lieux où des vilains et leur otage pourraient chercher refuge pour un certain temps ?"
Mes compagnons de voyage avaient bien dû se faire à cela, comme souvent : le sire que je suis ne communiquais que par la pensée. Et quelle pensée ! J'y laissais transparaître toute mon adoration pour ces terres sauvages riches en danger comme en merveilles. Bien sûr que cela était désagréable que de croiser un prédateur prêt à faire de vous son prochain repas mais ah ! Ciel, quelle beauté que ces terres-ci ! J'en oubliais presque ce qui nous amenait, quel benêt je peux être !
Le bouche-à-oreilles avait fait parvenir jusqu'à votre bon serviteur la nouvelle d'une disparition. Et pas n'importe laquelle : la Dame de Magic ! Impossible ! Improbable ! Invraisemblable ! Et pourtant véridique. De mes amis m'en avaient compté les détails et, avant même qu'ils ne réalisent, je m'étais portée volontaire pour participer aux recherches. Comment aurait-il pu en être autrement ? Quelqu'un s'en était pris à la dirigeante du sanctuaire de l'enseignement magique au sein de la République. C'était... Une infamie ! Bien sûr, je ne suis qu'un simple chevalier, liche de surcroît, pour qui la proximité de certains mages relevait d'un curieux jeu des sept erreurs pour garder cachée ma nature. Mais le devoir m'appela et je mentirais si je disais avoir pensé aux conséquences avant. Par contre je pris bien le temps de confier ma fidèle Laudine à une bonne écurie de ma connaissance. Les sabots ne faisaient pas bonne affaire avec les marécages et les grottes, si nous en arrivions là.
J'écoutais par la suite avec délice, au rythme du cahin-caha grinçant de notre véhicule, tout ce que le brave nain, notre conducteur, eut à nous dire jusqu'à notre arrivée. Comme il est bon de croiser pareille âme ! Qui prend le temps de nous raccourcir le chemin avec maintes paroles égayantes. Épée à la hanche, armuré de métal et de cuir, visière de mon heaume abaissée comme d'ordinaire, je descendis vivement de la chariote.
"Soyez remercié pour vos généreuses paroles, mon brave. saluais-je mentalement notre conducteur, tout en m'adressant aussi à mes camarades, afin qu'ils ne soient pas surpris d'entendre le nain répondre à des propos sinon silencieux. Nous en ferons bon usage pour notre affaire."
Non sans un coup d’œil à la végétation environnante, je me tournais ensuite vers la demoiselle nous accompagnant, et lui offrit ma main - gantée et rembourrée, pour que tout un chacun prenne le tissu pour la chair me manquant - sans y réfléchir à deux fois : "Me permettrez-vous... ?" en un geste galant pour rejoindre terre.
Cependant, mon esprit courant déjà les chemins, je demandais dans un second temps, à notre conducteur :
"Maître nain, un instant je vous prie. Ces braconniers que vous évoquiez,, avez-vous la moindre idée des endroits où il est serait plus aisé de les croiser ? Ou quelque autre individu pouvant nous informer quant à l'activité au sein de la Réserve, et les lieux où des vilains et leur otage pourraient chercher refuge pour un certain temps ?"
Invité
Invité
Être convoqué sur ce genre de mission était un honneur complet, surtout que ce dernier allait devoir officier comme un représentant des limiers. Il avait, à ce juste titre, la permission de se présenter sous cette fonction, pour ainsi démontrer que l'ordre des Limiers du Razkaal avait toujours un regard et une disposition à faire régner l'ordre dans la République.
Ainsi, muni de sa tenue de limier, une grande houppelande faisant office de long manteau, avec en son haut une capuche, recouvrant une bonne partie de son crâne, qui sur le profil du bonhomme, ne laissait seulement apparaître que le masque albâtre dont les membres certifiés portaient lors de leurs contrats. On pouvait voir des débuts d'ébréchures sur l'objet, dû à la décennie passée que cette chose susdit au fil du temps. Temps qui était précieux en cet instant.
La mission consistait à retrouver une femme importante au sein de Magic, qui avait été enlevé et serait détenue dans la réserve faunique. Du nom de la Dame, en résultait une grande consternation du reste des membres de cette élite. Enfin, aux oreilles de Khalez. Il n'avait pas été sur les bancs d'une école. Tout le système éducatif était un domaine obscur à son vécu.
La traversée et le transport n'étaient pas à ses frais, car à l'aide d'un nain dépêche pour ce convoi exceptionnel, qui en tenait le descriptif seulement pour le trio exotique qui allait devoir jouer les sauveteurs de ce qu'on parlait qualifier d'enlèvement à objectif incertain.
Par ailleurs, c'était un homme, à la carrure qu'imposait son armure et la finition des pliures métalliques, qui s'adressa en premier à l'entièreté de la troupe. Chose étrange, la voix était comme résonante dans l'esprit de l'orc. Si le masque arrêtait la corruption psychique du Razkaal, il n'en était nullement utile contre les pouvoirs émanant d'entités mortelles. L'autre personne était une jeune femme aux cheveux d'automne, une allure qui lui paraissait presque comme une garde-forestière du coin. Et que dire du bon conducteur nain qui toujours les yeux rives sur le chemin, taillait la bavette pour presque rien. De tout et de n'importe quoi, sa curiosité devait être drôlement forte pour ceux qui se trouvaient à l'arrière de son fidèle outil.
C'était à l'évocation de braconniers chasseurs de randonnée, que le guerrier tendit un peu plus son attention au locuteur : ils sévissaient en quête de leurs cornes.
*Ici aussi ? Ce réseau doit être comme une hydre.*
Puis, il enchaîna sur une brève présentation des différents espaces de rencontres, allant du marais à des cavités telluriques souterraines. Il avait raison : on pouvait rencontrer de tout à la réserve, même sa personne plus que spéciale.
Lors de l'arrêt, c'était en se levant que le chevalier étincelant prit les devants, le pied déjà sur le sentier de terre, offrant son aide à la seule entité féminine, présent parmi le groupe. Il était clair que ce personnage était d'une galanterie instinctive, là où le combattant avait juste l'instinct. Voyant cela, et ne voulant pas attendre que bonnes manières se fassent, il sauta par-dessus la charrette, et attendit un peu en amont que actes se déroulent.
La question posée par le galant servant était pertinente. Ces fauteurs de troubles annexes restaient importants, mais leur plus grand pouvoir était leur anonymat et leur capacité à se mouvoir dans des milieux qui n’étaient pas les leurs. Avec un peu de chance, les créatures du coin avaient eu leur repas gratuit de la semaine.
Une fois réunis, le limier prit les devants, méthode naturelle de par son rôle dans l'ordre, commençant dès lors à suivre bien gentiment le sentier battu. Puis après une demi-heure, plusieurs choix s'offraient aux concernés : la sûreté, la témérité, ou l'inconscience. La décision était déjà prise pour Khalez intérieurement. Mais dans une mission groupée, les avis devaient concordent sur l'unanimité.
"Pour commencer, je suis Tsunami. Un limier du Razkaal. J'aimerais savoir quels sont vos expertises ? Et que préférez-vous comme suite de notre parcours ?"
Ainsi, muni de sa tenue de limier, une grande houppelande faisant office de long manteau, avec en son haut une capuche, recouvrant une bonne partie de son crâne, qui sur le profil du bonhomme, ne laissait seulement apparaître que le masque albâtre dont les membres certifiés portaient lors de leurs contrats. On pouvait voir des débuts d'ébréchures sur l'objet, dû à la décennie passée que cette chose susdit au fil du temps. Temps qui était précieux en cet instant.
- Tenue de Khalez:
La mission consistait à retrouver une femme importante au sein de Magic, qui avait été enlevé et serait détenue dans la réserve faunique. Du nom de la Dame, en résultait une grande consternation du reste des membres de cette élite. Enfin, aux oreilles de Khalez. Il n'avait pas été sur les bancs d'une école. Tout le système éducatif était un domaine obscur à son vécu.
La traversée et le transport n'étaient pas à ses frais, car à l'aide d'un nain dépêche pour ce convoi exceptionnel, qui en tenait le descriptif seulement pour le trio exotique qui allait devoir jouer les sauveteurs de ce qu'on parlait qualifier d'enlèvement à objectif incertain.
Par ailleurs, c'était un homme, à la carrure qu'imposait son armure et la finition des pliures métalliques, qui s'adressa en premier à l'entièreté de la troupe. Chose étrange, la voix était comme résonante dans l'esprit de l'orc. Si le masque arrêtait la corruption psychique du Razkaal, il n'en était nullement utile contre les pouvoirs émanant d'entités mortelles. L'autre personne était une jeune femme aux cheveux d'automne, une allure qui lui paraissait presque comme une garde-forestière du coin. Et que dire du bon conducteur nain qui toujours les yeux rives sur le chemin, taillait la bavette pour presque rien. De tout et de n'importe quoi, sa curiosité devait être drôlement forte pour ceux qui se trouvaient à l'arrière de son fidèle outil.
C'était à l'évocation de braconniers chasseurs de randonnée, que le guerrier tendit un peu plus son attention au locuteur : ils sévissaient en quête de leurs cornes.
*Ici aussi ? Ce réseau doit être comme une hydre.*
Puis, il enchaîna sur une brève présentation des différents espaces de rencontres, allant du marais à des cavités telluriques souterraines. Il avait raison : on pouvait rencontrer de tout à la réserve, même sa personne plus que spéciale.
Lors de l'arrêt, c'était en se levant que le chevalier étincelant prit les devants, le pied déjà sur le sentier de terre, offrant son aide à la seule entité féminine, présent parmi le groupe. Il était clair que ce personnage était d'une galanterie instinctive, là où le combattant avait juste l'instinct. Voyant cela, et ne voulant pas attendre que bonnes manières se fassent, il sauta par-dessus la charrette, et attendit un peu en amont que actes se déroulent.
La question posée par le galant servant était pertinente. Ces fauteurs de troubles annexes restaient importants, mais leur plus grand pouvoir était leur anonymat et leur capacité à se mouvoir dans des milieux qui n’étaient pas les leurs. Avec un peu de chance, les créatures du coin avaient eu leur repas gratuit de la semaine.
Une fois réunis, le limier prit les devants, méthode naturelle de par son rôle dans l'ordre, commençant dès lors à suivre bien gentiment le sentier battu. Puis après une demi-heure, plusieurs choix s'offraient aux concernés : la sûreté, la témérité, ou l'inconscience. La décision était déjà prise pour Khalez intérieurement. Mais dans une mission groupée, les avis devaient concordent sur l'unanimité.
"Pour commencer, je suis Tsunami. Un limier du Razkaal. J'aimerais savoir quels sont vos expertises ? Et que préférez-vous comme suite de notre parcours ?"
Citoyen de La République
Xera
Messages : 197
crédits : 835
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Info personnage
Race: Fae (Mi-humaine)
Vocation: Mage soutien
Alignement: Loyal Neutre
Rang: C
La première pensée de Xera en découvrant ses compagnons de mission fut que personne ne l’avait prévenu qu’elle aurait dû prévoir de quoi masquer son visage. Le chevalier ne quittait pas son heaume à la visière baissé et l’autre ne quittait pas son masque blanc. La rousse avait entendu parler des fameux limiers de la république et de leur masque garantissant leur anonymat. Peut-être était-elle la seule civile du trio envoyé vérifier la zone de la réserve faunique dans l’espoir de retrouver la Dame de Magic. Elle avait rejoint l’opération de sauvetage volontairement, de passage à l’université pour visiter son père et les chercheurs s'occupant de son cas, elle avait ainsi appris la disparition de la présidente. Neera lui avait demandé de participer aux recherches et Xera n’avait pas hésité une seule seconde. Il était évident qu’elle n’était pas présente pour ses capacités de combats, mais plus pour ses capacités de soutien en milieu forestier.
Le voyage à bord d’un chariot fut assez plaisant, surtout grâce à leur conducteur. Ce dernier avait la conversation facile et Xera échangea volontiers avec lui. Après avoir épuisé tous les sujets lambdas du voyage tels que la pluie et le beau temps, d'où venez vous, que faites vous dans la vie elle laisse ses deux compères à l’arrière et s'installe à côté du nain. Quand ce dernier leur fit part des rumeurs concernant la réserve faunique, le visage de la rousse se durcit. Les braconniers, voilà bien des individus qu’elle ne portait pas dans son cœur, ce genre d’individus n’avait aucun respect envers les forêts et la faune. Tuer des bêtes juste pour récupérer leur corne…. Quant à la rumeur du monstre… Et bien peut-être était-ce la réponse de l’esprit sylvestre local ou bien ces voyageurs avait vu ce qu’il ne devait pas voir comme les ravisseurs de la Présidente.
- dans la nature, il faut toujours faire attention à son environnement, ensuite et bien ce n’est que le cycle de la vie. Dites-moi il n’y a pas d’esprit sylvestre dans la réserve ?
La charrette s’immobilisa enfin, c'était la fin du voyage en charrette pour le trio, le chevalier remercia le prolixe nain et en fit profiter tout le monde en s’adressant directement à leur esprit. Le chevalier ne s'était pas adressé à eux exclusivement que par télépathie depuis le début de leur périple. Il descendit le premier du chariot dans un bruissement métallique, lui proposa son aide pour descendre en lui tendant la main. La rousse accepta son aide et se saisit de cette main tendue. Une fois, les pieds au contact du sol, la demi-Fae remercia le chevalier puis leur conducteur.
- Merci maître nain que le reste de votre voyage se passe sans encombre.
Quand la charrette s'ébranla de nouveau, le limier prit les devant, habitué à commander et à prendre des décisions rapides de par sa fonction. Ce n'est qu’au bout d'une demi-heure de marche qu’il reprend la parole et se présente.
- Xera, herboriste de Nareim, un petit village aux abords de la grande forêt au sud de Liberty, mes domaines d'expertise, sont les soins des blessures, maladies et empoisonnement, je maîtrise aussi l'élément eau et terre au niveau intermédiaire tous deux. Et je peux aussi calmer un animal, communiquer avec la faune et voler... Pour la suite de notre parcours, je pencherais pour prendre de la hauteur afin d’avoir une vue d'ensemble de la zone, avant de nous décider à choisir notre direction.
Le voyage à bord d’un chariot fut assez plaisant, surtout grâce à leur conducteur. Ce dernier avait la conversation facile et Xera échangea volontiers avec lui. Après avoir épuisé tous les sujets lambdas du voyage tels que la pluie et le beau temps, d'où venez vous, que faites vous dans la vie elle laisse ses deux compères à l’arrière et s'installe à côté du nain. Quand ce dernier leur fit part des rumeurs concernant la réserve faunique, le visage de la rousse se durcit. Les braconniers, voilà bien des individus qu’elle ne portait pas dans son cœur, ce genre d’individus n’avait aucun respect envers les forêts et la faune. Tuer des bêtes juste pour récupérer leur corne…. Quant à la rumeur du monstre… Et bien peut-être était-ce la réponse de l’esprit sylvestre local ou bien ces voyageurs avait vu ce qu’il ne devait pas voir comme les ravisseurs de la Présidente.
- dans la nature, il faut toujours faire attention à son environnement, ensuite et bien ce n’est que le cycle de la vie. Dites-moi il n’y a pas d’esprit sylvestre dans la réserve ?
La charrette s’immobilisa enfin, c'était la fin du voyage en charrette pour le trio, le chevalier remercia le prolixe nain et en fit profiter tout le monde en s’adressant directement à leur esprit. Le chevalier ne s'était pas adressé à eux exclusivement que par télépathie depuis le début de leur périple. Il descendit le premier du chariot dans un bruissement métallique, lui proposa son aide pour descendre en lui tendant la main. La rousse accepta son aide et se saisit de cette main tendue. Une fois, les pieds au contact du sol, la demi-Fae remercia le chevalier puis leur conducteur.
- Merci maître nain que le reste de votre voyage se passe sans encombre.
Quand la charrette s'ébranla de nouveau, le limier prit les devant, habitué à commander et à prendre des décisions rapides de par sa fonction. Ce n'est qu’au bout d'une demi-heure de marche qu’il reprend la parole et se présente.
- Xera, herboriste de Nareim, un petit village aux abords de la grande forêt au sud de Liberty, mes domaines d'expertise, sont les soins des blessures, maladies et empoisonnement, je maîtrise aussi l'élément eau et terre au niveau intermédiaire tous deux. Et je peux aussi calmer un animal, communiquer avec la faune et voler... Pour la suite de notre parcours, je pencherais pour prendre de la hauteur afin d’avoir une vue d'ensemble de la zone, avant de nous décider à choisir notre direction.
- Pouvoirs de Xera:
Eau palier 2
Terre palier 2
Soins élémentaire palier 2j
Guérison des maladies, poisons et envoûtements palier 2
Contrôle des émotions palier 1
Vol palier 1
Communication avec les animaux palier 1
Invité
Invité
"Huuuum. Difficile à dire. Je sais que leurs pièges et leurs traques sont moins fréquentes dans les marécages. C'est plus fastidieux, des prédateurs et des reptiles peuvent se cacher dans l'eau, ils font du bruit pour se déplacer : bref, pour leur chasse illégale, c'est pas l'idéal et leur but, c'est quand même de rester discrets. Alors ils chassent surtout dans la forêt ou aux lisières des prairies, souvent à l'aube, quand la faune diurne se réveille et commence à se chasser. Ouais, moi je vous dirais de vous méfier de ces zones-là. Ce serait quand même con que vous tombiez sur un piège qui vous massacre la cheville ou que vous tombiez sur un de leur filet - qui sait, ils sont peut-être enchantés."
Telles furent les indications que nous concéda notre bon conducteur, avant que l'empressé 'limier' ne prenne les devants. Délaissant les dernières traces de la civilisation qu'était le grincement des roues s'en retournant, nous nous enfonçâmes bien vite sous les vastes frondaisons millénaires. Par les astres, qu'elles étaient rares les forêts de géants de cette ampleur, il y avait de quoi en avoir le tournis ! Cela m'amusa d'ailleurs fortement quand Dame Xera, herboriste de Nareim, suggéra d'en gravir les titanesques troncs. La vue devait être fabuleuse, mais une nuque brisée mettrait un terme ç tout espoir d'admirer de là-haut les majestueux élancements végétaux.
"Auriez-vous quelques pouvoirs cachés, quelque entente avec la végétation vous offrant un sauf-conduit si haut, Dame Xera ? Car mon armure, je dois l'avouer, m'offre seulement une voix royale et expéditive vers le plancher des vaches, si je venais à m'aventurer là-haut.m'amusais-je doucement. Enfin, permettez-moi de me présenter : Tadlos Onc'nnui, chevalier de la Phalange Nocturne. Mon épée est au service de la recherche de la Dame de l'Université, de même que mon esprit, capable de s'aventurer dans les méandres des échos du temps. Ainsi, Maître Limier - feriez-vous parti d'un ordre de Grands Chasseurs ? D'hommes ou de bêtes, je me le demande, car c'est un ordre m'étant inconnu, ah, comme il est bon d'apprendre encore ! -, s'il nous est possible de trouver quelques traces des crapules, ou des lieux où leur passage serait fortement probable, il me sera possible de jeter un œil dans le passé, afin de m'en assurer... Et d'en apprendre encore davantage sur les malandrins que nous recherchons."
M'étant incliné à leur encontre en me présentant, je pris ensuite un instant pour observer ce qui nous entourait, et me heurtait à une vérité lâche : ce monde végétal, aussi riche que vibrant, m'était aussi fascinant qu'incompréhensible. Bien sûr je pourrais en inspecter la moindre branche et rechercher des traces, mais puisque la piste était sans doute froide, mes compétences sur ce point serait on ne peut plus dépasser. Quant à l'ampleur de la tâche, et bien... ! De la taille d'une Réserve Faunique, ni plus ni moins ! Mais soudain, une idée me frappa, et je me tournais avec enthousiasme vers Dame Xera. Guérisseuse et connaisseuse des créatures, voilà qui était prometteur pour notre affaire !
"Dame Xera, ne disiez-vous point communiquer avec les créatures sauvages ? Celles-ci pourraient-elles nous renseigner vis-à-vis des marauds ravisseur de Dame ? Ou encore la cache de quelques brigands qui eux, en sauront davantage ? Et vous, Messire Limier, ne pourriez-vous pas remonter remonter une piste de l'un ou l'autre ? Ah, et ce panneau ! "Danger", les rustres se seront sans doute cachés là où les bonnes gens n'oseront s'aventurer ! Ah, que cette tâche est vaste... ! Percevez-vous quelques traces récentes ?"
Chaque voie me semblait prometteuse à mes yeux - haha ! Il ne m'en restait plus, et je voyais, pourtant, HAHAHA ! - d'humble chevalier, promettant une piste fraîche comme des recherches infinies... !
"Une fois sur une piste claire je pourrais parcourir les voies obscures des évènements passés, mais m'y égarer sans indication claire reviendrait à me laisser sans doute épuisé et vain, tel un matelot ayant tenter d'écoper pour sauver un grand trois mâts d'une plongée vers les abysses, ah !"
Telles furent les indications que nous concéda notre bon conducteur, avant que l'empressé 'limier' ne prenne les devants. Délaissant les dernières traces de la civilisation qu'était le grincement des roues s'en retournant, nous nous enfonçâmes bien vite sous les vastes frondaisons millénaires. Par les astres, qu'elles étaient rares les forêts de géants de cette ampleur, il y avait de quoi en avoir le tournis ! Cela m'amusa d'ailleurs fortement quand Dame Xera, herboriste de Nareim, suggéra d'en gravir les titanesques troncs. La vue devait être fabuleuse, mais une nuque brisée mettrait un terme ç tout espoir d'admirer de là-haut les majestueux élancements végétaux.
"Auriez-vous quelques pouvoirs cachés, quelque entente avec la végétation vous offrant un sauf-conduit si haut, Dame Xera ? Car mon armure, je dois l'avouer, m'offre seulement une voix royale et expéditive vers le plancher des vaches, si je venais à m'aventurer là-haut.m'amusais-je doucement. Enfin, permettez-moi de me présenter : Tadlos Onc'nnui, chevalier de la Phalange Nocturne. Mon épée est au service de la recherche de la Dame de l'Université, de même que mon esprit, capable de s'aventurer dans les méandres des échos du temps. Ainsi, Maître Limier - feriez-vous parti d'un ordre de Grands Chasseurs ? D'hommes ou de bêtes, je me le demande, car c'est un ordre m'étant inconnu, ah, comme il est bon d'apprendre encore ! -, s'il nous est possible de trouver quelques traces des crapules, ou des lieux où leur passage serait fortement probable, il me sera possible de jeter un œil dans le passé, afin de m'en assurer... Et d'en apprendre encore davantage sur les malandrins que nous recherchons."
M'étant incliné à leur encontre en me présentant, je pris ensuite un instant pour observer ce qui nous entourait, et me heurtait à une vérité lâche : ce monde végétal, aussi riche que vibrant, m'était aussi fascinant qu'incompréhensible. Bien sûr je pourrais en inspecter la moindre branche et rechercher des traces, mais puisque la piste était sans doute froide, mes compétences sur ce point serait on ne peut plus dépasser. Quant à l'ampleur de la tâche, et bien... ! De la taille d'une Réserve Faunique, ni plus ni moins ! Mais soudain, une idée me frappa, et je me tournais avec enthousiasme vers Dame Xera. Guérisseuse et connaisseuse des créatures, voilà qui était prometteur pour notre affaire !
"Dame Xera, ne disiez-vous point communiquer avec les créatures sauvages ? Celles-ci pourraient-elles nous renseigner vis-à-vis des marauds ravisseur de Dame ? Ou encore la cache de quelques brigands qui eux, en sauront davantage ? Et vous, Messire Limier, ne pourriez-vous pas remonter remonter une piste de l'un ou l'autre ? Ah, et ce panneau ! "Danger", les rustres se seront sans doute cachés là où les bonnes gens n'oseront s'aventurer ! Ah, que cette tâche est vaste... ! Percevez-vous quelques traces récentes ?"
Chaque voie me semblait prometteuse à mes yeux - haha ! Il ne m'en restait plus, et je voyais, pourtant, HAHAHA ! - d'humble chevalier, promettant une piste fraîche comme des recherches infinies... !
"Une fois sur une piste claire je pourrais parcourir les voies obscures des évènements passés, mais m'y égarer sans indication claire reviendrait à me laisser sans doute épuisé et vain, tel un matelot ayant tenter d'écoper pour sauver un grand trois mâts d'une plongée vers les abysses, ah !"
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Le nain avait bien mieux précisé la topologie intérieure de la réserve faunique. À l'entendre, une multitude de climats divers et variés composeraient ce jardin secret des curieux extérieurs. Cette diversité était bien là la fameuse toison d'or que cherchait chaque braconnier à pouvoir s'en emparer et y commercer. Une ressource pareille et intarissable — de leur point de vue — ne pouvait pas être ignorée.
La femme se présentait sous le nom de Xera, exerçant le métier noble d'herboriste dans un petit village jonchent le côté sud de la capitale républicaine. Ses compétences, après demande de Tsunami pour mieux cerner le groupe l'accompagnant dans cette aventure, il conclut que sa survie était très nécessaire au groupe. De plus que le chevalier nommé Tadlos, qui était flamboyant par son armure, d'autant plus par son flot oratoire digne du titre qu'il portait. Enfin, si c'était vraiment toute la vérité, l'orc n'étant pas un connaisseur des lignées nobles.
En parlant de savoir, l'exubérant personnage ne cacha pas son ignorance du groupe dont le combattant faisait partie. Il se permit de corriger ce manque.
"Les limiers du Razkaal sont connus de nom, mais pas de visage. D'où le masque. Et nous sommes souvent dépêchés pour régler des cas majeurs de criminalité. Je ne peux pas vous en dire plus, car tout le reste est confidentiel." Il commença à prendre sa marche, s'arrêtant juste devant le panneau indiquant la dangerosité de l'endroit qui s'y trouvait derrière. "Pour ce qui est de votre idée à mon égard, laissez-moi juste quelques secondes."
Il s'agenouille devant l'objet boisé, ferma les yeux, et inspira longuement sans saccade l'air ambiant, en cherchant au plus loin de son pouvoir, une trace spécifique des braconniers. Ce qui le frappa en premier lieu, était une odeur forte chargée et typique d'un reste de leurs actions : l'odeur de la pourriture cadavérique. Le gaz typique du relâchement d'un corps mort en plein air. Le souci n'était pas que la distance, mais ce qui pouvait rôder autour : carnivores, charognards, et autres insectes nécrophages.
Aux yeux extérieurs, on croirait qu'il s'est simplement posté devant la pancarte sommaire, avant qu'il se relève, pour faire part de son observation.
"Dans cette direction est une des preuves possibles de la présence de braconniers. Je vous le donne pas en mille, mais c'est un cadavre de quelqu'un ou quelque chose que j'ai détecté. Si Xera possède quelque chose de plus concret, partons dessus Pour l'heure, ma piste est envisageable."
Il imposait sans trop forcer sa chance. Là était sa première observation, et si le groupe devait se mettre en mouvement, il userait d'autant plus son ouïe que son odorat. Les sons pouvaient être un bon moyen d'entendre si une embuscade se dessinait autour de leurs personnes.
La femme se présentait sous le nom de Xera, exerçant le métier noble d'herboriste dans un petit village jonchent le côté sud de la capitale républicaine. Ses compétences, après demande de Tsunami pour mieux cerner le groupe l'accompagnant dans cette aventure, il conclut que sa survie était très nécessaire au groupe. De plus que le chevalier nommé Tadlos, qui était flamboyant par son armure, d'autant plus par son flot oratoire digne du titre qu'il portait. Enfin, si c'était vraiment toute la vérité, l'orc n'étant pas un connaisseur des lignées nobles.
En parlant de savoir, l'exubérant personnage ne cacha pas son ignorance du groupe dont le combattant faisait partie. Il se permit de corriger ce manque.
"Les limiers du Razkaal sont connus de nom, mais pas de visage. D'où le masque. Et nous sommes souvent dépêchés pour régler des cas majeurs de criminalité. Je ne peux pas vous en dire plus, car tout le reste est confidentiel." Il commença à prendre sa marche, s'arrêtant juste devant le panneau indiquant la dangerosité de l'endroit qui s'y trouvait derrière. "Pour ce qui est de votre idée à mon égard, laissez-moi juste quelques secondes."
Il s'agenouille devant l'objet boisé, ferma les yeux, et inspira longuement sans saccade l'air ambiant, en cherchant au plus loin de son pouvoir, une trace spécifique des braconniers. Ce qui le frappa en premier lieu, était une odeur forte chargée et typique d'un reste de leurs actions : l'odeur de la pourriture cadavérique. Le gaz typique du relâchement d'un corps mort en plein air. Le souci n'était pas que la distance, mais ce qui pouvait rôder autour : carnivores, charognards, et autres insectes nécrophages.
Aux yeux extérieurs, on croirait qu'il s'est simplement posté devant la pancarte sommaire, avant qu'il se relève, pour faire part de son observation.
"Dans cette direction est une des preuves possibles de la présence de braconniers. Je vous le donne pas en mille, mais c'est un cadavre de quelqu'un ou quelque chose que j'ai détecté. Si Xera possède quelque chose de plus concret, partons dessus Pour l'heure, ma piste est envisageable."
Il imposait sans trop forcer sa chance. Là était sa première observation, et si le groupe devait se mettre en mouvement, il userait d'autant plus son ouïe que son odorat. Les sons pouvaient être un bon moyen d'entendre si une embuscade se dessinait autour de leurs personnes.
Citoyen de La République
Xera
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L’armure ambulante mais aux mœurs chevaleresques se présenta sous le nom de Tadlos Onc’nnui et affirma faire partie d’un ordre de chevalerie dont le nom était inconnu de la demi-fae, qui de toute façon ne s’y connaissait pas en ordre de chevalerie.
- je n’ai pas encore suffisamment développé mon lien avec la nature pour interagir avec le monde végétal via ma mana, mais comme je peux voler, je pensais plus utiliser mes ailes pour “sauter” de branche en branche ou bien pour m’éviter de rencontrer de manière trop brutale le sol si jamais je me ratais dans ma tentative d’escalade.
Le chevalier de la Phalange Nocturne pouvait fouiller le passé d’une zone, il devait être capable de “lire” les énergies rémanentes de lieux. La rousse avait déjà entendu parler de cette capacité. Elle avait entendu des étudiants ou des professeurs de Magic parlé du pouvoir de la psychomancie ou quelque chose comme ça.
- je ne connais pas cette forêt et la faune locale ne me connais pas, donc oui potentiellement, je vais pouvoir obtenir des informations de la faune locale, mais encore faut il que cette dernière soit disposé à communiquer. Plus concrètement dans un premier temps, je vais pouvoir écouter les alertes que les animaux lancent en cas d’intrus ou de danger. La meilleure méthode consiste à se placer dans un lieu et à se faire oublier en ne faisant pas de bruit et à écouter. La forêt a beaucoup à dire à ceux qui savent l’écouter. Cela prendra du temps.
Le limier s’est présenté sous le nom de Tsunami et ce dernier explique au chevalier ce qu’il est, et ne lui délivre pas vraiment plus que ce que savent déjà les populations de la république. Tadlos avait mentionné le fait qu’il dépendait de ses camarades pour lui trouver des pistes de lieux où il pourrait faire usage de sa capacité à “lire” le passé. D'après ce qu’il avait dit cela lui requiert une grande quantité de mana et qu’il ne pouvait donc le faire pour tester chaque branche, chaque caillou rencontré.
Tsunami en réponse s’agenouille devant le panneau de bois indiquant un danger et semble se concentrer en fermant ses yeux et inspire profondément et de manière régulière. Xera a déjà vu son père faire de même, et comprend qu’il doit utiliser son odorat à la recherche d’indices. Quand il se relève enfin et fait part de ses découvertes, il leur apprend qu’il y a un cadavre dans cette direction.
- Je n’ai rien de mieux à proposer pour le moment, de plus dans cette direction le terrain est plus dégagé et monte, cela rejoint mon idée de prendre de la hauteur. Il sera plus facile pour moi avec un couvert végétal moins dense de voler en hauteur. Mais commençons par avancer prudemment, un cadavre génère toujours pas mal d’activité.
Xera n’ose pas parler de l’éventualité que le cadavre soit celui de la Dame, mais certainement que tous y ont pensé ou du moins que l’idée leurs ai caressé l’esprit.
réponse 2
Noble de La République
Neera Storm
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PA – Il faut retrouver la Dame
Tour 3
Ainsi en avez-vous décidé. Confiant en l’odorat de Tsunami, vous voilà prêt à sortir des sentiers battus, à passer le panneau qui vous avertit d’un danger, et à vous aventurer dans les méandres de la réserve. Ce côté est étrangement plus dégagé, et cela permet au soleil de davantage illuminer les lieux, comme si cela permettait d’apporter un souffle d’air frais à la forêt. D’ailleurs, Xera peut allègrement déployer ses ailes : les arbres sont encore présents et s’élèvent à plusieurs dizaines de mètres de hauteur, mais on est loin d’une végétation étouffante pendant que vous gravissez cette maudite pente.
Cette luminosité bienvenue cesse aussitôt lorsque vous arrivez au sommet de l’inclination, un à deux kilomètres plus loin. Devant vous, se trouve un ravin qu’il est possible de descendre avec prudence. Vous vous retrouvez alors dans un autre-sous-bois plus sombre et obscur, où les végétaux sont beaucoup plus touffus, comme si quelqu’un avait décidé de remodeler les environs à son image. Tel un peintre qui s’est amusé à créer un décor sombre et étouffant, vous remarquez vite que des ronces dominent les sous-bois et que les troncs et les branches imposantes font de nouveau obstacle au soleil. Des arbres bienheureux vous accueillent avec un sourire triste et forcés, comme s’ils avaient été déplacés là contre leur gré. La pénombre vous recouvre comme à l’arrivée dans la réserve, sauf que désormais, l’odeur de mort est forte, presque omniprésente. Elle assaille les sens de Khalez, qui n’a même plus besoin d’utiliser ses compétences pour savoir qu’il est proche d'un ou de plusieurs cadavres. Peut-être remarquerez-vous aussi qu’il n’y a aucun chant, aucun bruit : la forêt semble retenir son souffle et seul le bruit de vos pas peuvent se faire entendre sur la terre humide.
Vous n’avez pas à aller loin pour faire une macabre découverte. A peine descendu dans le ravin qu’un élément nouveau vous saute aux yeux. Un détail qui a toute son importance, vu ce que vous a dit votre ami nain. Il n'y a point d'esprit sylvestre en ces lieux, selon lui, mais il a été suffisamment sage pour vous parler des chasseurs qui règnent illégalement sur la réserve. Or, vous avez là un campement. Un campement de braconnier, juste à l’entrée d’une grotte. Un feu depuis longtemps éteint, quelques armes de à droite à gauche, un coffre taillé grossièrement et raccommodé par des ficelles témoignent de leurs activités. Dans un coin, des cadavres d’animaux semblent avoir été posés là pour être disséqués, mais étonnamment, ils ne semblent pas avoir été traités par les malandrins. Pis, ils dégagent une odeur d’azote et de pourriture, et le camp lui-même semble ne plus avoir été fréquenté depuis pas mal de temps.
Le silence règne et vous ne voyez aucune lumière en inspectant l’entrée sombre de la grotte. Malgré vos sens exacerbés et toute votre bonne volonté, vous n’entendez aucune voix humaine à l’intérieur du réseau souterrain. Mais peut-être que les hommes sont plus à l’intérieur ? Peut-être encore sont-ils partis dans un autre coin de la réserve ?
Le trio n’a pas le temps de prendre une décision qu’un volatile émerge brusquement des horizons. Son vol contraste étonnamment avec le silence tendu des environs, aussi il est impossible qu'il échappe à votre vigilance. Curieux en vous voyant, le perroquet aux couleurs grises et rouges vient s’arrêter sur l’une des branches d’un arbre, à quelques de distance. Il tourne la tête d’un air interrogateur comme s’il avait affaire à de curieux énergumènes. Puis, il se penche en avant, déploie ses ailes comme dans une attitude moqueuse et déclare :
- Idiots ! Abrutis ! Benêts ! Nigauds ! Crétins ! Vous allez mourir !
Bien à l’abri, l’orgueilleux animal ne semble pas vous craindre et semble attendre une réaction de votre part. Si vous inspectez le campement, il vous suit du regard, mais si vous vous approchez, ou que vous discutez ensemble, il continue son observation, en lissant parfois quelqu’un de ses plumes comme si cela ne le concernait pas. Bientôt, peu importe vos réactions, il reprend d’une voix presque nasillarde :
- Si vous voulez survivre, il vous faut fuir !
Comme pour confirmer ses propos, Xera sent un étrange liquide tomber sur son épaule gauche, et sans crier gare, le volatile s’envole pour disparaître dans les frondaisons végétales.
En levant la tête, la belle rousse s’apercevra qu’un Géomi se trouve au-dessus d’elle, et ma foi, il semble passer qu’elle fera un excellent repas pour son vorace estomac.
- Notes du MJ:
- J’ai hésité à attendre encore un tour… Mais je me suis permise de faire avancer un peu les choses
Vous pouvez :
- Voler pendant que vous marchez jusqu’au ravin
- Dialoguer avec le perroquet (je vous donnerai ses réponses sur discord ou dans mon prochain post)
- Inspecter le campement
- Combattre le Géomi
- Fuir dans la grotte
- Faire demi-tour en remontant le ravin et en revenant à votre point de départ (si vous êtes assez rapides…)
- Me faire part d’autres idées qui ne me sont pas venues à l’esprit jusqu’à présent.
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Le sire masqué appartenait donc à un ordre confidentiel de la République ? Et les bêtes pouvaient être difficiles à la discussion ? Fascinant ! Que de secrets et de complexité, ho ! Je suivis mes camarades avec entrain - quoique le mystérieux Tsunami, au nom aussi secret que son groupe, ait eu un geste me laissant perplexe... Avant que je ne me rappelle ! Les odeurs ! Il avait inspiré pour sentir ! J'oubliais que les vivants pouvaient faire cela -, passant le redoutable panneau et nous enfonçant davantage dans le territoire sauvage, notre 'limier' suivant sa piste, dont j'étais parfaitement ignorant. Eh oui, que voulez-vous ! Bandez-moi les yeux et mettez-moi face à la plus purulente des carcasses, et je vous dirais que cela sent le lilas pour vous faire plaisir, faute d'avoir le moindre odorat ? Du moins pouvais-je voir tout à fait, et ne manquait rien du camp désert, de la grotte et des carcasses abandonnées, envahies de mouches et d'asticots. Et j'eus tout juste le temps de m'esbaudir devant la fameuse éloquence du volatile que celui-ci s'enfuit et qu'un geste brusque de Dame Xera attira mon regard. Parbleu, une bête ! Faite de chitine et de pléthore de longues pattes velues, surplombée d'un myriade de mirettes obscurs ! Au dessus de notre guérisseuse ! AH, SACREBLEU !
Je n'étais point vif archer ou rapide lanceur de couteaux - quoiqu'il m'arrivait de faire quelques pointes, pensais-je après coup - et, dans l'instant d'urgence, la première idée qui me vint me fit aspirer gloutonnement du mana pour former un sort en moins de deux. Mes compagnons n'en virent rien mais, ah ! La vile créature hurla - infâme cri strident que celui-la - et remonta prestement sa toile au milieu des arbres gigantesques, comme effrayée par quelque chose. Fichtre, si elle avait eu l'amabilité de fuir plus loin... Mais le plus important était là, et j'appelais aussitôt en esprit la demoiselle - tout en incluant le limier, qu'il comprenne quelque chose à la situation... Et puis, la politesse est un élément essentiel à AH ! - mais nous sommes en plein dans une situation périlleuse, ce n'est point l'heure des leçons de bienséance ! - :
"Dame Xera repliez-vous ! La créature vous voit grande comme une géante, voilà pourquoi elle fuit ! Mais je ne resterais pas près de l'arbre où elle a trouvé refuge, si j'étais vous. expliquais-je prestement. Messire Limier, auriez-vous quelques suggestions quant à la stratégie à adopter face à une créature de cet acabit ? Car je gage qu'elle redescendra vite, sitôt l'illusion dissipée. Oh... Venue de je ne sais où, une idée se fraya un passage dans mon élocution : Dame Xera, croyez-vous que votre statut de géante vous rendrait une interlocutrice acceptable pour la créature ?"
Je sortis ma lame, prêt à recevoir l'insectoïde géant, à présent que la dame était en sécurité, sitôt que l'infâme reparaîtrait... Quand mon illusion m'échapperait, ou que je jugerai bon de la dissiper.
Je n'étais point vif archer ou rapide lanceur de couteaux - quoiqu'il m'arrivait de faire quelques pointes, pensais-je après coup - et, dans l'instant d'urgence, la première idée qui me vint me fit aspirer gloutonnement du mana pour former un sort en moins de deux. Mes compagnons n'en virent rien mais, ah ! La vile créature hurla - infâme cri strident que celui-la - et remonta prestement sa toile au milieu des arbres gigantesques, comme effrayée par quelque chose. Fichtre, si elle avait eu l'amabilité de fuir plus loin... Mais le plus important était là, et j'appelais aussitôt en esprit la demoiselle - tout en incluant le limier, qu'il comprenne quelque chose à la situation... Et puis, la politesse est un élément essentiel à AH ! - mais nous sommes en plein dans une situation périlleuse, ce n'est point l'heure des leçons de bienséance ! - :
"Dame Xera repliez-vous ! La créature vous voit grande comme une géante, voilà pourquoi elle fuit ! Mais je ne resterais pas près de l'arbre où elle a trouvé refuge, si j'étais vous. expliquais-je prestement. Messire Limier, auriez-vous quelques suggestions quant à la stratégie à adopter face à une créature de cet acabit ? Car je gage qu'elle redescendra vite, sitôt l'illusion dissipée. Oh... Venue de je ne sais où, une idée se fraya un passage dans mon élocution : Dame Xera, croyez-vous que votre statut de géante vous rendrait une interlocutrice acceptable pour la créature ?"
Je sortis ma lame, prêt à recevoir l'insectoïde géant, à présent que la dame était en sécurité, sitôt que l'infâme reparaîtrait... Quand mon illusion m'échapperait, ou que je jugerai bon de la dissiper.
- Utilisation de pouvoir:
- Tadlos utilise Illusion P2 pour faire voir au Géomis une Xera géante, et lui faire peur.
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Le groupe semblait faire confiance à la capacité que possédait le limier à sentir les odeurs précises qui lui paraissaient étranges. En tout cas, l'odeur de la mort dans une réserve était commune, la loi de la chaîne alimentaire devait régir malgré tout sans l'intervention extérieure. Seulement, peut-être une observation, une surveillance par de fervents défenseurs de la nature devait s'opérer. Enfin, c'était là une idée possible parmi tant d'autres.
Le sol plat laissa donc à une pente ascendante, quoi de mieux que de faire travailler le corps et permettre aux muscles de s'échauffer, au risque d'un faux mouvement à une réaction rapide d'agression hostile et sauvage. Chacun s'occupait à sa façon, car Khalez gardait en mémoire les fragrances qui se faisaient de plus en plus odorantes, tandis qu'au pic de la montée, l'environnement vint à changer.
Moins d'espace et de lumière, l'endroit parfait pour des escarmouches et embuscades. Ils avaient affaire à des pros dans leur domaine. Et cette remarque restait en tête durant la suite de leur déplacement, avant d'arriver devant une scène dérangeante : un campement certes de braconniers, mais vide. Délaissé. La seule preuve vivante, était ce qui avait embaumé les narines de l'orc. Des carcasses et cadavres de mammifères et animaux en tout genre étaient disposés dans un amoncellement macabre. Cela pouvait choquer ceux qui n’étaient pas habitués à observer ce spectacle charnier.
De plus, la cavité rocheuse ne présentait qu’une insondable ténèbres à la vue du combattant. Tous ces inconnus de paramètres venaient à lentement et doucement réveiller une plus grande méfiance. De sa main, il dégaina son fauchon et commença à investiguer les lieux.
“Prenez garde. Cet endroit me dit rien.”
Parmi les débris, il ne découvrit que quelques armes factices, éparpillées et laissées sur le sol. C’était à cet instant qu’un volatile se manifesta, un perroquet qui plus était. De son plus profond être, Khalez commençait à développer une aversion pour cette faune précise. Il avait un désagréable souvenir du moment passé. Faisant fi de l’oiseau, il chercha encore plus dans les restes des produits manufacturés. Ce n’étaient pas les insultes qui le sortirent de sa fouille, mais les dernières paroles, à savoir la survie par la fuite.
Un lourd bruit retentit dans ce silence, et un cri des plus inhabituels déchira l’ambiance. Une araignée énorme se trouvait à leur regard, et particulièrement au-dessus de Xera. Se ruant vers sa position de sa vélocité, il tira en arrière la femme, avant de se préparer à l’attaque surprise de l’insecte, quitte à durcir le point d’impact pour éviter que ses crochets remplis d’un venin inconnu vienne percuter sa peau verte.
“C’est une bête. C’est tuer ou être tué. Je ne jouerais pas la carte de l’amitié avec des créatures de ce genre.”
Enfin, si l’idée qu’avait Tadlos avec la soigneuse pouvait s’appliquer, pourquoi pas. Mais aux yeux du guerrier, un être si primitif ne pouvait penser qu’à des besoins primaires.
Seul l’avenir de la confrontation nous dira si le groupe survit à l’ennemi. Pour l’heure, il fallait rester aux aguets, et réagir à la moindre agression.
Le sol plat laissa donc à une pente ascendante, quoi de mieux que de faire travailler le corps et permettre aux muscles de s'échauffer, au risque d'un faux mouvement à une réaction rapide d'agression hostile et sauvage. Chacun s'occupait à sa façon, car Khalez gardait en mémoire les fragrances qui se faisaient de plus en plus odorantes, tandis qu'au pic de la montée, l'environnement vint à changer.
Moins d'espace et de lumière, l'endroit parfait pour des escarmouches et embuscades. Ils avaient affaire à des pros dans leur domaine. Et cette remarque restait en tête durant la suite de leur déplacement, avant d'arriver devant une scène dérangeante : un campement certes de braconniers, mais vide. Délaissé. La seule preuve vivante, était ce qui avait embaumé les narines de l'orc. Des carcasses et cadavres de mammifères et animaux en tout genre étaient disposés dans un amoncellement macabre. Cela pouvait choquer ceux qui n’étaient pas habitués à observer ce spectacle charnier.
De plus, la cavité rocheuse ne présentait qu’une insondable ténèbres à la vue du combattant. Tous ces inconnus de paramètres venaient à lentement et doucement réveiller une plus grande méfiance. De sa main, il dégaina son fauchon et commença à investiguer les lieux.
“Prenez garde. Cet endroit me dit rien.”
Parmi les débris, il ne découvrit que quelques armes factices, éparpillées et laissées sur le sol. C’était à cet instant qu’un volatile se manifesta, un perroquet qui plus était. De son plus profond être, Khalez commençait à développer une aversion pour cette faune précise. Il avait un désagréable souvenir du moment passé. Faisant fi de l’oiseau, il chercha encore plus dans les restes des produits manufacturés. Ce n’étaient pas les insultes qui le sortirent de sa fouille, mais les dernières paroles, à savoir la survie par la fuite.
Un lourd bruit retentit dans ce silence, et un cri des plus inhabituels déchira l’ambiance. Une araignée énorme se trouvait à leur regard, et particulièrement au-dessus de Xera. Se ruant vers sa position de sa vélocité, il tira en arrière la femme, avant de se préparer à l’attaque surprise de l’insecte, quitte à durcir le point d’impact pour éviter que ses crochets remplis d’un venin inconnu vienne percuter sa peau verte.
“C’est une bête. C’est tuer ou être tué. Je ne jouerais pas la carte de l’amitié avec des créatures de ce genre.”
Enfin, si l’idée qu’avait Tadlos avec la soigneuse pouvait s’appliquer, pourquoi pas. Mais aux yeux du guerrier, un être si primitif ne pouvait penser qu’à des besoins primaires.
Seul l’avenir de la confrontation nous dira si le groupe survit à l’ennemi. Pour l’heure, il fallait rester aux aguets, et réagir à la moindre agression.
- Utilisations des pouvoirs de Khalez:
- Super vitesse p1 : 1
Renforcement de la constitution physique p1 : 1
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Xera
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En commençant l'ascension de la pente, la demi-fae remarque que la végétation est plus adaptée au vol, mais Xera prudente préfère rester au sol entouré de ses deux compagnons. La pente est rude malgré tout, la rousse ne rechigne pas, habituée à se déplacer dans la grande forêt au sud-ouest de Liberty. Pendant leur progression, l’herboriste reste attentive à la présence éventuelle de végétaux et de champignons comestibles. Elle possède bien une réserve de fruit sec dans sa besace, mais cela ne sera pas suffisant pour nourrir tout le monde.
Quand le trio arrive au sommet de la pente, c’est pour découvrir en contrebas d’un ravin abrupt un sous-bois noyé dans les ténèbres. La descente est un peu ardue, mais chaque membre de leur expédition, bien que venant, tous d'horizons différents, surmonte cette nouvelle épreuve sans heurts. Une fois arrivé en bas, leur progression est difficile au vu de la densité de la végétation présente dans ce sous-bois. Les troncs et les branches des arbres sont massifs, bloquant les rayons du soleil, les ronces sont aussi bien présentes un peu comme leur début dans la réserve, mais à présent tous ceux inhalant de l’air peuvent sentir l’odeur de décomposition qui flotte dans l’air.
Le plus inquiétant pour Xera, c’est l’absence de bruits caractéristique de la vie en forêt, aucun chant d’oiseaux, pas même un bruissement d’ailes ni même une pattes qui gratte le sol à la recherche de nourriture. C’est dans ce silence de mort qu’ils découvrent un campement de braconniers à l’abandon placé devant la bouche béante de l’entrée d’une grotte. De toute évidence, personne ne réside ici depuis un bon moment, mais certains détails dénotent. Il y a quelques armes éparpillées, ainsi diverses affaires laissées là à l’abandon et surtout l’origine de l’odeur pestilentielle qui règne ici, la pile des victimes des braconniers. Le plus étrange, c’est que les carcasses n’ont pas été touchées, comme si les vils brigands avaient disparu en un claquement de doigts.
Aucun son ne provient des ténèbres de la grotte, même le limier avec ses sens exacerbé ne perçoit rien en provenance des entrailles de la terre, soudain le trio tourne la tête dans la même direction. Sous leur regard ébahi, un oiseau au plumage coloré vient se poser sur une branche d’un arbre entourant le campement. Le perroquet semble les observer avant de déployer ses ailes et de les invectiver.
Xera fait signe à ses compagnons de la laisser s’approcher seul de l’oiseau à la langue bien pendue, elle avance lentement en fouillant dans sa besace pour en extraire quelques fruits secs. Elle lui tend ensuite au creux de sa main son offrande et s’adresse à lui d’une voix douce.
- Et bien l’ami, peut-être, pourras-tu éclairer nos lanternes, sais tu ce qui est arrivé aux sales braconniers qui utilisaient ce campement, bien que cela ne soit pas notre objectif principal. J’ai d’autres fruits secs dans ma besace, si tu acceptes de nous expliquer ce qui se passe dans le coin et encore plus si tu veux bien nous servir de guide.
Bon an mal an Xera entame donc une conversation avec le perroquet, mais soudain ce dernier leur lance un avertissement avant de disparaître d’un battement d’aile. La rousse sent alors quelque chose de poisseux tomber sur son épaule, en levant les yeux elle découvre une Géomi au-dessus d’elle. Le limier se déplaça à une vitesse surnaturelle et la tira en arrière, alors qu’elle sentit une onde de peur émaner de l'araignée géante. La voix du chevalier qui résonna dans sa tête donna l’explication du phénomène, il avait créé une illusion pour persuader la créature que l’herboriste était une géante. Xera ne perd pas de temps à évaluer la distance et concentre sa mana pour tenter d’amplifier la peur de l'araignée géante tout en faisant appel à la magie de la terre pour se défendre. La peau de la rousse se recouvre d’une sorte de peau de pierre.
- Prenez garde à ses toiles, elles sont quasiment invisibles et une Géomi peut en cacher une autre !
réponse 3
Quand le trio arrive au sommet de la pente, c’est pour découvrir en contrebas d’un ravin abrupt un sous-bois noyé dans les ténèbres. La descente est un peu ardue, mais chaque membre de leur expédition, bien que venant, tous d'horizons différents, surmonte cette nouvelle épreuve sans heurts. Une fois arrivé en bas, leur progression est difficile au vu de la densité de la végétation présente dans ce sous-bois. Les troncs et les branches des arbres sont massifs, bloquant les rayons du soleil, les ronces sont aussi bien présentes un peu comme leur début dans la réserve, mais à présent tous ceux inhalant de l’air peuvent sentir l’odeur de décomposition qui flotte dans l’air.
Le plus inquiétant pour Xera, c’est l’absence de bruits caractéristique de la vie en forêt, aucun chant d’oiseaux, pas même un bruissement d’ailes ni même une pattes qui gratte le sol à la recherche de nourriture. C’est dans ce silence de mort qu’ils découvrent un campement de braconniers à l’abandon placé devant la bouche béante de l’entrée d’une grotte. De toute évidence, personne ne réside ici depuis un bon moment, mais certains détails dénotent. Il y a quelques armes éparpillées, ainsi diverses affaires laissées là à l’abandon et surtout l’origine de l’odeur pestilentielle qui règne ici, la pile des victimes des braconniers. Le plus étrange, c’est que les carcasses n’ont pas été touchées, comme si les vils brigands avaient disparu en un claquement de doigts.
Aucun son ne provient des ténèbres de la grotte, même le limier avec ses sens exacerbé ne perçoit rien en provenance des entrailles de la terre, soudain le trio tourne la tête dans la même direction. Sous leur regard ébahi, un oiseau au plumage coloré vient se poser sur une branche d’un arbre entourant le campement. Le perroquet semble les observer avant de déployer ses ailes et de les invectiver.
Xera fait signe à ses compagnons de la laisser s’approcher seul de l’oiseau à la langue bien pendue, elle avance lentement en fouillant dans sa besace pour en extraire quelques fruits secs. Elle lui tend ensuite au creux de sa main son offrande et s’adresse à lui d’une voix douce.
- Et bien l’ami, peut-être, pourras-tu éclairer nos lanternes, sais tu ce qui est arrivé aux sales braconniers qui utilisaient ce campement, bien que cela ne soit pas notre objectif principal. J’ai d’autres fruits secs dans ma besace, si tu acceptes de nous expliquer ce qui se passe dans le coin et encore plus si tu veux bien nous servir de guide.
Bon an mal an Xera entame donc une conversation avec le perroquet, mais soudain ce dernier leur lance un avertissement avant de disparaître d’un battement d’aile. La rousse sent alors quelque chose de poisseux tomber sur son épaule, en levant les yeux elle découvre une Géomi au-dessus d’elle. Le limier se déplaça à une vitesse surnaturelle et la tira en arrière, alors qu’elle sentit une onde de peur émaner de l'araignée géante. La voix du chevalier qui résonna dans sa tête donna l’explication du phénomène, il avait créé une illusion pour persuader la créature que l’herboriste était une géante. Xera ne perd pas de temps à évaluer la distance et concentre sa mana pour tenter d’amplifier la peur de l'araignée géante tout en faisant appel à la magie de la terre pour se défendre. La peau de la rousse se recouvre d’une sorte de peau de pierre.
- Prenez garde à ses toiles, elles sont quasiment invisibles et une Géomi peut en cacher une autre !
réponse 3
- Utilisation des pouvoirs de Xera:
Contrôle des émotions P1
Magie de la terre P2, Xera lance peau de pierre sur elle.
Noble de La République
Neera Storm
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crédits : 852
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Info personnage
Race: Demi-titan
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique bon
Rang: B
PA – Il faut retrouver la Dame
Tour 4
Khalez a raison de prévenir ses camarades que quelque chose ne tourne pas rond dans cet endroit. Ce n’est pas seulement à cause du camp de braconniers vide qu’on peut ressentir un malaise. Ce n’est pas non plus à cause des carcasses moisies qu’on a envie de fuir – quoique l’odeur ne laisse certainement pas indifférents le trio de voyageurs. Comme l’a remarqué Xera, il n’y a aucun signe de vie, et les arbres feuillus, l’obscurité ambiante, le silence oppressant sont autant des avertissements aux envoyés de Magic. « Faites demi-tour » vous semble murmurer la forêt. Même le perroquet qui arrive à l’improviste vous envoie un funeste message. Surveillant l’herboriste du regard alors qu’elle s’approche de lui, le volatile semble remettre une de ses plumes à sa place lorsque la belle Républicaine vient à sa rencontre. Il ne semble pas pour autant farouche, puisqu’il la laisse approcher, et lorsqu’elle lui tend des fruits secs, il penche la tête sur le côté. Se demande-t-il s’il doit répondre à cette étrangère ? Ou bien s’il doit prendre cette nourriture providentielle ? L’animal finit par faire son choix et ne bouge pas ; par contre, il rouvre la bouche pour parler à la demi-fae.
- Attrapés ! Dévorés ! Les imbéciles ont été dormir et se sont fait mangés ! Il ne faut pas provoquer la Dame ! Elle prend soin de nous et s’occupe des crétins, des imbéciles, des larves sans intelligence !
L’animal écoute encore l’aventurière lui proposer de les guider, et le perroquet gris et rose s’apprête encore à répondre quand un bruit l’alerte et le fait brusquement s’envoler dans les méandres de la forêt. C’est qu’un géomi à repérer le petit groupe, et semble vouloir en faire son festin, mais heureusement, la demoiselle a deux bons gardes du corps. La rapidité de Khalez, d’abord, empêche la jeune femme d’être prise pour cible, et le limier se crée aussitôt une défense suffisante pour ne pas être vulnérable face au venin de la bête. L’illusion de Tadlos, ensuite, ainsi que le contrôle des émotions de Xera, pousse la créature à se replier, mais ce n’est pas pour lui plaire, oh, non. De tels monstres ne renoncent pas à un tel repas si facilement. Alors, elle recommence à crier. Un cri strident, cette fois, qui se répand à travers le sous-bois de la forêt. Au début, rien ne se passe, le calme semble de mise, mais divers bruits au-dessus de vos têtes vous poussent à lever les yeux vers les frondaisons végétales.
Y en a-t-il un ? Deux ? Cinq ? Plus ? Le plus observateur d’entre vous pourront affirmer qu’il n’y en a pas plus de dix, mais vous avez quand même affaire à une meute de géomis. Les bêtes ont tissé leurs toiles en hauteur, et vous pouvez d’ailleurs remarquer d’étranges cocons qui ont des silhouettent humaines. C’est là que les monstres semblent stocker leurs repas, mais apparemment, ils sont gourmands et sont bien déterminés à vous prendre en chasse.
Vos options sont réduites. Vous pourriez avancer dans l’obscur sous-bois mais… L’avertissement de Xera résonne dans vos têtes, et il se peut très bien que vous vous retrouviez coincés par les fils argentés des araignées. Alors l’option la plus sûre, c’est de se replier dans la grotte. Les monstres ne semblent pas y avoir fait leurs repères puisqu’ils sont tous à l’extérieur. Et s’aventurer dans le réseau souterrain aura l’avantage de réduire le nombre de vos poursuivants, puisque certains arachnides sont trop imposants pour s’aventurer dans les galeries. Les plus jeunes, cependant, auront assez de fougue pour vous courir après. Mais c’est toujours mieux que rien. Vous en conviendrez, n’est-ce pas ?
Un long couloir, qui descend dans les entrailles de la terre, se profile devant vous. Il n’est pas très large, deux à trois personnes peuvent s’y déplacer en même temps, et compte-tenu de vos poursuivants, c’est tout à votre avantage. Heureusement, vous n’êtes pas plongés non plus dans le noir absolu. Les braconniers ont en leur temps su voler des cristaux magiques, et ils ont disposé ceux-ci à distance régulière dans le tunnel qui mène à leur repère. Ca ne remplace pas la lumière du jour, mais ça vous permet de voir où vous allez, sans marcher totalement à l’aveuglette.
Vous avez une petite avance, car les arachnides adultes ont essayé de vous attraper en premier et ont par conséquent bouché l’entrée du tunnel. Les jeunes ont dès lors mis plus de temps à pénétrer dans le réseau souterrain, mais vous les entendez derrière vous, le bruit de leurs pattes résonne dans le couloir que vous avez abandonné à l’instant. Désormais, vous êtes arrivés dans une grande salle ronde, au plafond très élevé. Peut-être est-ce dû au fait que vous êtes descendus en courant pendant dix, ou peut-être vingt minutes. L’air est plus frais, et vous le sentez bien, mais ce qui saute à vos yeux, c’est le reste du campement de braconnier.
A gauche sont stockées les peaux, les morceaux en cuir, et tous les produits de leur chasse, ce compris des dagues, des lances, des flèches, des cordes, et d’autres pièges issus de leur activités illégales. Vous pouvez apercevoir également des peaux d’ours, de béhémots ou des cornes de rindo. A droite, vous remarquez quelques réserves de vivre, ainsi que deux gros barils d’huile, dont l’un est à moitié vide. Une deuxième salle, plus petite, contient quelques couchettes. C’est assurément là que les chasseurs se reposaient. Mais le plus intéressant, c’est le fond de la salle. Pour une double raison. La première, c’est qu’une grande table y est entreposée. Il n’y a pas de victuailles posées dessus, mais un chandelier éteint, une carte, ainsi qu’un journal usé et un coffre à gauche de la table. Le deuxième élément qui attire votre attention, c’est que non loin de ce bureau de fortune, se trouve une grande échelle… qui mène à un couloir plus en hauteur. Peut-être une sortie ? Qui sait où cela vous mènera dans la réserve faunique…
Le fait est que vous avez des géomis aux trousses et vous avez peu le temps de réagir. Privilégierez-vous la fuite ? Utiliseriez-vous les pièges de braconniers ? Ou vous concentrerez-vous sur les informations que ces derniers ont éventuellement pu grapiller ?
CENDRES
- Attrapés ! Dévorés ! Les imbéciles ont été dormir et se sont fait mangés ! Il ne faut pas provoquer la Dame ! Elle prend soin de nous et s’occupe des crétins, des imbéciles, des larves sans intelligence !
L’animal écoute encore l’aventurière lui proposer de les guider, et le perroquet gris et rose s’apprête encore à répondre quand un bruit l’alerte et le fait brusquement s’envoler dans les méandres de la forêt. C’est qu’un géomi à repérer le petit groupe, et semble vouloir en faire son festin, mais heureusement, la demoiselle a deux bons gardes du corps. La rapidité de Khalez, d’abord, empêche la jeune femme d’être prise pour cible, et le limier se crée aussitôt une défense suffisante pour ne pas être vulnérable face au venin de la bête. L’illusion de Tadlos, ensuite, ainsi que le contrôle des émotions de Xera, pousse la créature à se replier, mais ce n’est pas pour lui plaire, oh, non. De tels monstres ne renoncent pas à un tel repas si facilement. Alors, elle recommence à crier. Un cri strident, cette fois, qui se répand à travers le sous-bois de la forêt. Au début, rien ne se passe, le calme semble de mise, mais divers bruits au-dessus de vos têtes vous poussent à lever les yeux vers les frondaisons végétales.
Y en a-t-il un ? Deux ? Cinq ? Plus ? Le plus observateur d’entre vous pourront affirmer qu’il n’y en a pas plus de dix, mais vous avez quand même affaire à une meute de géomis. Les bêtes ont tissé leurs toiles en hauteur, et vous pouvez d’ailleurs remarquer d’étranges cocons qui ont des silhouettent humaines. C’est là que les monstres semblent stocker leurs repas, mais apparemment, ils sont gourmands et sont bien déterminés à vous prendre en chasse.
Vos options sont réduites. Vous pourriez avancer dans l’obscur sous-bois mais… L’avertissement de Xera résonne dans vos têtes, et il se peut très bien que vous vous retrouviez coincés par les fils argentés des araignées. Alors l’option la plus sûre, c’est de se replier dans la grotte. Les monstres ne semblent pas y avoir fait leurs repères puisqu’ils sont tous à l’extérieur. Et s’aventurer dans le réseau souterrain aura l’avantage de réduire le nombre de vos poursuivants, puisque certains arachnides sont trop imposants pour s’aventurer dans les galeries. Les plus jeunes, cependant, auront assez de fougue pour vous courir après. Mais c’est toujours mieux que rien. Vous en conviendrez, n’est-ce pas ?
Un long couloir, qui descend dans les entrailles de la terre, se profile devant vous. Il n’est pas très large, deux à trois personnes peuvent s’y déplacer en même temps, et compte-tenu de vos poursuivants, c’est tout à votre avantage. Heureusement, vous n’êtes pas plongés non plus dans le noir absolu. Les braconniers ont en leur temps su voler des cristaux magiques, et ils ont disposé ceux-ci à distance régulière dans le tunnel qui mène à leur repère. Ca ne remplace pas la lumière du jour, mais ça vous permet de voir où vous allez, sans marcher totalement à l’aveuglette.
Vous avez une petite avance, car les arachnides adultes ont essayé de vous attraper en premier et ont par conséquent bouché l’entrée du tunnel. Les jeunes ont dès lors mis plus de temps à pénétrer dans le réseau souterrain, mais vous les entendez derrière vous, le bruit de leurs pattes résonne dans le couloir que vous avez abandonné à l’instant. Désormais, vous êtes arrivés dans une grande salle ronde, au plafond très élevé. Peut-être est-ce dû au fait que vous êtes descendus en courant pendant dix, ou peut-être vingt minutes. L’air est plus frais, et vous le sentez bien, mais ce qui saute à vos yeux, c’est le reste du campement de braconnier.
A gauche sont stockées les peaux, les morceaux en cuir, et tous les produits de leur chasse, ce compris des dagues, des lances, des flèches, des cordes, et d’autres pièges issus de leur activités illégales. Vous pouvez apercevoir également des peaux d’ours, de béhémots ou des cornes de rindo. A droite, vous remarquez quelques réserves de vivre, ainsi que deux gros barils d’huile, dont l’un est à moitié vide. Une deuxième salle, plus petite, contient quelques couchettes. C’est assurément là que les chasseurs se reposaient. Mais le plus intéressant, c’est le fond de la salle. Pour une double raison. La première, c’est qu’une grande table y est entreposée. Il n’y a pas de victuailles posées dessus, mais un chandelier éteint, une carte, ainsi qu’un journal usé et un coffre à gauche de la table. Le deuxième élément qui attire votre attention, c’est que non loin de ce bureau de fortune, se trouve une grande échelle… qui mène à un couloir plus en hauteur. Peut-être une sortie ? Qui sait où cela vous mènera dans la réserve faunique…
Le fait est que vous avez des géomis aux trousses et vous avez peu le temps de réagir. Privilégierez-vous la fuite ? Utiliseriez-vous les pièges de braconniers ? Ou vous concentrerez-vous sur les informations que ces derniers ont éventuellement pu grapiller ?
- Notes du MJ:
- Vous voilà dans un antre souterrain qui vous offre normalement plusieurs champs d’actions Je vous laisse décider si vous voulez fuir, faire quelques actions dans la grotte, ou faire face aux arachnides (trois vous poursuivent et progressent dans le couloir en file indienne).
A noter que, si vous combattez, vous pouvez écoper de quelques blessures (il n’y a jamais d’affrontements sans risques !).
CENDRES
Invité
Invité
La demoiselle fut épargnée, les lames furent tirées et... Par les Titans, il y en eut tant ! De géomis, partout, ici et là, dardant mandibules et pattes velues à notre attention ! Une horde insectoïdes attroces, prêtes à fondre sur nous ! Mais notre bravoure ne connut point de limite, notre souffle de retenue, et notre corps de vigueur ! Dans un bel ensemble, nous...
"PARBLEU ! Une légion arachnoïde ! COURREZ !"
...Courûmes donc, à toutes jambes.
Voyez-vous, pour qu'une épopée soit contée, encore faut-il que des témoins survivent pour en témoigner. Et les géomis ne rempliraient certainement pas ce rôle-là, si ce n'est en laissant d'anonymes ossements dans leur nid de cocons - quoiqu'elles ne trouveraient rien à manger sur moi, hahahaha ! -. Le perroquet l'avait bien dit, et après pareil avertissement, nous ne jouâmes pas les têtes brûlées. Nous enfonçant vivement sous terre, sur les traces des braconniers disparus - ma 'vie' sans ses contraintes m'offrait une foulée preste aussi régulière qu'un métronome, sans essouflement pour la perturber -, nous découvrîmes bientôt les restes d'un autre camp, alors que l'échos d'innombrables petites pattes à notre poursuite se faisait entendre.
"Peste, ces créatures sont tenaces ! Une illusion ne retiendra pas une charge pareille, des idées ?! Et puis, il y a fort à parier que nous trouverons quelques intérêts ici-bas, suffit, cette échappée !"
A tout le moins, j'essayais ceci : me campant sur mes jambes, m'interposant entre mes compagnons et le danger, lame au point et heaume hier, je fis face aux créatures surgissant de la gueule rocailleuse. Nul poumon ne se gonflèrent, mon esprit seul se tendit vers les odieuses poursuiveuses, et en un instant, je vrillais leur esprit d'une clameur digne du rugissement d'un éboulement.
"FUYEZ PAUVRES FOLLES !"
J'en dispensais bien entendu l'esprits de mes compagnons, et escomptait seulement gagner quelques précieuses secondes pour mieux prendre au dépourvu les créatures.
"PARBLEU ! Une légion arachnoïde ! COURREZ !"
...Courûmes donc, à toutes jambes.
Voyez-vous, pour qu'une épopée soit contée, encore faut-il que des témoins survivent pour en témoigner. Et les géomis ne rempliraient certainement pas ce rôle-là, si ce n'est en laissant d'anonymes ossements dans leur nid de cocons - quoiqu'elles ne trouveraient rien à manger sur moi, hahahaha ! -. Le perroquet l'avait bien dit, et après pareil avertissement, nous ne jouâmes pas les têtes brûlées. Nous enfonçant vivement sous terre, sur les traces des braconniers disparus - ma 'vie' sans ses contraintes m'offrait une foulée preste aussi régulière qu'un métronome, sans essouflement pour la perturber -, nous découvrîmes bientôt les restes d'un autre camp, alors que l'échos d'innombrables petites pattes à notre poursuite se faisait entendre.
"Peste, ces créatures sont tenaces ! Une illusion ne retiendra pas une charge pareille, des idées ?! Et puis, il y a fort à parier que nous trouverons quelques intérêts ici-bas, suffit, cette échappée !"
A tout le moins, j'essayais ceci : me campant sur mes jambes, m'interposant entre mes compagnons et le danger, lame au point et heaume hier, je fis face aux créatures surgissant de la gueule rocailleuse. Nul poumon ne se gonflèrent, mon esprit seul se tendit vers les odieuses poursuiveuses, et en un instant, je vrillais leur esprit d'une clameur digne du rugissement d'un éboulement.
"FUYEZ PAUVRES FOLLES !"
J'en dispensais bien entendu l'esprits de mes compagnons, et escomptait seulement gagner quelques précieuses secondes pour mieux prendre au dépourvu les créatures.
Invité
Invité
L’action préventive de Khalez avait permis de mettre en arrière la supposée cible de la créature. Mais par les actes des autres têtes pensantes, l’attaque n'avait pas abouti à son plein potentiel. Au contraire, le mélange subtil d’une illusion bien calculée, et d’une amplification de cette émotion qui inspirait la peur dans l’instinct primaire de la géomi, permit d’éviter un malheureux accident plus grave qu’était destiné le guerrier : il avait subi la pénétration des crocs, il le voyait. Or, il ne sentit pas le venin pénétrer en lui, il savait quand son corps acceptait en son sens circulatoire une invasion étrangère d’un liquide nocif et toxique.
En réaction à cet premier échange, le monstre se retira, non pas pour reprendre de la hauteur dans ce tissage de fil blanc gluant qui parsème la toiture forestière. Non, elle se contenta d’exprimer un nouveau cri strident, mais aux sonorités différentes du premier. En réponse, des cris plus fins, et aussi aigus, se manifestèrent dans les environs. Qu’avait dit la fae ? Une peut en cacher une autre ? Si c’était seulement qu’un duo que le groupe allait affronter, c’était le début d’une vague d’arthropodes qui se présentèrent à leurs yeux qui prouvèrent en mal l’avertissement de cette dernière.
L’orc fit un rapide coup d’œil de leur situation : encerclés par le haut, bientôt par le sol, des cocons à taille humaine suspendus, et la grotte inconnue. Le temps à la réflexion devait s’achever, et celui de l’action prendre son cours.
“Dans la grotte ! Vite !”
Il vociféra cet ordre et se mit en marche dès ces mots, mais s’arrête à la frontière de la roche et la terre pour assurer le repli des deux autres compagnons. De là, il attendit bien le passage de deux autres personnes, avant de lui-même les suivre, s’engouffrant dans l’inconnu sombre, qui ne dura point après les nombreux passages rocheux étroits : de la lumière tamisée aux couleurs différentes parsemait le mur de pierre naturelle, dont les cavités formèrent des renfoncements assez importants, auxquels en leur sein accueillant des produits manufacturés, mais aussi des caisses de marchandise illégale comme des cornes de rhindos. Le combattant avait sa vision nocturne, et lui permettait de mieux distinguer les silhouettes particulières du milieu. C’était le véritable repaire des braconniers, d’où la présence d’un matériel d’armes, de ressources, et une pièce où une table gisait en son centre. Mais le temps à l’investigation s'estompait, car d’un bruit de l’écho lointain, ils étaient encore poursuivis.
L’huile allait assurer leur échappée, mais seulement en dernier recours. Le reste des pièges des braconniers allait devenir un élément à leur avantage.
“Plaçons le maximum de pièges. Renversons l’huile en dernier recours pour y mettre le feu. Et si besoin, j’aimerais prendre tout de la dernière pièce. En attendant…” Il commença à établir son plan. “On va s’occuper de la première vague.”
En arrière, il se tenait, lance à la main, prêt à la propulser avec le maximum de force, histoire d'en toucher plusieurs si un alignement se faisait. Grâce à sa vision nocturne, il n’allait pas être impacté par le manque de lumière. Dès l’instant que Tadlos les intercepta d’une façon propre à lui, la désorientation les stoppèrent, et une fenêtre de tir parfait se dégagea.
D’un geste net et vif, la lance fusa dans les airs, direction des monstres.
“Tadlos. Nous devons fuir, la situation va empirer. Le feu va nous aider. Partons sans tarder. Pour ma part, je dois récupérer tout ce qui les incrimine.”
Un nouveau cri, plus fort, résonna dans l'entièreté du lieu.
“La seconde vague. Et elles seront plus grosses. Allons-y.”
En réaction à cet premier échange, le monstre se retira, non pas pour reprendre de la hauteur dans ce tissage de fil blanc gluant qui parsème la toiture forestière. Non, elle se contenta d’exprimer un nouveau cri strident, mais aux sonorités différentes du premier. En réponse, des cris plus fins, et aussi aigus, se manifestèrent dans les environs. Qu’avait dit la fae ? Une peut en cacher une autre ? Si c’était seulement qu’un duo que le groupe allait affronter, c’était le début d’une vague d’arthropodes qui se présentèrent à leurs yeux qui prouvèrent en mal l’avertissement de cette dernière.
L’orc fit un rapide coup d’œil de leur situation : encerclés par le haut, bientôt par le sol, des cocons à taille humaine suspendus, et la grotte inconnue. Le temps à la réflexion devait s’achever, et celui de l’action prendre son cours.
“Dans la grotte ! Vite !”
Il vociféra cet ordre et se mit en marche dès ces mots, mais s’arrête à la frontière de la roche et la terre pour assurer le repli des deux autres compagnons. De là, il attendit bien le passage de deux autres personnes, avant de lui-même les suivre, s’engouffrant dans l’inconnu sombre, qui ne dura point après les nombreux passages rocheux étroits : de la lumière tamisée aux couleurs différentes parsemait le mur de pierre naturelle, dont les cavités formèrent des renfoncements assez importants, auxquels en leur sein accueillant des produits manufacturés, mais aussi des caisses de marchandise illégale comme des cornes de rhindos. Le combattant avait sa vision nocturne, et lui permettait de mieux distinguer les silhouettes particulières du milieu. C’était le véritable repaire des braconniers, d’où la présence d’un matériel d’armes, de ressources, et une pièce où une table gisait en son centre. Mais le temps à l’investigation s'estompait, car d’un bruit de l’écho lointain, ils étaient encore poursuivis.
L’huile allait assurer leur échappée, mais seulement en dernier recours. Le reste des pièges des braconniers allait devenir un élément à leur avantage.
“Plaçons le maximum de pièges. Renversons l’huile en dernier recours pour y mettre le feu. Et si besoin, j’aimerais prendre tout de la dernière pièce. En attendant…” Il commença à établir son plan. “On va s’occuper de la première vague.”
En arrière, il se tenait, lance à la main, prêt à la propulser avec le maximum de force, histoire d'en toucher plusieurs si un alignement se faisait. Grâce à sa vision nocturne, il n’allait pas être impacté par le manque de lumière. Dès l’instant que Tadlos les intercepta d’une façon propre à lui, la désorientation les stoppèrent, et une fenêtre de tir parfait se dégagea.
D’un geste net et vif, la lance fusa dans les airs, direction des monstres.
“Tadlos. Nous devons fuir, la situation va empirer. Le feu va nous aider. Partons sans tarder. Pour ma part, je dois récupérer tout ce qui les incrimine.”
Un nouveau cri, plus fort, résonna dans l'entièreté du lieu.
“La seconde vague. Et elles seront plus grosses. Allons-y.”
Citoyen de La République
Xera
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crédits : 835
crédits : 835
Info personnage
Race: Fae (Mi-humaine)
Vocation: Mage soutien
Alignement: Loyal Neutre
Rang: C
La rousse avait espéré que leur trio soit tombé sur une géomi solitaire, mais quand celle que leurs actions combinées avaient fait se replier lança un appel, elle adressa une prière muette à l'esprit sylvestre de sa forêt et retint son souffle. Les cris en réponse confirmèrent sa crainte, il y avait bien toute une colonie d’araignées géantes dans le secteur. Les paroles du perroquet résonnèrent dans sa tête, il était peu probable que la Dame qu’ils étaient venus secourir soit la même Dame évoquée par le volatile volubile. La réserve n'abritait peut-être pas d’Esprit Sylvestre, mais quelqu’un ou quelque chose semblait veiller sur la faune et la flore de cette partie du monde.
Xera ne prit pas le temps de faire part de sa réflexion à ses camarades, il y avait un temps pour les débats et un temps pour les retraites stratégiques et ils étaient clairement dans le second cas. La jeune femme au sang de Fae couru aussi vite qu’elle le pu pour s’engouffrer dans le couloir souterrain. Heureusement, les braconniers du temps de leur vivant ne voyaient pas dans le noir et avaient installé un réseau de cristaux lumineux permettant de voir ou l’on posait les pieds. Leur course folle leu permit de distancer les quelques géomis qui les avaient poursuivi sous terre, et leur donna le temps d’analyser quelque peu ce qu’il y avait au bout du couloir souterrain. La véritable réserve des braconniers, du matériel, des armes, des pièges, des réserves de nourriture, etc. Mais déjà, leurs poursuivantes se faisaient entendre.
L’herboriste de Nareim hocha la tête de façon affirmative avant de s’activer à disposer le plus de piège possible, en espérant au fond d’elle ne pas être obligé d'embrasser de l’huile dans un espace confiné. D’une, c’était dangereux de base et de deux en tant que Fae toute forme d’incendie la terrorisait. Tadlos offrit une fenêtre de tir à Tsunami qui propulsa sa lance dans un mouvement d’une force prodigieuse.
Quand le limier demanda au chevalier d’allumer le feu, le non-muet de la rousse herboriste se transforma en un cri et des paroles d’un ton autoritaire qu’elle ne connaissait pas.
- NON PAS DE FEU ! Je me charge de les retenir, il faut récupérer tout ce qui pourra nous être utile avant de continuer.
Elle posa ensuite ses mains au sol facilitant ainsi sa connexion avec l'élément terre et concentrant sa mana, elle fit jaillir un bloc de pierre du sol afin de boucher l’entrée de la salle. Ceci fait, elle se concentre sur la réserve de ration et engouffra tout ce qu’elle peut dans son sac. Elle en profite pour récupérer une dague qu’elle glisse dans sa ceinture.
Réponse 4
Xera ne prit pas le temps de faire part de sa réflexion à ses camarades, il y avait un temps pour les débats et un temps pour les retraites stratégiques et ils étaient clairement dans le second cas. La jeune femme au sang de Fae couru aussi vite qu’elle le pu pour s’engouffrer dans le couloir souterrain. Heureusement, les braconniers du temps de leur vivant ne voyaient pas dans le noir et avaient installé un réseau de cristaux lumineux permettant de voir ou l’on posait les pieds. Leur course folle leu permit de distancer les quelques géomis qui les avaient poursuivi sous terre, et leur donna le temps d’analyser quelque peu ce qu’il y avait au bout du couloir souterrain. La véritable réserve des braconniers, du matériel, des armes, des pièges, des réserves de nourriture, etc. Mais déjà, leurs poursuivantes se faisaient entendre.
L’herboriste de Nareim hocha la tête de façon affirmative avant de s’activer à disposer le plus de piège possible, en espérant au fond d’elle ne pas être obligé d'embrasser de l’huile dans un espace confiné. D’une, c’était dangereux de base et de deux en tant que Fae toute forme d’incendie la terrorisait. Tadlos offrit une fenêtre de tir à Tsunami qui propulsa sa lance dans un mouvement d’une force prodigieuse.
Quand le limier demanda au chevalier d’allumer le feu, le non-muet de la rousse herboriste se transforma en un cri et des paroles d’un ton autoritaire qu’elle ne connaissait pas.
- NON PAS DE FEU ! Je me charge de les retenir, il faut récupérer tout ce qui pourra nous être utile avant de continuer.
Elle posa ensuite ses mains au sol facilitant ainsi sa connexion avec l'élément terre et concentrant sa mana, elle fit jaillir un bloc de pierre du sol afin de boucher l’entrée de la salle. Ceci fait, elle se concentre sur la réserve de ration et engouffra tout ce qu’elle peut dans son sac. Elle en profite pour récupérer une dague qu’elle glisse dans sa ceinture.
Réponse 4
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