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    Citoyen du Reike
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    Tulkas
    Tulkas
    Messages : 160
    crédits : -255

    Info personnage
    Race: Humain
    Vocation: Guerrier combattant
    Alignement: Loyal mauvais
    Rang: B
    qui suis-je ?:
    https://www.rp-cendres.com/t992-blood-in-the-sand-tulkas-termine#7451
  • Mar 29 Nov 2022 - 23:46
    Tulkas
    Race : Humain
    Sexe : Homme
    Âge : 37 ans
    Métier : Ex-gladiateur émerite/officier de l'armée
    Taille & poids : 1m90, 130 kilos
    Alignement : Loyal mauvais
    Faction : Reike
    Rang : B
    Religion : Lui même
    Avatar : Gladiator by Lei Jin

    Pouvoirs et objets

    Vocation Guerier-Combattant

    Force Surnaturelle 4
    Vitesse surnaturelle II
    Régénération II
    Feu III

    Un p'tit remontant : Une étrange petite fiole contenant un liquide extrêmement douteux de couleur brune. Malgré que cette mixture soit complètement dégueulasse, cette dernier contient une certaine magie, parce que la consommer vous redonnera temporairement du mana.
    Consommer cette potion vous regénère +2 utilisations de palier 3. Lorsque le P'tit remontant est utilisé lors d'une PA ou d'un event, ce dernier sera détruit de votre inventaire.

    Gains d'events :
    +1 utilisation de P4
    + 4 utilisations de P2 et 2 utilisations de P3
    +4 utilisations de P2 et +2 utilisations de P3
    * Mithridatisation (Passif)  : Un organisme ayant survécu à la corruption de Puantrus a apprit naturellement à se protéger face aux poisons et aux maladies. Une fois par rp, permet au corps de l'utilisateur de repousser les effets d'une maladie ou d'un poison qu'on lui aurait administré pendant trois tours, lui permettant d'agir comme s'il n'était pas atteint.
    [La sacoche de l'aventure]
    Conception alliant savoir Reikois et magie Melornoise, cette petite sacoche robuste pouvant être attachée à la ceinture est parfaite pour partir à l'aventure dans les terres les plus inhospitalières du Sekai. Il est possible de sortir de cette sacoche une boussole, une corde, une pioche et une pelle de bonnes factures en y plongeant la main. L'objet tiré disparait lorsqu'il s'éloigne trop de la sacoche pour retourner à l'intérieur.
    La sacoche ne pèse pas plus de quelques grammes bien qu'elle transporte ces outils.

    En outre, cette sacoche une fois posée au sol, peut laisser échapper un petit feu de camp, créant une bulle de 10 mètres de diamètre ayant les même propritétés que la magie liée à la ville de Melorn. Au sein de cette bulle, le climat y est tempéré et les aventuriers sont à l'abri des températures extrêmes. (Uniquement d'ordre naturelle).
    Pour créer cette bulle protectrice, la sacoche doit être immobile. Il n'est donc pas possible de l'utiliser en mouvement ou dans un véhicule.


    Fragment du Cœur
    Mesurant une dizaine de centimètres, ce tout petit fragment ressemble à un cristal violet. Malgré sa taille minuscule, il possède une magie particulière :
    - Détection des Corrompus : En présence d’un individu ou d’une chose ayant été en contact avec la corruption de l’Entité Sombre ou de la magie de la Boule des ténèbres lors de la précédente année, le fragment vire au rouge sang et se met à vibrer doucement, ne supportant pas cette énergie chaotique dont il a été imbibé lors de l’attaque de Melorn.
    - Amplification magique : Une fois par rp, selon la volonté de son porteur, le fragment peut augmenter la puissance d’un pouvoir de palier 2, il aura ainsi la force d’un P3 pour une seule utilisation. (L’activation de ce bonus ne nécessite pas d’action supplémentaire à l’utilisation normale d’un pouvoir, mais le mana consommé sera celle d’un P3).

    Description physique et mentale

    Tulkas est un gladiateur de haut vol, il a une musculature aussi puissante qu’esthétique. Malgré ses capacités de régénération, son corps est couturé de cicatrices, car même si ses capacités de soin naturelles sont amplifiées par rapport a la majorité de la population du Reike, il lui faut néanmoins plusieurs heures pour se remettre d’une blessure profonde. Du coup, son corps est couturé de cicatrices que l’on pourrait considérer comme étant assez belles si l’on trouve un certain esthétisme a ce genre de scarifications.

    Il a la peau hâlée, des cheveux noirs profonds et un visage aux traits dignes d’un canon de beauté antique, la mâchoire forte, marquée, est dissimulée sous une barbe courte qu’il prend un grand soin à tailler en temps normal. Habitué aux soins des servantes, devenues employées, de son maître Sau’inn, sa peau est douce et en très bonne santé. Il porte sur l'épaule gauche un tatouage de dragon aux ailes déployées. Son tatouage de citoyen du Reike.

    Ses vêtements sont de bonne facture, il porte dans ses temps libres des vêtements plus amples similaire a des toges. Son équipement de combat lui, est très ouvragé. Il porte un heaume fendu en quatre endroits, en honneur a son combat avec Iratus. Sa manique blindée est faite d’un acier recouvert d’une fine couche d’or décorative. Cette partie de son armure, lamellaire, remonte jusqu’à son épaulette qui représente le visage frappé par la tristesse et le choc du patriarche de la famille des Marcomanios. L’épaulière est tenue en place par un harnais renforcé en acier. Il porte par-dessus son torse une peau de tigre qu’il a abattu a mains nues pendant un spectacle de venator. Il porte une lourde ceinture plaquée en laiton à laquelle pends le fourreau d’un glaive relativement court qui se marie très bien au style de combat du gladiateur qui est assez proche des secutor.

    Il porte une grève qui remonte jusqu’à son genou à la jambe gauche et une autre qui protège son talon à la jambe droite.

    Cependant, la clé de voute de son armure de gladiateur est sans aucun doute le crâne d’Endymion dans lequel Tulkas a cloué des lauriers d’ors, qu’il porte comme un trophée macabre au-dessus de sa tête. Comme un rappel a tous les gladiateurs qui ont commencé leurs carrières après la libération des esclaves l’écart qui les sépare de ceux qui sont nés dans ce monde.

    Car Tulkas est un homme arrogant, il connait ses capacités et n’hésite pas à se battre pour maintenir le luxe dans lequel il vit. Raison pour laquelle malgré la libération des esclaves, il reste au service, volontaire ceci dit, de Sau’inn. Cependant, malgré son amour pour la violence, le combat et le spectacle macabre de l’arène, Tulkas est un homme relativement cultivé qui sait tenir des conversations avec plus ou moins n’importe qui. Aimable, avec une voix assez douce en dehors de ses performances dans l’arène.

    Histoire ou test-rp

    La vie d’un esclave n’est pas toujours aussi difficile qu’on l’imagine. Oh, bien entendu, nombre d’entre eux sont plus ou moins traités comme de la main d’œuvre que l’on exploite jusqu’à la dernière goutte de sueur avant de les laisser mourir, drainés de toute énergie et de toute volonté de vivre. D’autres, tels que Tulkas, vivent une vie qu’envieraient beaucoup de citoyens de l’Empire.

    Certains esclaves, qu’importe la raison pour lesquelles ils ont été réduits en esclavage, du plus immonde Netsach jusqu’au plus insignifiant Qatsar en passant par les plus innocents des Aman ont une valeur qui dépasse la simple force de leurs bras et les labeurs dont ils doivent s’acquitter pour retrouver leurs libertés. Qu’il s’agisse d’homme de science, de scribes, de mages, de tuteurs, de mestres ou tueurs de talents, certains esclaves sont plus qu’une simple main d’œuvre. Certains esclaves sont ce qu’on appellerait narquoisement des « investissements ».

    Tulkas était l’un de ces investissements. Né de l’union d’un meurtrier et d’une prostituée réduits en esclavage, il était un Aman Ebed, un esclave de naissance. Si on venait a lui poser une question sur son enfance, il est fort probable que le gladiateur ne soit pas capable de répondre. Car il ne garde que très peu de souvenir de cette période synonyme d’insouciance. D’aussi loin qu’il se rappelle, Tulkas était un petit garçon très dynamique, sportif et vigoureux. Ce qu’encouragea son maître, en assignant des labeurs physiques au jeune garçon et faisant de lui le partenaire d’escrime de son fils. Un jeune garçon du nom d’Endymion.

    Profitant de l’opportunité qui lui avait été gracieusement offerte par son bon maître, le jeune garçon eut la chance d’apprendre le combat auprès de grands maîtres d’armes, ce qui semblait le destiner à devenir un esclave-soldat de la maison, aux côtés du jeune Endymion. Cependant, la vie prend toujours des tournures auxquelles on en s’attends pas, et c’est vers son treizième anniversaire que le jeune Tulkas fut vendu à un autre maître, pour éponger une dette.

    Ce nouveau maître se faisait appeler « Laniste », un homme dur, au visage sévère et tenant, toujours attachée au poignet, une verge faite d’une branche d’olivier. Ses mains étaient veineuses, les doigts larges et la poigne, d’acier. Laniste était presque toujours vêtu d’une simple tunique de lin et d’un plastron aux reflets de laiton, a sa ceinture pendait un glaive à garde ronde dans son fourreau de cuir. Son corps lui était puissamment bâti et ses yeux, d’un bleu profond, semblaient être aussi aiguisé que son épée et aussi vifs que ses coups de cravache.

    Tulkas ne pris que réellement conscience de sa nouvelle situation lors de sa première nuit au sein de la demeure de son nouveau maître, « Laniste ». La demeure dans laquelle il logeait n’avait rien à voir avec les quartiers confortables, bien que rudimentaires, de son ancien maître. En tant qu’ami d’Endymion, Tulkas avait été amené à vivre dans un confort tout à fait respectable, même pour un citoyen du Reike. Ici, Tulkas dormait dans un dortoir où vivaient une trentaine d’hommes et de femmes de tout âges, de toutes origines, de toutes espèces.

    La première nuit, Tulkas fut incapable de dormir. Le matelas était bien trop dur, la pièce était bien trop bruyante et les patrouilles de Laniste l’empêchaient de dormir, particulièrement quand ce dernier se mit à battre un esclave qui ne respectait pas le silence du dortoir.

    Au petit matin, le jeune garçon fut réveillé par un homme qui le tira du lit en l’attrapant par le bras. Se redressant en prenant appui sur la table de nuit, le petit garçon eut un certain temps de latence pour s’adapter à sa nouvelle situation. Les plus jeunes, tels que lui, furent rassemblés dans le dortoir, tassés dans un coin. Des garçons et filles de son âge, Tulkas était le plus grand et le plus fort. Non pas grâce a un avantage génétique quelconque ou une quelconque destinée qui l’avait doté des attributs les plus avantageux. Non, Tulkas avait simplement été chanceux d’avoir un maître qui était bon et qui le nourrissait bien. D’avoir un maître qui lui donnait des tâches laborieuses mais pas éreintantes, qui construisaient le corps avec une maestria digne d’un tailleur de pierre. De la chance et rien d’autre, chance, qui semblait être arrivée a son terme.

    Laniste repassait à nouveau dans les rangs, les hommes les plus âgés se séparaient en plusieurs groupes, que Tulkas catégorisait comme étant « Les balafrés » et les « Nerveux ». Les « balafrés » étaient rieur face au comportement des « nerveux », voir même, provocateurs.

    - Si vous survivez, qui sait, vous aurez p’t’être droit a autre chose que du gruau.

    Lançait un balafré, qui n’eut pour réponse que le silence abasourdi du nerveux avec qui il parlait.

    - Enfin, tu sais, tu as de la chance, Netsach. Tu aurais pu finir Janissaire et de ce qu’on m’raconte, c’pas le meilleur sort. Au pire tu meurs aujourd’hui, demain, tu seras peut-être l’un des nôtres. Essayez de vous défendre un peu, hein ?

    Rétorquait-il dans son monologue, le timbre rauque et hilare.

    - Bah ouais, faut bien donner du spectacle. Imaginez un peu nos bons maîtres qui viennent juste voir la mise a mort de criminels. Où est le sport dans tout ça ?

    Tulkas redressait la tête, en écoutant cette conversation, focalisant son attention dessus et occultant tout son environnement. Hélas pour lui, Laniste était arrivé dans la pièce et le comportement du jeune garçon n’échappa au regard de son nouveau maître. Ce dernier beugla et tout les sens du jeune garçon se mirent en alerte. Les épaules, relâchées, se tendirent d’un coup. Le visage se releva aussi net, la bouche se ferma et les genoux se bloquèrent. Comme un soldat au garde-à-vous, le jeune Tulkas tourna son attention vers son nouveau maître en craignant un coup de verge. Mais rien ne vint. Laniste leurs fit signe d’un geste de la tête vers l’embrasure de la porte du dortoir, et comme un seul homme, le groupe de jeunes recrues suivit le mouvement pour sortir.

    L’arrière-cour était composée d’une arène sablonneuse démarquée par des piquets de bois. Sous le porche, des mannequins d’entraînements faits de sacs de jute se tenaient droit, en forme de T, ailleurs, encore, des mannequins plus complexes, faits de parties rotatives. Contre le muret principal, qui ressemblait plus a une muraille qu’a un simple mur, étaient posés toutes sortes d’armes, de bâtons et de boucliers de toutes formes, sans compter les filets, tridents et autres instruments que le jeune garçon ne connaissait pas.

    - Mon nom est Oreste ! Et vous êtes la propriété du Magister Sau’inn !

    Beuglait soudainement la voix de « Laniste », tirant Tulkas de sa contemplation des différents équipements. Fixant l’homme au visage si sévère, le jeune garçon écouta.

    - Vous m’avez été confié pour que je fasse de vous des hommes ! Pour qu’une fois le jour venu, vous ne couvriez pas de honte la Ludus Gladiatoriale de Magister Sau’inn ! Pour qu’une fois le jour venu, vous versiez le sang de vos adversaires dans le sable de l’arène du Lion ! Et qui sait, si vous survivez, misérables, peut-être qu’un jour vous serez envoyés mourir dans la grande arène d’Ikusa ! Pour vous battre, pour tuer et pour mourir sous les yeux des augustes citoyens du Reike !

    Tulkas clignait des yeux. Un gladiateur. On allait faire de lui un gladiateur, c’est donc pour ça que son maître l’avait élevé ? Pour le revendre plus tard pour le faire défiler devant des centaines de spectateurs assoiffés de sang ? Pour ça qu’il avait été élevé ? Pour abreuver le sable de sang, le sien ou celui de ceux qu’il allait devoir un jour affronter dans l’arène ?

    J’aimerais raconter que le jeune garçon avait le cœur rempli de détermination face a cette réalisation. Qu’il était certain, convaincu même, que son destin allait être de devenir le grand champion d’Ikusa et de se battre sous les yeux de l’Empereur qui le gracierait de son statut d’Aman Ebed pour faire de lui un citoyen, un soldat, un protecteur de l’Empire. Mais non, Tulkas, jeune garçon tiré d’une vie de servitude idéalisée, face a la réalisation de sa destinée, n’était qu’un jeune garçon de treize ans, terrifié.

    Ses jambes flageollaient, sa poitrine était serrée, ses poings crispés et ses dents broyaient lentement leur émail l’un contre l’autre. Le reste du monologue de « Laniste », Oreste de son prénom, lui échappa complètement. Tuer, c’était une chose de s’entraîner avec des épées de bois pour qu’Endymion apprenne a manier une arme, c’était une chose de finir la journée avec des bleus aux bras et aux côtes une fois qu’Endymion avait bien assimilé les leçons de son maître d’armes. C’en était une autre de réellement se battre, de tuer ou d’être tué. De regarder quelqu’un dans le blanc des yeux et de savoir qu’au moindre faux pas, au moindre faux mouvement, l’obscurité pouvait nous prendre.

    Et comme tout enfant, Tulkas craignait la mort.

    Ce n’est qu’un impact contre sa tempe qui mit un terme a ses divagations et a la terreur qui le prenait. Une énorme paume s’était abattue là contre son visage, avait balayé tout ses sens pour brouiller jusqu’à sa vision. Une paupière était fermée, dans sa bouche le goût du sang et du sable qui s’agglutinait contre les parois de sa bouche. La main se refermait sur le sol alors que le jeune garçon, devenu un jeune homme se redressait dans les sables d’une arène locale de la Ville du Lion.

    Simplement vêtu d’un casque, d’un pagne rouge, d’une manique qui remontait jusqu’à son épaule. Son bouclier avait été balayé et son glaive court était encore dans sa main droite. Un coup de pieds chassa l’arme de sa poigne alors que les cris dans l’arène encourageaient son adversaire. Ce dernier, équipé comme lui, haranguait la foule en hurlant, levant les bras pour que les spectateurs l’accompagnent par des rugissements de plus en plus intenses.

    Tulkas était cependant devenu un jeune homme robuste, pliant les genoux sous son ventre, s’écorchant les genoux contre le sable, plaquant une paume. Le jeune garçon devenu jeune homme se redressait alors que son adversaire se retournait vers lui en reprenant sa garde. Lourd bouclier devant lui, bras armé d’un glaive court replié vers l’arrière. Alors qu’il retouchait le sol de ses talons en se mettant face a son ennemi, ce dernier s’avança pour venir le frapper a nouveau d’un coup de bouclier en plein torse, l’impact coupa le souffle au jeune gladiateur qui reculait et ploya a nouveau le genou. La main gauche a plat dans le sable ferma le poing alors que de sa main protégée par la manique, Tulkas se protégeait du soleil qui l’aveuglait à travers les fentes de son casque.

    Cette fois, ce n’est pas un coup de bouclier qui vint, mais un coup de tranche de haut en bas, comme si l’autre gladiateur voulait finir le combat par une attaque spectaculaire. Après tout, c’est logique, n’avaient-ils pas tous été éduqués et élevés pour devenir l’objet des conversations mondaines des citoyens du Reike ? Soient-ils riches ou pauvres, tous profitaient ouvertement des « Pains et des Jeux ». Levant le bras protégé par la manique de tissus, Tulkas dévia l’attaque avant d’envoyer sa main gauche vers le casque de son adversaire, lui lançant une bourrasque de sable a la figure tout en reculant. Trébuchant a nouveau dans le sable pour se retrouver cul nu contre ce dernier et reculer, un peu comme un enfant acculé par un père ayant la main un poil trop lourde après une beuverie, jusqu’à touche de ses fesses le rebord de son bouclier, sans attendre, le jeune homme pivota et récupéra son arme en se redressant.

    Pivotant, Tulkas n’eut qu’un battement de cœur pour bloquer un estoc qui, s’il avait fait mouche, l’aurait assurément éventré. Balayant ensuite l’arme d’un grand coup de bouclier, le public retint son souffle. L’adversaire, enragé par le coup bas du jeune homme, enchaînait attaques après attaques. Et Tulkas, en égide a la gloire de son maître Sau’inn, bloquait et déviait chaque coup. Puis, peut-être porté par la rage, ou par la fatigue, l’adversaire lança un grand coup de taille avec son glaive. Tulkas, vint à la rencontre du poignet de son ennemi avec la tranche de son bouclier. Dans un craquement sonore, l’os fut fracturé et l’arme, lâchée.

    Sans attendre la fin des hurlements de douleur de son adversaire, Tulkas attaqua a nouveau, non pas avec l’arme ramassée, mais avec la tranche de son bouclier, frappant celui de l’ennemi jusqu’à ce que finalement, ce dernier ne trébuche et ne glisse sur le sable, tombant sur le dos alors que le jeune homme lui sauta dessus. Assis, il tint son bouclier par les tranches comme pour venir l’écraser sur le visage de son adversaire qui leva le bras au poignet brisé, main pendant mollement sur le côté.

    Il se rendait.

    Et la foule explosa de joie face a ce retournement de situation. Se redressant, le jeune homme lâcha son bouclier pour lever les mains vers son casque, défaire la cordelette de cuir qui le tenait en place et le laisser tomber lourdement dans le sable de l’arène. Ecartant les bras pour se baigner dans cette liesse, cette folle joie exprimée par le public, par ce public qu’il avait conquis, par son public. Qui scandait son nom.

    - Tulkas ! Tulkas ! Tulkas !

    Puis, finalement, l’attention du vainqueur se tourna vers l’estrade où trônaient le maître d’arène et les maîtres respectifs des deux combattants. Des mots étaient échangés entre les trois hommes, Tulkas se redressa pour aller ramasser le glaive et attendit le verdict.

    D’un geste de la main vers le haut, paume vers le ciel. Grâce fut donnée. Et victoire arrachée.

    Les années s’écoulèrent et avec elles, de plus en plus de victoires. Oh, bien entendu que dans le tas il y avait quelques défaites, bien entendu que les années n’avaient pas été tendres avec lui. Pourtant, le jeune homme était devenu un gladiateur redoutable et redouté, avec sa cohorte de fanatiques qui venaient spécifiquement le voir se battre lui. Devenu une véritable sommité des arènes de la ville du Lion, cela faisait maintenant des années que le gladiateur ne dormait plus dans les dortoirs, des années qu’il avait dépassé le simple stade de « Balafré » qui narguait les « Nerveux » pour leurs combats d’exécutions.

    - Gladiateur.
    - Maître Sau’inn.

    Non, Tulkas était désormais un atout assez important dans la manche de son maître pour se permettre de vivre dans un luxe qu’il n’avait jamais connu auparavant. A lui étaient les mets les plus somptueux, les servantes les plus belles et les plus lubriques. Sa chambre était spacieuse, son lit large, sa bibliothèque chargée, sa cruche de vin, toujours remplie. Son temps libre était rythmé entre les lectures philosophiques, les massages, débats avec Oreste et ébats avec les servantes qui lui étaient offertes en pâture pour satisfaire ses appétits. La vie de star.

    - Que puis-je pour vous, maître ?
    - Dis-moi, est-ce que le nom des Marcomanios te dit quelque chose ?

    Tulkas marqua un temps d’arrêt, appuyé sur l’accoudoir de sa chaise, l’homme pinça un instant son menton entre son pouce et son index, avisant la figure au teint basané qui lui faisait face. Maître Sau’inn était un homme raffiné, malingre, aux joues creusées et a la barbe pointue. Cependant, son regard et son port trahissaient une grande confiance en soi. D’expérience, Tulkas avait rapidement appris à faire la différence entre ceux qui ont du pouvoir et ceux qui prétendent en avoir. Fort heureusement pour lui, son maître était de la première catégorie. Autrement, un autre maître l’aurait déjà racheté. Et peut-être qu’il n’aurait pas eu une vie aussi confortable.

    Mais ce nom, Marcomanios, lui disait quelque chose. En fouillant sa mémoire, Tulkas finit par hocher la tête.

    - Oui, maître. Ce sont mes anciens maîtres avant que vous ne m’achetiez.
    - Connais-tu un certain Endymion ?

    Un léger sourire vint décorer le visage balafré du gladiateur. Endymion, un souvenir d’enfance remontait à la surface à la mention de ce prénom qu’il n’avait pas entendu depuis maintenant des années. C’était si lointain comme souvenir, les heures passées avec un maître d’arme, à subir les coups pour que le jeune maître devienne un jour un grand guerrier. Qu’était-il devenu pour que maître Sau’inn ne lui en parles ? Curiosité éveillée, Tulkas se redressait dans sa chaise tout en ignorant la servante qui passait dans son champ de vision, ignorant jusqu’aux formes plantureuses qui passaient par là pour accorder toute son attention a son maître.

    - Oui, maître. C’était le jeune maître pour qui je servais d’adversaire avant que vous ne m’achetiez. Maître.
    - Parfait, figures-toi que le jeune Endymion s’est pris d’un certain amour pour les jeux gladiatoriaux et qu’il a décidé de participer aux jeux de demain.
    - Mais c’est un sport d’esclaves, maître. S’insurgeait un instant Tulkas. Pardonnez-moi mais…
    - Non, il est toujours homme libre. J’ai payé cher pour t’avoir et les Marcomanios ne sont pas connus pour être des idiots. L’argent que tu m’as coûté a été bien investi je te le garantis, esclave. Le jeune Endymion s’est pris d’une lubie et son père a été obligé d’acheter la coopération de beaucoup de gens pour permettre cette lubie a son fils. Il m’a promis une belle somme si mon poulain venait à perdre son combat.

    Tulkas fronça légèrement les sourcils alors qu’Oreste passait en arrière-plan, faisant régner l’ordre et la discipline vers les nouvelles recrues du Ludus de maître Sau’inn. Ce dernier, réajustant les pans de sa robe d’un blanc immaculé et aplatissant ses cheveux en arrière, se pencha un peu en avant, sur le ton de la confidence en regardant Tulkas.

    - Mais tu m’as rapporté bien plus d’or de ton vivant que ce que le patriarche des Marcomanios me promets. Je n’ai aucune intention de te permettre de perdre maintenant, surtout contre un adversaire d’aussi bas-rang, imagines, ce serait comme si toi, au commencement de ta carrière, tu terrassais le champion d’Ikusa.
    - Ça aurait été un acte légendaire. Mon nom serait chanté jusqu’à la fin des temps, assurément.
    - Ça, ou tu aurais été accusé de triche et tu aurais été exécuté.
    - Vous avez raison, maître.

    Disait-il, Tulkas était loin d’être un imbécile, mais la gloire et le chant de la foule en liesse est une drogue puissante, terriblement puissante. Et Sau’inn était le meilleur outil dont disposait l’esclave pour continuer cette vie qu’il menait, celle de véritable star, aussi luxueuse que possible. Du coup, si son maître était bon avec lui, il serait serviable et servile. Après tout, il était né esclave, élevé esclave, forgé esclave.

    La gloire de la vie de gladiateur, le prestige et le statut offert par cette vocation était l’apanage des esclaves. Seul eux pouvaient aller se battre dans l’arène, pour tuer et mourir pour le plaisir du peuple du Reike, pour montrer que même les plus désavantagés de cette puissante nation étaient capables de devenir les plus grands guerriers du monde. Et d’être récompensés pour ça. Et qu’Endymion s’abaisse à ça, faisait bouillir le sang de Tulkas.

    - Je veux que tu le tues, gladiateur.
    - Je le ferais, maître.

    Avait-il répondu, sans hésiter.

    Et le lendemain, Tulkas serait entré dans l’arène sous l’acclamation du public face a son adversaire qui avait oublié jusqu’au visage de son jeune compagnon d’enfance. Tulkas n’était plus ce jeune provocateur qui avait eu la chance de gagner son premier combat. Non, il était devenu un gladiateur endurci, invaincu jusqu’ici, sa simple présence sur le sable faisait s’exclamer la foule en liesse qui scandait son nom.

    - Tul-kas ! Tul-kas ! Tul-kas ! Tul-kas !

    Qu’ils scandaient, ces cris de joie, le regard brillant des hommes et des femmes qui le regardaient. Le poids de milliers de regards qui fondaient sur lui qui entrait dans l’arène était grisant. Aux yeux du gladiateur, c’était aussi excitant que la caresse d’une centaine d’amantes, aussi exaltant qu’une victoire arrachée a la dernière minute. Le rythme de ce chant, ce « Tul-kas » exprimé en deux syllabes faisait trembler son être, jusqu’à sa moëlle, son cœur battait en rythme, chantait et scandait son prénom. Du jeune initié craintif, il était devenu la célébrité arrogante. Et hélas pour lui, son arrogance n’avait pas encore été remise à sa place.

    Au point tel que le casque, la manique d’acier qui remontait jusqu’à son épaule, son glaive court et son bouclier étaient désormais des œuvres d’arts, décorées de filin d’ors et sur son bouclier se tenait la gueule rugissante d’un lion, a l’honneur de la ville qui l’avait vu naître.

    Dans les combats gladiatoriaux, tout est question de spectacle, tuer son ennemi rapidement est une mauvaise idée. Car qui s’intéresse d’une vulgaire mise à mort ? Il faut tenir le public en haleine, jouer avec son adversaire, proposer des passes d’armes exotiques, jouer du spectacle. Le rôle du David et du Goliath était très apprécié. Tout comme l’était l’idée de voir un chat jouer avec la souris tombée dans ses griffes. Ensuite, vinrent les trompettes et les cuivres qui imposèrent le silence. Tulkas était contemplatif, réfléchissant un instant à la vie qu’il avait eue avec ce jeune homme qui l’attendait au centre de l’arène, entouré de cadavres de gladiateurs qu’il avait vaincu avant ici. Ils portaient des équipements de rangs supérieurs a ceux des recrues. Pourtant, leurs corps n’avaient presque pas de cicatrice, leur chair n’avait pas encore été tannée par le fouet du sable de l’arène et la chaleur du soleil.

    Le père d’Endymion avait acheté les maîtres, pour qu’ils ne donnent que des recrues faibles comme adversaires à son fils. Dardant un œil vers le maître d’arène, Tulkas leva son épée en guise de salut vers ce dernier. Observant les différents maîtres qui semblaient satisfait de la journée, tous, sauf Sau’inn.

    Puis le maître de l’arène souffla dans un cor, marquant le début du combat.

    On aurait pu parler d’un combat épique entre deux anciens amis forcés a se battre, l’un par arrogance, l’autre par devoir. Certains auraient trouvé ce combat digne d’une chanson de geste, l’esclave contre l’oppresseur ou du David contre Goliath. Cependant, il n’en était rien. Les années d’expérience, la force prodigieuse et la vitesse de Tulkas étaient bien évidemment à des lieues de ce que pouvait faire Endymion. Car aussi bien l’un que l’autre, ils n’étaient plus des enfants qui suivaient les cours d’un maître d’armes certes talentueux, mais qui ne pouvait pas se permettre de blesser gravement son pupille. Des deux enfants, celui qui avait pris les coups, c’était Tulkas. Des deux enfants, celui qui avait appris à endurcir son corps et résister à la douleur, c’était Tulkas. Des deux enfants, celui qui devait tuer pour survivre, c’était Tulkas.

    Des deux enfants, celui qui était devenu un gladiateur de grande renommée, c’était Tulkas. Et Endymion, son visage a l’air libre, le crâne ceint de lauriers d’or et portant une armure presque complète – une insulte aux yeux de Tulkas et des camarades de sa schola – n’était en réalité que ça. Un enfant piégé dans ses rêves de grandeur d’antan. Qui pensait avoir eu l’entraînement nécessaire pour égaler la vie d’un esclave-gladiateur.

    Le combat avait duré un certain temps, plus par amour du spectacle de l’un que par compétence de l’autre, sur la fin, finalement. Le gladiateur vint parer de son bouclier un coup un poil trop ouvert, et de son glaive, lacérer les ligaments du bras droit du jeune noble trop sûr de lui en profitant du point faible de ses articulations. Puis, d’un coup de pieds d’une force prodigieuse dans la genouillère en acier de son adversaire, créer un nouvel angle a son articulation.

    Endymion avait lâché ses armes, hurlant en se tortillant de douleur au sol sous les moqueries de la foule, qui huait l’adversaire. S’approchant du jeune noble, il vint le saisir par la chevelure pour le redresser et, d’un mouvement sec avec son glaive qui se fit hachoir improvisé, trancher la tête du jeune prince qu’il levait vers la foule en hurlant sa victoire.

    Les jours qui suivirent cette victoire furent difficiles. Le patriarche des Marcomanios exigeait que la tête de son fils lui soit rendu pour ses funérailles, pourtant, la règle dans l’arène était assez claire, dans un combat à mort, le gagnant garde le trophée qu’il souhaite. Tulkas aurait pu se contenter de garder les lauriers de son jeune maître, en faire une décoration de bon goût. Mais non, le gladiateur avait demandé à Oreste de faire bouillir la chair pour qu’elle se détache sans peine des os, de polir le crâne et de le nettoyer de ses cartilages, de ne laisser que l’os, qu’il allait garder comme trophée.

    Crâne qu’il allait monter sur son casque, clouant à ce dernier les lauriers qu’avaient porté le jeune homme plein de fougue et de rêves qu’il avait tué dans l’arène.  

    Plus tard, quand les retombées politiques de ce combat s’étaient un peu tassées, Tulkas fut visité par son maître dans ses quartiers. Sau’inn s’installait sur le fauteuil le plus luxueux de la pièce, avisant son investissement d’une œillade curieuse. Avec un fin sourire.

    - J’ai un présent pour toi, gladiateur.
    - Maître ?

    D’un geste de la main, un serviteur qui attendait a l’extérieur de la pièce entra, tenant entre ses mains un objet dissimulé par un voile, que le maître enleva d’une main. Révélant une épaulière ouvragée dont les traits étaient ceux du patriarche des Marcomanios, qui semblait être frappé d’une profonde tristesse. L’air satisfait, Sau’inn regarda un instant l’ouvrage avant d’aviser Tulkas.

    - Tu m’as offert un présent de grande valeur, gladiateur. Le visage frappé par le deuil de celui qui m’avait offert un enfant pour éponger ses dettes. Aujourd’hui, cet enfant a pris le sien. Je suis fier de toi, gladiateur.

    Dit-il avant de se redresser et de fermer la porte derrière lui, laissant Tulkas seul avec cette épaulière entre les mains.

    Les années continuèrent de s’écouler. Du jeune garçon qui avait été vendu un soir pour éponger une dette, il ne restait plus grand-chose. Toute trace de faiblesse, de doute avait été excisée par les mains habiles d’un laniste compétent. Tulkas avait été brisé, pendant sa jeunesse, pour être reforgé en un gladiateur capable de devenir l’un des plus grands de l’histoire du Reike.

    C’est lors des grands jeux Taisen que Tulkas fut confronté a Iratus, un autre gladiateur loup-garou, un combat qui dura des longues heures, qui se termina par un match nul. Hélas, ce premier match-nul pour les deux combattants donna lieu a un combat Venatorial.

    Puis vint la montée au pouvoir de la nouvelle impératrice, et pour Tulkas, découvrir quelque chose d’inédit pour lui.

    La liberté.

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  • Sam 31 Déc 2022 - 5:23
    Bonjour,
    Cette présentation est-elle toujours d'actualité ?
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  • Ven 13 Jan 2023 - 18:46
    Treize jours après le déluge. Bonjour, non. Je pars sur un autre concept de personnage !


    Blood in the sand - Tulkas [TERMINÉ] 5CwAax9
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  • Sam 14 Jan 2023 - 3:05
    Fiche terminée.


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  • Mer 18 Jan 2023 - 13:54
    Bonjour à toi,

    J'ai beaucoup aimé la lecture de cette fiche. Décider de jouer un gladiateur amoureux de son art et heureux de son sort est, je le crois, inédit sur le forum. De plus, j'ai put voir que tu avais de bonnes connaissances de la gladiature romaine et je me suis même surpris à visualiser ton histoire au sein des décors de la série Spartacus (super série, je conseille à tout le monde). De plus, même si tu utilise des termes latins, je n'y vois pas d'incohérences avec l'univers reikois et même si c'était le cas, ce ne serait qu'un problème de sémantique très peu dérangeant.

    Du coup, je pense qu'en l'état, je peux te déclarer :

    Validé ! Very Happy

    Puisse le Tulkas le Lion profiter d'une drogue inédite à laquelle il va pouvoir succomber sans entraves : la liberté.


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