Invité
Invité
fauna
Race : Hybride (chèvre).
Sexe : Femme.
Âge : 18 ans.
Métier : Vendeuse itinérante de thé.
Taille & poids : 1m55 ; 50 kg.
Alignement : Chaotique bon.
Faction : Citoyen du Monde.
Rang : D.
Religion : Athée.
Avatar : Soraka (League of Legends).
Pouvoirs et objets
Guerrier – assassin
Super-vitesse : rang 1 (500) ; rang 2 (1000)
Prouesse d’arme : rang 1 (500)
Agilité et précision augmentées : rang 1 (500) ; rang 2 (1000)
Elément Eau : rang 1 (300)
= 3800 (reste 200).
Immunité : douleur physique.
Faiblesse : psychique.
Fauna possède :
- Deux lames tranchantes avec lesquelles elle se défend, elle, mais aussi ses possessions (maigres). Elles sont fines, un peu étranges, la forme sort de l’ordinaire, y’a des gravures, c’est joli et, selon la demoiselle, elles valent cher. Oui, elle les a trouvées sur un cadavre, mais le cadavre était plus richement vêtu qu’elle.
- Des vêtements toujours pleins de couleurs mais qui ne valent pas un sou. Aujourd’hui elle ressemble au Petit Chaperon Rouge, demain ce sera le Petit Chaperon Bleu. Elle aime que sa tête soit couverte, on dirait qu’elle gambade dans les bois mais elle traîne trop souvent dans les rues.
- Son échoppe ambulante. Elle l’a achetée à un gars un peu bizarre qui voulait s’en débarrasser. Elle était en bon état. Il n’a pas demandé beaucoup, et les pièces manquaient. Il a soupiré mais la lui a léguée. D’un côté, elle vend du thé frais et donne ses précieux conseils, de l’autre elle verse dans de petits gobelets ses breuvages faits maison. Elle demande toujours « avec ou sans lait ? » et elle a le sourire. Au fond du gobelet, des petites crottes de bique, elle appelle ça le topiaco, c’est sucré et c’est bon.
Super-vitesse : rang 1 (500) ; rang 2 (1000)
Prouesse d’arme : rang 1 (500)
Agilité et précision augmentées : rang 1 (500) ; rang 2 (1000)
Elément Eau : rang 1 (300)
= 3800 (reste 200).
Immunité : douleur physique.
Faiblesse : psychique.
Fauna possède :
- Deux lames tranchantes avec lesquelles elle se défend, elle, mais aussi ses possessions (maigres). Elles sont fines, un peu étranges, la forme sort de l’ordinaire, y’a des gravures, c’est joli et, selon la demoiselle, elles valent cher. Oui, elle les a trouvées sur un cadavre, mais le cadavre était plus richement vêtu qu’elle.
- Des vêtements toujours pleins de couleurs mais qui ne valent pas un sou. Aujourd’hui elle ressemble au Petit Chaperon Rouge, demain ce sera le Petit Chaperon Bleu. Elle aime que sa tête soit couverte, on dirait qu’elle gambade dans les bois mais elle traîne trop souvent dans les rues.
- Son échoppe ambulante. Elle l’a achetée à un gars un peu bizarre qui voulait s’en débarrasser. Elle était en bon état. Il n’a pas demandé beaucoup, et les pièces manquaient. Il a soupiré mais la lui a léguée. D’un côté, elle vend du thé frais et donne ses précieux conseils, de l’autre elle verse dans de petits gobelets ses breuvages faits maison. Elle demande toujours « avec ou sans lait ? » et elle a le sourire. Au fond du gobelet, des petites crottes de bique, elle appelle ça le topiaco, c’est sucré et c’est bon.
Description physique et mentale
Fauna, Fauna. Haute comme trois pommes – parce que ce Drakyn qui vient parfois acheter un thé au lait, il est beaucoup trop grand – et cachée dans d’épais cheveux verts, elle a le geste rapide et précis, les feuilles écrasées et laissées dans l’eau, le petit pot de lait renversé. Ils tombent devant ses yeux, ses cheveux, ils cachent ses grands yeux amicaux, ils sont de la même couleur que sa tignasse et elle clame même qu’ils brillent dans le noir – il n’en est rien. Elle a une peau de pêche, elle brille quand il pleut, elle brille sous le soleil. Le matin, un peu de crème hydratante, ça coûte cher mais tant pis, elle veut être belle, Fauna. Elle a la taille fine mais des courbes généreuses : une poitrine opulente mais qu’elle ne juge pas grosse assez, des hanches assez larges – mais elle a déjà vu pire ! – bref, on pourrait presque la trouver attirante si on oubliait ses origines malheureuses, la corne unique sur son front. Mince, pourquoi elle est toute seule celle-là ? « J’suis un être exceptionnel ! » qu’elle crie Fauna. C’est juste qu’elle est née comme ça, et c’est pas normal, mais elle boude : son existence en elle-même n’est pas normale.
Elle chante, elle danse, elle gigote derrière ses pots à thé. Ses sourires sont larges, les yeux ils brillent et la joie dévore son être tout entier. Elle n’arrive pas à se souvenir de moments de malheur, ou alors elle ne veut pas y penser. Elle a eu des gestes malheureux, pour elle, pour sa survie. Elle n’est pas un doux agneau qui tète encore sa mère et qui serait le héros triste d’une fable, non. Elle veut que ces moments ne fassent plus partie d’elle, alors elle trouve le positif dans tout ce qu’elle croise, même dans les grands méchants, ou alors elle boude et gonfle les joues. Elle est expressive, on dirait une enfant qui a oublié de grandir, mais elle est graaaaaande qu’elle crie en levant les bras au ciel. Emotive, elle a la larme facile, elle ne peut fermer les yeux sur ce qui peine les autres. Elle veut aider, mais elle est trop frêle, trop dans le besoin elle-même pour tendre la main. Et ça la frustre, la gamine. Et non, elle ne veut pas qu’on l’appelle « la gamine » car elle est adulte, oui oui. Fauna, boule d’émotions, boule de tout, boule de rien.
Elle chante, elle danse, elle gigote derrière ses pots à thé. Ses sourires sont larges, les yeux ils brillent et la joie dévore son être tout entier. Elle n’arrive pas à se souvenir de moments de malheur, ou alors elle ne veut pas y penser. Elle a eu des gestes malheureux, pour elle, pour sa survie. Elle n’est pas un doux agneau qui tète encore sa mère et qui serait le héros triste d’une fable, non. Elle veut que ces moments ne fassent plus partie d’elle, alors elle trouve le positif dans tout ce qu’elle croise, même dans les grands méchants, ou alors elle boude et gonfle les joues. Elle est expressive, on dirait une enfant qui a oublié de grandir, mais elle est graaaaaande qu’elle crie en levant les bras au ciel. Emotive, elle a la larme facile, elle ne peut fermer les yeux sur ce qui peine les autres. Elle veut aider, mais elle est trop frêle, trop dans le besoin elle-même pour tendre la main. Et ça la frustre, la gamine. Et non, elle ne veut pas qu’on l’appelle « la gamine » car elle est adulte, oui oui. Fauna, boule d’émotions, boule de tout, boule de rien.
Histoire ou test-rp
Quelque part en République, y’a une grande maison, et derrière il y a une forêt immense. Des arbres hauts, hauts ! Des animaux qui courent entre les feuillages et une gamine qui les suit en rigolant. Fauna ne connaît pas la grande maison. Elle ne connaît que les gigantesques arbres et ses habitants curieux. Elle vit dans une cabane, elle a à manger, elle a à boire, alors tout va bien dans le meilleur des mondes possibles. Elle parle aux biches, elle parle aux chèvres qui sont enfermées dans un petit enclos – mais personne ne lui répond. Elle a pas le don de parler aux animaux, Fauna. Elle a pas le don de grand-chose. Elle vit dans sa cabane, elle dort, elle mange ce qu’on lui donne. Parce qu’il y a ce type, ce grand monsieur, il a un beau sourire, il lui tapote la tête à chaque rencontre et lui donne du pain, des légumes, et après elle se débrouille. Il lui a dit de l’appeler « Papa » et elle n’est pas sûre de comprendre. C’est marrant dans ses jeunes années, elle a un papa, mais pas une maman. Elle est où sa maman ?
Oui hein, elle est où sa maman ? La question gâche la joie naturelle de la jeune fille. Seule dans son lit, parce que l’homme est parti et ne reviendra que dans trois jours, elle pose son interrogation au monde, elle regarde les étoiles parce que ses yeux semblent transpercer le plafond – elle a juste trop d’imagination. Pourquoi leurs oreilles sont pas pareilles ? Pourquoi elle a cette corne sur le front ? Elle touche la vérité, mais s’en éloigne car c’est complètement con, complètement saugrenu.
Un jour « Papa » la traîne derrière lui. Une femme, deux enfants en bas âge. Ils lui ressemblent, enfin pas la femme, enfin si, mais d’une autre manière. C’est son épouse, il clame joyeusement, et ce sont ses enfants. Fauna cligne stupidement des yeux. Alors, elle, c’est sa maman ? « Maman… ? » Mais elle fronce les sourcils. L’homme est gêné et il ment. Fauna, il l’a trouvée dans la forêt il y a quelques jours. Les yeux de la jeune femme se font tristes. Ce n’est pas vrai, c’est faux, c’est… « C’est une hybride chèvre je pense… » dit-il. Quelques jours plus tard, elle comprendra ce que signifient ces mots inconnus, elle comprendra ses origines, et rejettera tout, TOUT.
Y’a peut-être eu l’envie, fugace, d’en finir. Mais elle a tenu bon.
Rébellion, hurlements de rage lorsqu’il revient. Il a menti, il a menti ! Il est sale, il est dégoûtant, et elle, elle est… un monstre, lui dira-t-on ultérieurement. Elle dira la vérité à sa « femme », elle racontera tout, et sa vie deviendra un enfer ! Fauna veut se venger, alors il veut la faire taire pour toujours. « Ton existence n’a pas de sens, démon » et elle s’enfuit, les larmes elles coulent, elle quitte cette forêt-refuge, elle retrouve la grande maison. La femme à l’intérieur, les enfants. Elle ne gâche pas sa vie, elle ne relève pas le secret, mais elle vole l’argent. Tout l’argent. Elle les menace, elle hurle et peut-être qu’ils comprennent. Elle s’en fiche, ce ne sont plus ses affaires. Elle file entre leurs doigts, elle se sent riche et libre, ce n’est pas vrai, elle a tout perdu.
Tout est confus car tout doit être découvert. Fauna, jeune adulte, ouvre les yeux sur le monde, sur un monde qui a bien vécu et ne l’a pas attendue. Par hasard, un village. Quelques pièces, elle a un toit sur la tête car il pleut si fort ! Le jour suivant, discrète, elle retrouve la forêt et ses douces plantes. Elle a bien réfléchi, elle ne reviendra pas ici. Elle cueille, elle amasse dans un large sac. Elle a retrouvé le sourire. Si cette « famille » ne veut d’elle, alors elle trouvera sa famille, y’a bien des gens pour l’aimer dans ce monde immense, hein ?
Voyages, voyages. Elle est sur la route, partout et tout le temps. Elle est un peu bête, elle a le sourire stupide, mais de l’argent plein les poches. Elle se débrouille, elle file entre les gouttes, et personne ne lui fait de mal. Les méchants, elle leur crie à la tête et sort une lame – ça a bien marché la dernière fois. On ne la retrouve jamais. Un bateau, un jour, elle se glisse plus ou moins discrètement parmi les passagers. « Le Reike » qu’on lui souffle, et ça ne veut rien dire, mais elle est de la partie car elle veut échapper à cet homme furieux. A cette famille qui n’est pas, n’est plus la sienne. Enfant caché, enfant maudit. Elle tape du pied sur le pont quand elle y repense. Les heures, les jours passent, elle met pied à terre, son sac a perdu de son contenant mais elle a gagné de l’argent. Elle ne retournera plus en République ou peu importe comment ça s’appelle « cette connerie ». Une grande ville, des habitants partout, des gens qui ressemblent à « Papa-caca » et d’autres qui sont différents. Elle croise pas grand monde comme elle, Fauna, et elle détourne les yeux quand elle comprend qu’on ne lui veut pas que du bien. Elle a de la chance, une chance terrible car elle obtient tout ce qu’elle désire. L’argent achète tout, mais il finit par s’épuiser, comme les feuilles de thé. Elle voyage et en trouve d’autres. Echanges, troc, elle se débrouille, elle a ça dans le sang. D’abord dans la rue, avec les moyens du bord. Elle crée son propre réseau, et sa personnalité elle plaît. Son apparence moins. Mais certains passent l’éponge. « Le lait vient bien de la vache, oui Monsieur » elle sourit pour ne pas offusquer le client. Un jour, elle rencontre un grand (car pour elle, tout le monde est grand) gars aux cheveux bleus. Il veut se débarrasser de son machin qu’il pousse pour vendre elle ne sait quoi – mais ça pue. Faudra le laver pour enlever l’odeur de friture. Depuis, Fauna vit dans la pauvreté, Fauna ne sait où aller. Elle a une passion, une passion qui la fait vibrer mais pas d’argent, peut-être faudrait-il qu’elle se trouve un véritable métier ? Mais qui voudrait d’elle, la « sale » hybride qui pue la crotte de bique ? Elle garde le sourire. Un jour, oui un jour elle sera riche ! Ici, au moins, personne ne veut la tuer. Enfin elle croit. Car les gens méchants, ça court pas les rues hein ? Naïve, trop naïve.
Oui hein, elle est où sa maman ? La question gâche la joie naturelle de la jeune fille. Seule dans son lit, parce que l’homme est parti et ne reviendra que dans trois jours, elle pose son interrogation au monde, elle regarde les étoiles parce que ses yeux semblent transpercer le plafond – elle a juste trop d’imagination. Pourquoi leurs oreilles sont pas pareilles ? Pourquoi elle a cette corne sur le front ? Elle touche la vérité, mais s’en éloigne car c’est complètement con, complètement saugrenu.
Un jour « Papa » la traîne derrière lui. Une femme, deux enfants en bas âge. Ils lui ressemblent, enfin pas la femme, enfin si, mais d’une autre manière. C’est son épouse, il clame joyeusement, et ce sont ses enfants. Fauna cligne stupidement des yeux. Alors, elle, c’est sa maman ? « Maman… ? » Mais elle fronce les sourcils. L’homme est gêné et il ment. Fauna, il l’a trouvée dans la forêt il y a quelques jours. Les yeux de la jeune femme se font tristes. Ce n’est pas vrai, c’est faux, c’est… « C’est une hybride chèvre je pense… » dit-il. Quelques jours plus tard, elle comprendra ce que signifient ces mots inconnus, elle comprendra ses origines, et rejettera tout, TOUT.
Y’a peut-être eu l’envie, fugace, d’en finir. Mais elle a tenu bon.
Rébellion, hurlements de rage lorsqu’il revient. Il a menti, il a menti ! Il est sale, il est dégoûtant, et elle, elle est… un monstre, lui dira-t-on ultérieurement. Elle dira la vérité à sa « femme », elle racontera tout, et sa vie deviendra un enfer ! Fauna veut se venger, alors il veut la faire taire pour toujours. « Ton existence n’a pas de sens, démon » et elle s’enfuit, les larmes elles coulent, elle quitte cette forêt-refuge, elle retrouve la grande maison. La femme à l’intérieur, les enfants. Elle ne gâche pas sa vie, elle ne relève pas le secret, mais elle vole l’argent. Tout l’argent. Elle les menace, elle hurle et peut-être qu’ils comprennent. Elle s’en fiche, ce ne sont plus ses affaires. Elle file entre leurs doigts, elle se sent riche et libre, ce n’est pas vrai, elle a tout perdu.
Tout est confus car tout doit être découvert. Fauna, jeune adulte, ouvre les yeux sur le monde, sur un monde qui a bien vécu et ne l’a pas attendue. Par hasard, un village. Quelques pièces, elle a un toit sur la tête car il pleut si fort ! Le jour suivant, discrète, elle retrouve la forêt et ses douces plantes. Elle a bien réfléchi, elle ne reviendra pas ici. Elle cueille, elle amasse dans un large sac. Elle a retrouvé le sourire. Si cette « famille » ne veut d’elle, alors elle trouvera sa famille, y’a bien des gens pour l’aimer dans ce monde immense, hein ?
Voyages, voyages. Elle est sur la route, partout et tout le temps. Elle est un peu bête, elle a le sourire stupide, mais de l’argent plein les poches. Elle se débrouille, elle file entre les gouttes, et personne ne lui fait de mal. Les méchants, elle leur crie à la tête et sort une lame – ça a bien marché la dernière fois. On ne la retrouve jamais. Un bateau, un jour, elle se glisse plus ou moins discrètement parmi les passagers. « Le Reike » qu’on lui souffle, et ça ne veut rien dire, mais elle est de la partie car elle veut échapper à cet homme furieux. A cette famille qui n’est pas, n’est plus la sienne. Enfant caché, enfant maudit. Elle tape du pied sur le pont quand elle y repense. Les heures, les jours passent, elle met pied à terre, son sac a perdu de son contenant mais elle a gagné de l’argent. Elle ne retournera plus en République ou peu importe comment ça s’appelle « cette connerie ». Une grande ville, des habitants partout, des gens qui ressemblent à « Papa-caca » et d’autres qui sont différents. Elle croise pas grand monde comme elle, Fauna, et elle détourne les yeux quand elle comprend qu’on ne lui veut pas que du bien. Elle a de la chance, une chance terrible car elle obtient tout ce qu’elle désire. L’argent achète tout, mais il finit par s’épuiser, comme les feuilles de thé. Elle voyage et en trouve d’autres. Echanges, troc, elle se débrouille, elle a ça dans le sang. D’abord dans la rue, avec les moyens du bord. Elle crée son propre réseau, et sa personnalité elle plaît. Son apparence moins. Mais certains passent l’éponge. « Le lait vient bien de la vache, oui Monsieur » elle sourit pour ne pas offusquer le client. Un jour, elle rencontre un grand (car pour elle, tout le monde est grand) gars aux cheveux bleus. Il veut se débarrasser de son machin qu’il pousse pour vendre elle ne sait quoi – mais ça pue. Faudra le laver pour enlever l’odeur de friture. Depuis, Fauna vit dans la pauvreté, Fauna ne sait où aller. Elle a une passion, une passion qui la fait vibrer mais pas d’argent, peut-être faudrait-il qu’elle se trouve un véritable métier ? Mais qui voudrait d’elle, la « sale » hybride qui pue la crotte de bique ? Elle garde le sourire. Un jour, oui un jour elle sera riche ! Ici, au moins, personne ne veut la tuer. Enfin elle croit. Car les gens méchants, ça court pas les rues hein ? Naïve, trop naïve.
Groupes d'intérêts
Fauna est en pleine découverte du monde qui l'entoure, ayant vécu la majorité de son existence dans une forêt à l'écart de tout ce qui n'était pas animal. Elle est bonne, elle est gentille, alors elle modère ses opinions et ne juge guère. Tant de choses à apprendre sur ce qui l'entoure ! Elle aime le Reike car elle est éloigné de la maison de « Papa-caca » et de sa précieuse petite famille. Tout est rose, tout est beau dans son univers.
derrière l'écran
Pseudo : Pan.
Comment avez-vous connu le forum ? Je suis de retour (et vous connaissez la suite !).
Avis sur le forum : Je m'y perds toujours autant
Fréquence de connexion : De 7/7 à 5/7 dépendant des périodes (vive les études...).
Invité
Invité
Un personnage semblable aux précédents, j'en suis désolée J'espère que la petite Fauna vous plaira malgré tout, j'annonce cette fiche comme étant terminée
(Oui, elle a acheté l'échoppe d'Imoogi) EDIT : non en fait, j'avais oublié qu'il était en République
EDIT 2 : J'ai rajouté la faiblesse/immunité, je suis vite fait passée sur la fiche d'Arius
(Oui, elle a acheté l'échoppe d'Imoogi) EDIT : non en fait, j'avais oublié qu'il était en République
EDIT 2 : J'ai rajouté la faiblesse/immunité, je suis vite fait passée sur la fiche d'Arius
Noble de La République
Neera Storm
Messages : 580
crédits : 854
crédits : 854
Info personnage
Race: Demi-titan
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique bon
Rang: B
Bonjour Fauna,
Eh bien, tu nous as fait un personnage bien naïf dans un monde bien cruel J'ai bien aimé ton histoire et le moment où ses relations avec son père s'est tendue, je trouve que tu as bien écrit ça.
Pour le reste, tout me semble nickel, donc je te valide de ce pas
Eh bien, tu nous as fait un personnage bien naïf dans un monde bien cruel J'ai bien aimé ton histoire et le moment où ses relations avec son père s'est tendue, je trouve que tu as bien écrit ça.
Pour le reste, tout me semble nickel, donc je te valide de ce pas
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum