Pourquoi moi ? Qu’est-ce que j’ai fait de mal ?

C’est la pensée qui me traverse l’esprit quand je vois arriver de nouveau morts-vivants, qui sont en plus, bien plus dangereux que les zombies de base. Je suppose qu’il s’agit de la rançon de la gloire. Ils ont dû se dire que je devais être sans défense, maintenant que mes plus gros sorts ont été lancé et c’est bien joué de leur part.

Mais comme beaucoup de personnes, ils m’ont sous-estimé. Je suis Tagar Reys et je ne finirai pas comme mon père, assassiné par un ennemi plus nombreux que moi. À la place, je vais les vaincre, même si cela me prend toute la nuit. Bien sûr, je ne suis pas sûr qu’il restera grand-chose de la cité, mais ce n’est pas bien grave, nous en ferons une plus grande, plus imposante, j’ai des projets pour cela.

Mais avant de me projeter dans le futur, il faut que j’affronte le présent. Je vais donc tricher un peu et je sors de ma besace qui ne me quitte jamais une potion de mana intermédiaire que je bois immédiatement. Je sens mes forces revenir, pas complètement, mais en partie. Je vois arriver vers moi plusieurs porte-peste. Une partie de la cité est en flamme, mais, manque de chance, aucune cendre ne les atteints. J’aimerais bien les ralentir avec ma magie, mais je ne suis pas un élémentaire du sable. Pourtant, je maîtrise bien les sorts de Terre et comme les maisons sont en ce matériau, j’essaie de faire effondrer une bâtisse avec un toit de chaume en feux sur eux pour les faire exploser. J’ai une bonne vision grâce à ma nyctalopie et je vois bien qu’ils sont un groupe assez resserré et qu’il n'y en aucun autre à proximité.

En effet, je me méfie de l’effet de contagion et grâce au malheureux résultat obtenu par Astryd, je vois bien le diamètre que cela va prendre, et moi et tous les soldats de zone sommes bien en dehors du rayon d’explosion. Une fois, ceci fait, il faut que je m’occupe des chasseurs qui eux, ne se laisseront pas prendre aussi facilement. Heureusement pour moi, je ne suis pas seul et il y a des archers derrière moi, qui font ce qu’ils peuvent, mais vu les armures que certaines des créatures possèdent, ce ne sera pas suffisant. Je prends donc les carquois de ces braves guerriers et utilisant une puissance magie du Métal, je rends les pointes beaucoup plus robustes et surtout considérablement plus coupantes, pouvant pénétrer sans aucun problème, n’importe quelle cuirasse. Toutefois, je ne veux pas que les chasseurs aient vent de notre stratégie, je fais donc stopper le tir pour qu’ils se préparent à une seule et unique volée de flèche, qui devra les massacrer, du genre, ça passe ou ça casse. Je me prépare à tuer n’importe quels survivants, en créant puis lançant un projectile d’acier dans le thorax, pas de pitié pour les morts-vivants.

J'espère que Brak ne va pas tarder à revenir. Il a du leur être d'une aide précieuse et leur situation doit être bien meilleure que la mienne.

Résumé:

Sort utilisé:

Tout s'était passé à une vitesse folle mais pour l'hybride, le temps étirait chaque seconde comme d'une vie entière.
Lardon s'apprêtait à réceptionner avec les fiers Sablois, et certainement aussi des soldats d'Ikusa, la charge des défunts. Un mastodonte s'extirpait de la ruelle et allait se mêler au combat dans quelques secondes, une déveine immense pensait le cochon, mais bien moins grave que ce qui allait arriver l'instant d'après.
Quelque chose frappa le grand cadavre, tombant depuis le ciel nocturne, pulvérisant tête et corps comme s'il s'agissait d'un vulgaire tas de viande mou, puis un bruit sourd, comme un porte-peste qui explose dans une cave, le sol s'ébranlait comme une vague tellurique lancé par un mage expert et renversait tout ceux présent sur plus de dix mètres, peut-être même d'avantage, depuis le point d'impact. Mais Lardon savait ce qui allait suivre, au delà de ses connaissances en matière de magie terrestre, l'ouvrier du RSAF avait déjà travaillé avec une pléthore de bêtes fouisseuses et il reconnaissait cette façon particulière dont la terre se soulevait sous lui, annonciatrice d'un affaissement qui serait fatal d'une façon ou d'une autre pour tout ceux prit dedans.
Cette analyse instinctive ne lui avait pas prit plus d'une seconde et déjà pourtant le sol se dérobait sous ses pieds. D'une tentative désespérée, l'apprenti mage levait ses bras pour commander à la terre afin de la retenir et la tirer dans le sens opposé à l'effondrement qui happait morts et vivants, comme un aquamancien qui tenterait de faire remonter une parcelle d'eau à contre-courant d'une rivière.
Il n'avait pas le temps de faire mieux que ce coup pour sauver sa propre couenne, ceux qui l'entourait chutaient en poussant des cris de surprise et d'effroi, Lardon ne pouvait rien pour eux car c'est à peine s'il allait s'en sortir lui même. Au prix d'un effort au delà de ses capacités habituelles, un pan de terre sous son commandement le propulsa en arrière, hors de la zone instable, l'hybride tombait lourdement sur son séant, roule-boulant brièvement. Les quatre fer en l'air, le porcin mobilisait toute son énergie à se remettre dans le bon sens et se relever après avoir essuyé un malaise aussi intense que passager pour sa prouesse magique.
Il devait maintenant retenir également un haut-le-cœur face à l'horreur devant lui.
Des flaques de sang et quelques morceaux de chair ou d'os sanguinolents se tenaient à l'endroit où se trouvait il y a quelques secondes encore des compatriotes et frères d'armes, pour les plus malchanceux, ils étaient prit dans l'affaissement, à moitié enseveli et pas avec la bonne partie du corps émergeant du mélange de terre et sable que constituait les pentes du cratère, et pour les plus infortunés ils ne pouvaient que pousser des cris de terreur alors qu'ils étaient dévorés vivants par les zombies qui venaient de les attraper entre leurs griffes.
Quel genre de Dieu macabre venait de frapper aussi impitoyablement les défenses Reikoises ? Et que pouvait faire le pauvre Lardon face à ce tour cruel du destin ? Il fallait sauver ceux qui pouvait encore l'être, il fallait...

- "Je vien en renfort monsieur, Tgaar reste a l'avenu est so'cuper des zombi là bas ".

L'hybride tournait la tête vers le géant vert qui atterrissait à ses côtés, l'air hébété de ses petits yeux porcins s'éclipsait rapidement en remarquant les restes mélangés de terre et de sang collés à ses armes contondantes, laissant la place à une expression incrédule par la prise de conscience, qui évoluait vers colère noire.

- T'es... t'es l'abruti qui a causé ce carnage ? Clignait des yeux Lardon dont la voix se faisait plus grognante à mesure qu'il formulait ses mots. Mais t'es quel genre de malade mental pour... L'hybride se souvenait à peine que celui à qui il s'adressait faisait trois mètres de haut, qu'il tenait d'énormes marteaux et qu'il pourrait bien l'écraser sans aucun effort comme un fruit trop mûr. Heureusement, si on pouvait le dire, un rugissement rauque provenant de la ruelle coupait le porcin dans sa réprimande et le ramenait à l'urgence et la gravité de la situation, la horde et ses membres, gros et petits, n'en avait pas fini avec les vivants. Foutraille...

Le croisement des ruelles n'était plus qu'un cratère profond à moitié sablonneux. Les barricades avaient été pulvérisées par l'impact et il n'en restait que du petit bois ou presque, rien d'assez gros ou solide pour obstruer la rue d'où émergeait les morts et surtout toute la zone était plongée dans une obscurité presque totale, la majorité des torches s'étaient éteinte à cause du déplacement d'air généré par l'onde de choc.

- Bloque la ruelle ! S'écriait Lardon en ramassant l'un des rares flambeaux épargnés. J'vais essayer de les sortir de là d'dans. Il sautait dans le cratère. Écroule une maison en travers de la rue si c'est nécessaire mais gagne nous du temps. Crève pour ça s'il le faut !

L'hybride n'avait pas de plan mais il ne pouvait simplement pas laisser ceux qui avait une chance de survivre, même infime, se ranger du côté de la horde. Un stratège aurait probablement ordonné un repli et un repositionnement de la ligne de défense, priorisant l'issu de la bataille à la survie incertaine de quelques soldats, minimisant des pertes acceptables pour la victoire.
Lardon était plutôt doué en stratégie militaire, le cul confortablement posé sur une chaise de l'école militaire, devant un rapport de situation, les hommes étaient des lettres d'encre sur le parchemin et des nombres, le terrain des schémas détaillés vu du ciel, ça oui dans ces conditions, il lui avait toujours été facile d'exceller à la théorie. Mais il n'avait pas encore eu l'expérience d'une vraie guerre, d'un véritable carnage, où la mort était réelle et définitive, et pas seulement simulée pour l'exercice académique, d'évoluer au sein de cette atmosphère lourde et pesante qui mêle la fatigue, le stress et les décisions prisent dans l'urgence dont les conséquences seraient à jamais gravés dans sa chair et sa mémoire.
Il n'était pas à la table des opérations, il n'était pas un stratège médaillé, il n'était même pas officier et il ne pourrait certainement pas sauver tout le monde, il en était conscient, mais il n'allait pas ménager son gras pour tenter de venir en aide, au moins à ceux qui respirait encore devant lui.
Dégringolant la pente à grandes enjambés, le halo de lumière éclairait un ennemi aux prises avec un survivant et il lui fauchait le crâne d'un coup de masse sans s'arrêter, continuant sa descente jusqu'au point de chute des zombies qui se  jetaient dans le trou depuis la rue. Pas de subtilité dans cette charge, le cochon leur rentrait dans le lard comme une boule dans un jeu de quille, un était fracassé par son bouclier en métal, deux autres écrasés par son poids sous l'impact dans un craquellement d'os et trois macchabées encore chutaient dans le sable, bousculés par les premiers. Un mort tombait à côté de lui, pile dans la lumière, deux coups de masse était décoché par Lardon, visant épaule et tête pour l'éliminer. Un choix était à faire, gauche ou droite, d'un côté deux zombies en train de dévorer un défenseur, de l'autre une paire de jambe s'agitaient, son propriétaire, dont la moitié supérieure était immergé sous le sable, en train de suffoquer.
Lardon attrapa les guibolles remuantes pour extirper le Reikois du sol en utilisant sa magie télékinétique pour déblayer terre et sable autour de lui afin d'y arriver plus vite, abandonnant l'autre soldat à son sort. Le cochon essayait de se persuader que le dévoré était déjà mort et qu'il ne pouvait déjà plus rien pour lui, il ne criait pas sous les morsures ni ne se défendait, oui, il était déjà mort, se répétait le cochon-fouisseur pour se sentir moins coupable et monstrueux de son choix.

- Debout, allez ! Lève-toi si tu veux pas crever ! Aidant l'homme-taupe à refaire surface.

Désorienté, ce dernier avait du mal à reprendre pied et respiration mais récupérait au fil des secondes. Deux autres mordeurs sur jetait sur celui que le cochon n'avait pas choisi et il les laissait faire, certains jugeraient peut-être son manque de moralité à laisser un compatriote devenir un simple festin, ou même que son inaction viendrait renforcer d'un membre supplémentaire l'armée ennemi, mais dans l'immédiat, cet ancien frère d'arme canalisait à lui seul quatre morts-vivants bien mieux que lui même ne le ferait, offrant quelques secondes de répit à tout ceux encore en vie dans ce trou, soit autant de chances supplémentaires d'en fuir. Lardon levait sa torche pour éclairer au plus loin le fond de la crevasse, essayant de se repérer au son sur ce qui l'entourait.
Des hurlements de douleur proche, juste un peu plus loin devant lui l'alertaient, il tirait celui qu'il venait de sortir du sol pour qu'il ne s'éloigne pas et trouvait, après trois pas, une femme luttant pour repousser un mordeur qui tentait de lui arracher la gorge pendant qu'un autre lui rongeait le mollet de sa jambe cassée sans pression. Un grand coup derrière l'occipital et le premier tombait sur sa victime, l'autre n'eut pas le temps de réagir aux coups de Lardon et du soldat qui l'accompagnait.
Pas besoin de plus d'une seconde pour se rendre compte de la gravité de la blessure mais le mage n'avait ni le matériel ni les capacités magiques pour soigner la femme, et surtout pas ici au fond de ce puits de la mort où ils se trouvaient, cernés par les rôdeurs, et éclairés par une pauvre torche mourante.
Lui intimant de serrer les dents, Lardon chargeait la malchanceuse sur son épaule, quand soudain un cri derrière lui et deux tintements successifs lui indiquait qu'un ennemi armé s'en prenait au Sablois qu'il avait sortit de terre. Heureusement pour lui, pour eux, deux hommes armés bien plus vaillant venaient de débouler et rejoindre celui qui se battait contre un chasseur.

- On est les renforts ! Attrapez les cordes, on va vous tirer de là ! Du même temps qu'il le disait, deux cordages étaient lancés depuis le bord du cratère.

Le capitaine avait été rapide mais Lardon n'était pas sûr qu'une seule escouade suffirait désormais.
Avec la soldate geignante sur son épaule, la sensation humide de sa manche gorgée de son sang rappelait à Lardon sa blessure précédente dont il n'avait pas eu le temps de s'occuper jusque là. Il faudrait y remédier rapidement, au moins d'un garrot une fois sortit de ce bourbier. Il attrapa la corde de son bras valide et se faisait hisser pour remonter, lui permettant de gravir la pente bien plus facilement malgré sa passagère.
Les trio de soldat parvenait d'un coup chanceux à trancher le bras armé du chasseur et de le repousser avant de se replier sans l'achever et prendre la suite de l'hybride.
En comptant celle qu'il portait, l'ensablé et celui qu'il avait aidé pendant sa descente, Lardon n'avait pu en sauver que trois. C'était si misérable à ses yeux mais il n'y avait rien qu'il pouvait faire de mieux en l'état, les autres devaient déjà être mort ou changeait de camp, pour le peu qu'il parvenait à y voir dans la pénombre.
Tandis que Lardon réfléchissait à comment arranger ce fiasco durant sa sortie du cratère, les survivants qui n'avaient pas été prit dans l'onde de choc se rassemblaient autour de l'escouade fraîchement arrivée, les blessés qui ne pouvait plus se battre se repliaient vers le Sud, ce qui laissait une vingtaine de valide pour tenir la zone du croisement détruit par Brak'Trarg. Plusieurs torches  étaient rallumées au fur et à mesure, rendant un peu de lumière salvatrice à la vue des Reikois, les morts n'en avaient peut-être pas besoin mais pour eux, c'était vital.
Il n'était pas encore en haut qu'un homme au visage familier, Rom' le forgeron avec qui il avait combattu côte à côte sur l'Avenue Nord, tentait de l'encourager d'une nouvelle de dernière minute ; un autre détachement se dirigeait sur leur position, mené par un lieutenant des Serres-pourpres. L'hybride n’accueillait pas cette information avec le soulagement le plus démonstratif qui soit, il était encore amer de ses derniers déboires, en fait la seule chose qu'il espérait vraiment était que cet officier soit compétent, ou même un tant soit peu utile, ou même juste saint d'esprit.
En attendant ces autres renforts providentiels, les miliciens de Sable-d'Or allait se déployer en duo espacé de quelques pieds tout autour du trou pour empêcher les zombies et leurs anciens camarades d'en sortir.

Résumé:

Aussi sombre que cette brume qui t'entourait, ton esprit était tourmenté par une rage incontrôlée. Provenant tout droit de ces maux enfouis au sein de ton cœur, de ta frustration et ton incapacité d'agir, et de ce troll qui refusait sciemment de mourir, elle te submergeait tel un raz-de-marée et aucun rivage de sûreté ne s'offrait à toi. Elle et toi ne faisiez plus qu'un, aussi ardent l'un que l'autre, aussi obscurcit et aveuglé. Des gerbes de vapeurs s'échappaient de ta forme la plus pure, pulvérisant par sa violence autant le bois que les chairs et, à au moins deux reprises ce néfaste pouvoir se retourna contre les vôtres, brûlant des soldats désireux de reprendre l'ascendant auprès de toi. Si seulement t'en rendais-tu comptes, tu t'excuserais, mais en cet instant tu ne les entendais point. Tu étais seul, toi et cette monstruosité dont la peau se détachait. Seul de légers éclats de lumière et des couleurs passagères arrivaient à tes yeux, scintillement des lames et êtres luttant.

Mais vas-tu périr ?! Scandas-tu dans un grondement primaire, continuant inlassablement d'avancer vers cette créature et usant toujours plus de la chaleur du fourneau que tu étais pour le carboniser. Pis que ne point accepter sa défaite, la bête en vint même à te délaisser, préférant se concentrer sur d'autres cibles. Comment osait-il ainsi se moquer de toi ? N'étais-tu qu'une plaisanterie à ses yeux ? Un moucheron à peine gênant ? Si c'est ainsi qu'il te percevait, alors il le paiera cher.

Le troll commença à prendre son élan sur les restes décharnés de ses jambes, les os commençant à se dévoiler au milieu des chairs cloquées. Et tu hurlas autant ta rage que ta frustration d'être ainsi moqué, prenant le même élan que lui pour, dans la mêlée, le confronter. Si tes assauts de loin ne suffisaient guère, alors il sentirait le courroux d'un câlin d'élémentaire. La sphère de vapeur devint plus volatile encore tandis que tu courais jusqu'à lui, cessant de viser cette bête pour détruire les façades prêt desquelles le troll s'apprêtait à passer, sans prêter un seul moment attention à qui risquait d'en subir les conséquences. Si une structure lui tombait dessus ou juste devant, cela le ralentirait. Les murs tremblèrent sous la pression, le granit s'étiola avant de rapidement se fissurer, laissant des pans entiers de mur dans la rue s'écrouler. S'il n'y en avait guère assez pour ourdir la créature ou l'ensevelir, ces nouveaux débris eurent au moins l'utilité de briser sa course pataude, l'obligeant à marcher au milieu des monticules de pierres risquant à tout instant de tomber.

Le stupide t'offrait son dos tant il t'avait délaissé, et il s'en allait le regretter. Tu ne t'agrippas point à ses épaules ou quelconques morceaux de tissus, mais tu inséras plutôt tes mains brûlantes directement à l'intérieur de son corps, perforant et calcinant ses chairs jusqu'à enfin sentir au bout de tes doigts la dureté de ses os. Tu ne t'agrippas point à ses épaules ou quelconques morceaux de tissus, mais tu inséras plutôt tes mains brûlantes directement à l'intérieur de son corps, perforant et calcinant ses chairs jusqu'à enfin sentir au bout de tes doigts la dureté de ses os. Tu les serras pour ne plus les lâcher. Le troll hurla de douleur et tu t'y mêlas pour gronder cette rage qu'en cet instant, tu épousais. Il commença à bouger comme il le pouvait, levant son marteau pour tenter de te déloger, mais tu ne t'en souciais guère, tu esquivais à peine et te maintiendrais jusqu'à ce qu'enfin, sur le sol son cadavre joncherait. Entre deux grondements de fureur, tu serrais les dents sous les assauts de ce monstre à la force prodigieuse, mais tu n'arrêterais qu'au moment où il y aurait enfin un vainqueur.

Résumé:

Alors que les intentions de Brak était des plus noble en lançant ses deux marteaux dan sun fort et magnifique lancer de marteau du dragon, mais hélas pour Brak au grand hélas si les dragon lui avait donné leur force, et leur grande nainailes, il n'avait en revanche pas donner la sagesse a ce grnad enfant qu'étiat Brak'Trarg et l'impact des marteaux sur la masse des mort vivant si elle creusa bien le cratère escompté, à été un peut plus puissant que prévu.
Ah ce grand monstre de Brak était bien le meilleur et plus puissanct des gladiateurs, et guerrier d'élite légendaire, mais entre le sable des arène, la protection de l'emperuer et de son fiston c'était ... pas pareil que une bataille rangée en milieu confiné et mélée entre enemis et aliées.


l'explosion nucléaire la force de l'impact fit voler en eclat la baricade et le fillet en plus que de secouer le sol et faire tomber dna sle cratère aterrissant près de Lardon Brak lui fit par qu'il venait en refnort après avoir récupérer ses marteaux dan sses paluches. Mais maintenant qu'il était au sol façe à Lardon il mesurait les conséquences. et avait la frimousse bien coupable sous son heaume quand Lardon le sermona a juste titre.

Brak ne put que repondre tel l'enfant coupable après avoir fait la bêtise de l'année face au père en ayant la charge.

"voulait seulement vous aider en creusant un cratere pour renforce les defense et ralentir les zombis en les empêchant de venir jusque a nous".

temrina brak gratant de sa papate droite le sol la tete baissé et la voix et frimousse coupable prouvant a tous que deriere son apaprence de monstre Brak n'était qu'un grand enfant gentil bien atentioné , MAIS peut stratège.

Bien que Brak entendit les instruction de Lardon concernant la ruelle, Brak ne pouvait pas laisser choir ses cmarade Reikois, il ne se le pardonerait pas si il ne faisait rien aussi Brak, usa de ses sens surdévelopppé de dragon (neuneuil, noreilles et narines) pour sentir voir et entendre ou se toruvait les survivant reikois aussi faible que soit leur gémissement dans la mélée et prit quelque dizaine de secondes pour en extraire 5 du ctratèere et ruines autour et les ramener a terre sain et sauf coté reikois du cratère.

ne pouvant hélas en sauver plus, ni s'atarder davantage brak alla securisé la ruelel précedement désigné par Lardon.

les 5 que Brak avait sauvé se remirent debout et alumèrent les torches eteinte par el soufle de l'impact tout en aidant les autres survivant avant de veiller a ce q'aucun vilain zombi ne resorte "vivant" du cratère.


Brak de son coté pendant que l'escouade de renfort arrivait auprès de lardon avec la corde. Brak reprit en amin Titan's slayer, son épée géatne ses marteaux à la ceinture. et observant grace a ses neuneuil de dragon q'une haute maison en brique et pierres était sur le point de tomber, et qui en tombant ferait une baricade parfaite. Brak donna un grand du bout de sa lame géante dan le pied du mur faisant ainsi s'efondrer la maison et brant la ruelle.

sur le sommet de la nouvelel baricade Brak épée géante en main atendait de papate ferme les zombis pour les empécher de passer.


pouvoir utilisé pendant ce tour:
- sens surhmain vue, ouie, odorat, palier 1
- vol palier 1
- force surhumaine palier 1 (pour extraire et evacuer les 5 survivant )
- force surhumaine palier 2 (pour faire s'efondrer la maison de brique et de pierre et ainsi barrer la ruelle)


pouvoir utilisé jusque à maintenant :

- vol palier 1: plusieurs fois
- sens surhmain (vue, ouie, odorat,) palier 1 : 1 fois
- force palier 1: 4 fois
- force palier 2: 2 fois
- force palier 3: 1 fois
- force palier 4: 1 fois
- prouesse d'arme "lancer de marteaux du dragon" : 3 fois


résumé:

_ Brak après avoir aterit auprès de Lardon et s'être fait sermoné, dit a Lardon qu'il voulait seumlement aider, la frimouse et la voix coupable.
_ Brak ne pouvant pas ne pas aider les survivant utilise le vol e tla force palaier 1 de mêem que ses sens surhumain pour en sauver 5
_ Brak par la suite gagne la ruelle désigné par Lardon et reprant ue maison sur le point de tomber la fait s'efrondrer d'un coup bien placé a force palier 2
_ la urelel maintenant barré Brak se met sur la nouvelel baricade atendant épée géante en main les zombis pour les arêter et les "tuer".