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Vrai Homme du Reike
Alasker Crudelis
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Info personnage
Race: Loup-Garou
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Loyal Mauvais
Rang: B
Bonsoir/bonjour messieurs dames, j'investis à mon tour dans l'infanterie au nom des Serres Pourpres, bien que ces Serres-ci soient un poil différents des autres :
-Un pack de dix soldats d'Infanterie (coût : 200 cred')
Ci-dessous, la description de cette bande de joyeux lurons rattachés, comme dit plus haut (on ne le dit jamais assez!) aux Serres Pourpres de l'ami Deydreus
-Un pack de dix soldats d'Infanterie (coût : 200 cred')
Ci-dessous, la description de cette bande de joyeux lurons rattachés, comme dit plus haut (on ne le dit jamais assez!) aux Serres Pourpres de l'ami Deydreus
Les Dévoreurs
Pas de paix
Parmi les Serres Pourpres, certains sont plus guerriers que soldats. Que ça soit pour cause d’années de dur labeur, de traumatismes de guerre ou simplement d’une nature particulièrement vicieuse, ces guerriers-ci, sans surveillance, ne savent plus faire preuve du même professionnalisme que leurs pairs. Ces êtres brisés, qui ont perdu foi en leur propre existence, belliqueux au-delà de toute mesure, sont alors systématiquement écartés des rangs des Serres et confrontés à un choix :
-Abandonner la carrière des armes et rentrer au pays dans la honte.
-Ou rejoindre les Dévoreurs d’Alasker pour continuer à se battre au nom des Serres Pourpres, jusqu’à la mort.
Aucun répit
Ceux qui rejoignent les Dévoreurs peignent l’entièreté de leur armure en rouge avant de jurer à leurs frères que seule la mort pourra se mettre entre eux et leur tâche. Ceux qui maniaient l’arcs ou portaient le bouclier y renoncent et se forment au maniement de la claymore, de la hache, du Morgenstern ou du bec de corbin. La rapidité, la force et la brutalité deviennent leurs maîtres mots. Ils se taillent les dents en pointes, à l’image de l’Enragé, et se livrent à d’innombrables scarifications rituelles dans le but d’apprivoiser la douleur et de savoir y faire face, sur le champ de bataille. Ils ne renoncent pas aux liens qu’ils avaient jadis au sein des troupes régulières, mais les honorent de la plus noble manière : en promettant de sacrifier leur vie au profit de l’avancée des Serres.
Nulle rémission
Au combat, les Dévoreurs accompagnent toujours Alasker. Ils sont le bélier utilisé par les Serres pour enfoncer les positions ennemies, perturber leur formation ou bien simplement attirer leur attention. La sauvagerie de leurs coups, la morsure de leurs armes lourdes, couplés aux hurlements à peine humains qu’ils ne cessent de pousser dans la mêlée, forment en effet une arme d’intimidation massive qu’aucun adversaire ne peut se permettre d’ignorer. Ceux qui survivent à leur premier combat en tant que Dévoreur en ressortent bien souvent marqués à vie, dans la chair comme dans l’esprit, et c'est fébrilement, avec un mélange de dégoût et de fierté, qu'ils se mettent à imiter leurs aînés, en prélevant de macabres trophées sur les cadavres des vaincus. Alors, des crânes viennent pendre à leurs ceintures. Des dents et des phalanges osseuses ornent leurs gorgerins. Et ils hurlent comme des loups, pour célébrer leurs victoires et féliciter ceux qui ont eu l'honneur de tomber.
Il n'y a que la guerre
Sans être considérés comme des parias par les autres soldats, les Dévoreurs restent des êtres à part dans les rangs des Serres Pourpres. Lorsqu’Alasker quitte la troupe dans le but de porter un message ou de remplir une mission trop salissante pour qu’on l’associe au nom de Fictilem, ils l’accompagnent. Le reste du temps, ils vivent en autarcie, refusant de se mélanger aux troupes régulières, qui ne goûteraient de toutes façons que trop peu à leurs macabres conversations.
L'obsession pour la guerre et la mort que chacun de ces hommes et femmes partagent les a privé de toute vie civile. Nulle permission ne pourrait les contenter puisqu'ils ne souhaitent rien d'autre qu'étancher une soif de sang qu'ils savent pourtant intarissable. En cela, les Dévoreurs s'apparentent presqu'à des hommes de foi dérangés ayant comme objet de culte la guerre elle-même…
Et lorsqu'enfin, la mort vient les cueillir, c'est avec le sourire qu'ils rendent leur dernier souffle, de préférence sous un étendard noir et rouge.
Divinité primordiale
L'Âme des Cendres
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